Jupon

sur le devant des jupes des falbalas (volants), des prétintailles (motifs découpés dans différentes étoffes et qui sont appliqués). La robe est considérablement relevée sur les hanches dévoilant ainsi le devant de jupe. Celui-ci est maintenu par des jupons raidis. D'autres évolutions pointent légèrement à la fin du XVIIe siècle, principalement à travers les robes dites innocentes, battantes, déshabillées ou négligées. Ces types de robe, introduites par Madame de Montespan par souci de cacher ses

ornementer le chapeau qui peut être en laine bouillie ou feutrée ou en laine tricotée. La « basquine » est le nouveau nom du « corps », il devient plus structuré vers 1550 avec des fanons de baleines dans les nervures. Le « vertugadin » est le premier jupon donnant l’élargissement de la forme par des petits bourrelets de crins végétaux sur les hanches. La forme obtenue sera bien arrondie. Cet accessoire de mode Renaissance influencera les 3 prochaines siècles ! Les cheveux deviennent des bijoux (teintures

domination du minéral sur le végétal ; comme si ce-dernier ne pouvait survivre bien longtemps par cette chaleur aride. Enfin, dans un effet très visuel, la couleur rouge qui revient et, cette fois-ci, qui semble presque écorcher la rétine à travers le « jupon rouge » de cette femme, première âme croisée par Angelo, et s’illustrant de ce fait rapidement comme une figure maternelle. Comme une aquarelle, où l’on n’aperçoit plus que cette tâche de couleur vive, cette femme représente le salut du héros pour

sens concret et « óu s'est blottie la spéculation » (l.9) contient un mélange de concret et d'abstrait. Ensuite, nous pouvons retrouver des liens explicites entre le personnage et le décor. Les vêtements de Mme Vauquer décrivent la pension:  « Son jupon de laine tricotée […] résume le salon, la salle à manger, le jardinet, annonce la cuisine et fait pressentir les pensionnaires » (l.21-26). Le personnage a crée le décor de la pension selon son physique et son caractère , « son corsage trop plein

familiers sont réservés à la comédie, donc pour faire rire. Le célèbre poète, ne s’interdit pas l’humour, dans ce poème, cela donne plus de capacité à ses idées. Il caractérise par exemple l’Académie de « vieille douanière » (vers 22) qui cache sous ses jupons des « tropes effarés » (vers 23).   Pour nous montrer que Victor Hugo est bien révolutionnaire, il utilise de nombreux verbes d’actions, il bondit « hors du cercle » (vers 39) c'est-à-dire hors des règles, « brigand » ( vers 20). On peut notamment

soir,Passe dans son domino noirLa toppatelle.On peut l’aborder sans danger,Et dire : ” Je suis étranger,Vous êtes belle. ” Ischia ! C’est là, qu’on a des yeux,C’est là qu’un corsage amoureuxSerre la hanche.Sur un bas rouge bien tiréBrille, sous le jupon doré,La mule blanche. Pauvre Ischia ! bien des gens n’ont vuTes jeunes filles que pied nuDans la poussière.On les endimanche à prix d’or ;Mais ton pur soleil brille encorSur leur misère. Quoi qu’il en soit, il est certainQue l’on ne parle pas latinDans

L’histoire commence à l’automne 1939, les Allemands, victorieux de la Pologne, regroupent les Juifs dans des ghettos, comptant s’en servir comme main d’œuvre bon marché, en attendant de les exterminer. Industriel, joueur, bon vivant et coureur de jupons, Oskar Schindler entend utiliser son sens des affaires et ses amitiés au sein du Parti nazi pour profiter de cette situation et faire rapidement fortune. Conseillé par le comptable juif Itzhak Stern, il obtient de la communauté juive les capitaux

Analyse de textes littéraires français ____________________________________________________________ _________ L'enfant de lune   La lune en maraude au cœur des vergers Grimpait aux pommiers en jupon d'argent ; Surgirent des chiens rauques, déchaînés : La lune s'enfuit, laissant un enfant.   Il vint avec nous en classe au village, Tout à fait semblable aux autres garçons Sauf cette clarté nimbant son visage Sous le feu de joie de ses cheveux blonds.   Il aimait la pluie, les sources

es beau ! tu es intelligent ! tu es fort » Elle, cherche le grand amour, pour qu’il dure toujours. Tandis que lui, homme débauché, ne cherche pas la même chose qu’elle. Elle voudrait qu’il n’y ait qu’elle dans sa vie. Rodolphe étant un coureur de jupons, cherchant le plaisir et non les sentiments, n’a peut-être jamais aimé : Tous deux n’ont pas le même but dans la vie, mais n’ont pourtant jamais aimé. Lui a abandonné les recherches. Peut-être même qu’il n’a jamais eu d’illusions dans sa vie, contrairement

analyses de ses motivations. Au XVIIe siècle par exemple, Don Juan est considéré comme un homme qui défie Dieu, bafoue les lois sociales et mérite une punition, il représente la corruption de cette époque, le sentiment d’honneur, il est un « coureur de jupons » , cynique, sensuel. En 1665, Molière réplique avec Dom Juan, comédie pour laquelle il utilise les machineries réservées jusque-là à la tragédie. Il est soutenu par le roi qui prend la troupe sous sa protection et lui accorde une pension de 6000