Jupon

principal poursuit une quête, elle fait le bonheur des personnes qu’elle côtoie. -Félicité est la servante de Mme AUBAIN. Elle portait un mouchoir d’indienne fixé dans le dos par une épingle, un bonnet lui cachant les cheveux, des bas gris et un jupon rouge. Son visage était maigre et sa voix aiguë. Elle était toujours silencieuse, la taille droite et les gestes mesurés, elle semblait une femme de bois qui fonctionnait d’une manière automatique. -Le personnage principal est Félicité. 3°) intrigue :

En effet un bustier de cuir frappé en de voluptueuses arabesques créant un motif délicat et complexe, ainsi que de de larges rubans enserraient son buste, affinant sa taille et mettant sa jolie poitrine en valeur... Une jupe de velours ainsi qu'un jupon de dentelle laisse voir une grande partie des cuisses de la belle, la transparence d'un tissu et la fluidité d'un autre crée un équilibre sensuel et tentateur... De haute bottes de cuir, aux multiples sangles enserrent ses jambes. Une lourde cape de

fais au plus brave un défi ; Je m'écarte, je vais détrôner le Sophi10 ; On m'élit roi, mon peuple m'aime ; Les diadèmes vont sur ma tête pleuvant : Quelque accident fait-il que je rentre en moi-même ; Je suis gros Jean11 comme devant12. 1-Jupon 2-Habillée 3-Triplait la mise initiale 4-Empressé 5-Résidu de céréale 6-Désolé 7-Allusion à Rabelais 8-Personnage de conquérant ridicule imaginé par Rabelais 9-Personnage historique qui fut roi des Perses (319-272 av J-C) 10-Shah (roi) de

DOM JUAN 1/ PRESENTER L’INTRIGUE L'intrigue est centrée sur Dom Juan, jeune noble vivant en Sicile accompagné de son fidèle valet Sganarelle, grand cavaleur courant tous les jupons auxquels il promet à chaque fois de ce marié, et de Sganarelle son valet qui ne cesse de se retenir pour ne pas faire des reproches à son maître. Dom Juan ne croit en rien, pas même en le Ciel qu'il ne cesse d'affronter. 2/PRESENTER UN PERSONNAGES PRINCIPAL Dom Juan, jeune noble vivant en Sicile accompagné de son

charmant dissimulation de sa véritable personne, hypocrisie : "faux-cheveux mal mis", "l'expression passe du sourire prescrit aux danseuses à l'amer renfrognement de l'escompteur" vêtements pauvres alors qu'elle est bien nourrie, négligeance : "jupon de laine tricoté", "vieille robe" 3) Une personne peu attrayante champ lexiacal de l'embonpoint : "embonpoint blafard" ; oxymore entre embonpoint et blafard => elle est fausse, hypocrisie vêtements en lambeaux, apparence négligée, lien avec sa

Numance Quasiment fille adoptive de Mme Numance Psychopathe sadique Recherche le pouvoir par la manipulation 2 Bel homme, gentil Honnête, franc, intelligent, rusé Maréchal−ferrant Laid, air inoffensif Manipulateur machiavélique, cruel Coureur de jupons, buveur, joueur Homme à tout faire des Numance 2 Charles A localisé Thérèse et Firmin après leur fuite Version de Charles: Les a trouvés trop tard et les a envoyés au diable Version de Junie: A fait la fête avec eux et s’est saoulé comme un

« la vieille n'avait pas de plus pressant soucis que de distribuer aux servantes leurs tâches » *V14 :« allumait une lampe et courait droit au lit »  acharnement à les faire travailler. *V1: « vieille » + V12 : « encore plus misérable » + V14« jupon crasseux » «détestable »  Dévalorisation de la maîtresse même à travers ses vêtements  elle ne s'occupe pas d'elle et ne pense qu'à donner du travail. *V2 : « elles filaient si bien.. »  Valorisation des servantes :  comparaison hyperbolique

sont comparés à une « toise de bête ».Cette comparaison animale suscite un plaisir chez les hommes. La couleur joue un rôle très important dans la séduction entreprit par les femmes. L’apparition, dans chacun des textes, de la couleur rouge : « un jupon rouge » dans Carmen ; « plumes rouges » dans La Vengeance d’une dame et « sa petite bouche rouge » pour Nana, ajoute un effet sensuel à ces dames car le rouge et la couleur de l’érotisme, de la passion, on remarque que aussi, pour séduire, les femmes

Même en Europe, la robe a longtemps été portée par les deux sexes avant la naissance du concept de féminité lors de la Renaissance. Dès lors, la robe stigmatisera le rôle auquel la femme doit se cantonner en entravant ses mouvements, soit par des jupons démesurés (crinoline, etc), soit par des carcans de tissus (XIXe siècle)1. Elle prend plusieurs formes successives2 : fourreau sous l'Empire et la Restauration ; cloche jusqu'en 1850 ; à crinoline jusqu'en 1870 ; à tournure jusqu'en 1910. Et ce n'est

yeux ridés, enfin toute sa personne explique la pension, comme la pension implique sa personne. Le bagne ne va pas sans l'argousin, vous n'imagineriez pas l'un sans l'autre. L'embonpoint blafard de cette petite femme est le produit de cette vie. Son jupon de laine tricotée, qui dépasse sa première jupe faite avec une vieille robe, et dont la ouate s'échappe par les fentes de l'étoffe lézardée, résume le salon, la salle à manger, le jardinet, annonce la cuisine et fait pressentir les pensionnaires. Quand