Jupon

grassouillette du mileur de laquelle sort un nez a bec de perroquet; ses petites mains potelées, sa personne dodue comme un rat d'église, son corsage trop pleins et qui flotte», «Sa figure fraîche comme une première gelée d'automne, ses yeux ridés», «Son jupon de laine tricoté.» «Elle a l'oeil vitreux.» «Agée d'environ 50 ans, Mme Vauquer ressemble a toutes les femmes qui ont eu des malheurs. 2)Mme Vauquer pour son portrait moral: «dont l'expression passe du sourire.» «elle est veuve, donc malheureuse

part pour Rouen. Si elle se rétablit, Emma n'en reste pas moins écœurée par son mari, qui semble ne pas comprendre ses préoccupations. Elle va se laisser séduire, lors des comices agricoles, par Rodolphe, riche propriétaire terrien mais coureur de jupons impénitent. Il se lassera vite du romantisme hyperbolique de la jeune femme. C'est après être tombée malade, suite au brusque départ de Rodolphe, qu'elle revoit Léon à un spectacle. Cette deuxième liaison l'entraînera fréquemment à Rouen et l'obligera

grasse Description de ses vêtements : à 1ére vue le lecteur pourrait percevoir un certain raffinement car « bonnet de tulle » l1 et l12 : « une étoffe » mais derrière cela se cache la médiocrité, le mauvais gout, la négligence « mal mis » l12, « jupon de laine tricotée » l11, « première jupe faite avec une vieille robe » l 11/12 et « lézardée » l12. B) son moral D »marche de Mme Vauquer qui illustre son caractère → l2 «  elle marche en trainassant ses pantoufles grimacées » →  femme avec très

physique est plutôt agréable mais , hélas , ce jeune homme ne possède aucune qualité du côté de son caractère , de sa personnalité . De plus , au début du roman , avant qu’il ne rencontre la princesse de Clèves , on nous le décrit comme un coureur de jupon ayant plusieurs liaisons à la fois . Cette attitude ne démontre pas un sens extraordinaire des vertus. Evidemment , si je t’écris c’est pour te montrer mon désaccord vis à vis de l’attitude de ce jeune homme . En effet , après que

shillings. * Les hommes portent souliers avec ou sans guêtres, pantalon, chemise, gilet, redingote, canne, montre à gousset, haut de forme, paletot ou blouse pour les ouvriers. * Les femmes portent chemise en coton ou batiste, camisole, corset, jupon, jupe, robe, chapeau, gants, bottines de cuire, souliers, bas, foulard, ombrelles, châle, cape et autre capeline (pas tout en même temps bien sûr, c’est juste pour donner le vocabulaire). * La femme est cantonnée au rôle de mère et de maitresse

Quasiment fille adoptive de Mme Numance Psychopathe sadique Recherche le pouvoir par la manipulation so 2 Bel homme, gentil Honnête, franc, intelligent, rusé Maréchal−ferrant Laid, air inoffensif Manipulateur machiavélique, cruel Coureur de jupons, buveur, joueur Homme à tout faire des Numance Pantin manipulé par sa femme et cocu homme à tout faire de 2 Charles A localisé Thérèse et Firmin après leur fuite Version de Charles: Les a trouvés trop tard et les a envoyés au diable Version

l’amour… ». La suite de la chanson, apparaissant à la mort de l’héroïne, exprime l’échec de cette dernière, morte car ses rêves étaient irréalisables, morte parce qu’elle avait succombé à l’illusion romantique : « Il souffla bien fort ce jour là ! et le jupon court s’envola ».  Le luxe du monde aristocratique suscite nécessairement chez Emma l’envie mais fait aussi bouillir en elle un sentiment d’injustice . Au bal de la Vaubyessard, cérémonie sociale de haut vol, Emmas’initie avec éblouissement au

vieillesse. Balzac insiste aussi sur son laisser aller: tout est vieux, tout est lais dans ce qu'elle porte, elle porte des faux cheveux: «attifée» (l6), «sous lequel pend un tour de faux cheveux mal mis» (l7), «pantoufles grimacées» (l8) donc usées, «son jupon de laine tricotée» (l24) donc fait main, « première jupe faite avec une vieille robe» (24-25), «dont la ouate s'échappe par les fentes» (l25). Balzac peint une femme avare et qui se laisse aller. On trouve aussi dans le texte des comparaisons animales

d'drôle Tout est trop long trop bête Même le rock and roll Que t'écoutes à tue-tête Tes journées finissent plus Tu rentres à peine aux vues Il te reste les revues La télé ou la rue Treize ans treize ans Ni petit ni grand Ni homme ni enfant Les jupons de satin Te font déjà loucher Tu voudrais leur toucher Caché dans tes tintins T'enfouirais ton visage Dans une paire de pains chauds Mais les filles de ton âge N'en ont pas d'assez gros Tu provoques demain En regardant tes mains Qui grandissent

de verbes d’actions. Cela traduit sa volonté de changer radicalement la manière d’écrire et d’aborder la littérature. Victor Hugo utilise également l’ironie : v22-23. Il compare les figures de style à des enfants peureux qui se réfugient dans les jupons de leur grand-mère pour échapper à l’auteur qui se définit comme un brigand.