Jupon

dans une grandiose tirade. Situé dans la loge de Kean, le quatrième acte voit l'acteur y recevoir d'abord la visite d'Eléna, qui est prête à tout quitter pour lui, puis celle du prince de Galles. Sachant que ce dernier est un grand coureur de jupons, Kean le supplie de ne pas chercher à séduire Eléna, dont il est amoureux. Après avoir un moment refusé de jouer, l'acteur entre finalement en scène, mais se trouve pris d'une crise de folie, injurie le prince de Galles et son entourage, et interrompt

part pour Rouen. Si elle se rétablit, Emma n'en reste pas moins écœurée par son mari, qui semble ne pas comprendre ses préoccupations. Elle va se laisser séduire, lors des comices agricoles, par Rodolphe, riche propriétaire terrien mais coureur de jupons impénitent. Il se lassera vite du romantisme hyperbolique de la jeune femme. C'est après être tombée malade, à la suite du brusque départ de Rodolphe, qu'elle revoit Léon à un spectacle. Cette deuxième liaison l'entraînera fréquemment à Rouen et l'obligera

pension implique sa personne. Le bagne ne va pas sans l'argousin, vous n'imagineriez pas l'un sans l'autre. L'embonpoint blafard de cette petite femme est le produit de cette vie, comme le typhus est la conséquence des exhalaisons d'un hôpital. Son jupon de laine tricotée, qui dépasse sa première jupe faite avec une vieille robe, et dont la ouate s'échappe par les fentes de l'étoffe lézardée, résume le salon, la salle à manger, le jardinet, annonce la cuisine et fait pressentir les pensionnaires. Quand

référence à l’antéchrist c’est-à-dire à l’incarnation du mal en personne. Le titre reprend le nom du personnage principal « Christa » qui incarne le mal en personne. En effet, Christa est manipulatrice et fourbe comme le diable. C’est le diable en jupons. Dans ce roman, l’auteure raconte l’histoire de Blanche, une jeune universitaire de 16 ans renfermée sur elle-même et transparente aux yeux des autres.. Un jour, Christa, la fille la plus populaire vient lui parler. Une amitié à sens unique se crée :

donne.­ L’Aveugle s’écria-t-elle.Et Emma se mit à rire, d’un rire atroce, frénétique, désespéré, croyant voir la face hideuse du misérable, qui se dressait dans les ténèbres éternelles comme un épouvantement.Il souffla bien fort ce jour-là, Et le jupon court s’envola !Une convulsion la rabattit sur le matelas. Tous s’approchèrent. Elle n’existait plus.Vocabulaire :· Solennité : d’un sérieux · Suaire : drap mortuaire qui enveloppe le cadavre · Étole : sorte de châle porté par les prêtres· Béatitude :

paniers. La silhouette est celle d’une grande cloche avec une très petite taille et de larges hanches. La plupart des robes étaient à taille basse, en pointe. Sous chaque robe : un corset et des jupons. Les corsets sont essentiels pour obtenir la taille et pour maintenir la forme des corsages. Les jupons aident à soutenir les paniers sous les jupes. Des plis Watteau couvrent les dos des manteaux et une traîne complète ces robes élégantes. En 1740, la silhouette des robes évolue. Les paniers prennent

avec la monotonie de la vie quotidienne et elle cherchait un amant dont elle pourrait être fière. Un autre personnage, Rodolphe Boulanger, est d’un type complètement différent. Il est assez riche et il utilise sa position pour être un coureur de jupons. Il choisit Madame Bovary pour sa victime suivante et il fait tout pour atteindre son but. Rodolphe la séduit assez vite et profite d’un tel engagement. Même s’il devient très tôt ennuyé par la soumission totale d’Emma, longtemps il n’en fait rien

la place accordée à ces mots « créés pour la prose et la farce », constat de la misère, comparaison à des mauvaises conditions de vie , mauvais lieux (galères, bagne). Adjectifs qualificatifs péjoratifs vers 14. + Mots « nobles » cachés sous les « jupons » de l’Académie : elle les protège comme des enfants, laissant les autres à l’écart. III- L’action de Victor Hugo pour un art poétique nouveau A/ L’implication de l’auteur Hugo se présente comme un héros, un sauveur. « Je vins ». Emploi

le garçon à la fille et le garçon viril, solide, costaud à son frère chétif, fragile, fin ou efféminé.      Malgré l’interdiction religieuse d’avoir des relations sexuelles avant le mariage, la famille pardonne les fracas d’un garçon coureur de jupons. Ca la rassure !     Si le garçon est homosexuel, passif donc, il est tout de suite amené chez un charlatan, un sorcier, une voyante ;il est malade ou possédé et il faut le guérir…sinon le rejeter.   

leur réveil. Ils font leur toilette et s’habillent. Là encore, les tenues vestimentaires ne sont pas aussi conventionnelles que les miennes. Les garçons comme les filles portent des pantalons très serrés (aussi confortables que mes corsets et mes jupons !).Les jeunes filles portent des hauts très courts, très, très courts et très, très colorés. Aucune pudeur ! Filles et garçons ont des boucles d’oreille partout : sur les oreilles certes, mais sur la langue, les sourcils, les seins, le nombril. Mon