Jupon

Elle a renvoyé ce matin son groom qui l'insultait. Elle croit qu'on va piller partout ! Elle crève de peur ! d'autant plus que Monsieur est parti ! " - " Quel monsieur ? " - " Le Prince ! " Frédéric entra dans le boudoir. La Maréchale parut, en jupon, les cheveux sur le dos, bouleversée. -" Ah ! merci ! tu viens me sauver ! c'est la seconde fois ! tu n'en demandes jamais le prix, toi ! " -" Mille pardons ! " dit Frédéric, en lui saisissant la taille dans les deux mains. -" Comment ? que fais-tu

qui étonnait le docteur, c’était la nudité superbe de cette mère. Le châle avait encore glissé, la gorge se découvrait, les bras restaient nus. Une grosse natte, couleur d’or bruni, coulait sur l’épaule et se perdait entre les seins. Et, dans son jupon mal attaché, échevelée et en désordre, elle gardait une majesté, une hauteur d’honnêteté et de pudeur qui la laissait chaste sous ce regard d’homme, où montait un grand trouble. Elle-même, un instant, l’examina. Le docteur Deberle était un homme de

lieu. M. Millet paraît croire que l'indigence de l'exécution convient aux peintures de la pauvreté : sa laideur est sans accent, sa grossièreté sans relief. Une teinte de cendre enveloppe les figures et le paysage ; le ciel est du même ton que le jupon des glaneuses ; il a l'aspect d'une grande loque tendue. Ces pauvresses ne me touchent pas ; elles ont trop d'orgueil, elles trahissent trop visiblement la prétention de descendre des sibylles de Michel-Ange et de porter plus superbement leurs guenilles

le mouvement et la vie. A l’origine rustre, naïf et balourd, le personnage est devenu plus rusé, vif, cynique, immoral, usant parfois d’un langage scatologique. Optimiste, il trouve toujours une solution à tout. Paresseux, gourmand et coureur de jupons, il sait aussi être gentil et fidèle. Il est le préféré des enfants, car, à bien des traits, il leur ressemble. Aussi, il s’apparente au chien par sa fidélité et obéissance, au singe par son agilité et au chat par son autonomie et indépendanc Brighella

fois, à part si le mariage n'était pas reconnu comme valide par l’Église, ce qui ne fut pas le cas pour le mariage de Monsieur Du Roy et cette journaliste de talent qu'il eut épousé. Tout le monde sait que notre cher Bel-ami , est un « coureur de jupons » si bien qu'en assistant à cet union , je ne put m'empêcher de sourire en me demandant de combien de temps serait la durée de vie de ce couple, avant que monsieur Du Roy ne trouve une autre de ses « amie », une de ses habitude. Ayant moi même côtoyé

outrances entretinrent la chronique scandaleuse, mais on relèvera dans sa correspondance des traits plus subtils et sa peinture ne reflète nullement une nature aussi fruste. Peignant à une époque où les corps disparaissaient sous un flot de vêtements, jupons, crinolines, corsets et robes superposées, Courbet déshabille les femmes et les peint avec une certaine franchise du regard. Les femmes qu’il peint sont donc tout sauf aseptisées, et laissent apparaitre leurs corps potelés, massifs, leurs seins lourds

femmes, vous les séduisait, vous jouez avec elles et lorsqu’elles vous appartiennent vous les abandonnez et finissez par les oubliées…Pauvres, femmes toutes jeunes et innocentes qui se laissent naïvement séduire, charmées par un pauvre coureur de jupon inoffensif. Ce n’est pas votre faute, je sais bien c’est …heu…comment vous dites déjà ? Ah oui, c’est <<la nature>> qui vous oblige ! Cela dit, cela fait de vous un véritable guerrier ! – il hausse le ton et s’agite- Vous aimez combattre

voisin. Guillaume et la jeune fille, Ida, engagent une conversation. « Je vais vous décrire Ida, car elle était très belle. Elle avait de longs cheveux bruns qui tombaient sur ses épaules, et un joli visage. Sous sa cape noire, elle portait un jupon qu'elle avait échangé contre Alice au Pays des Merveilles, et des petits souliers qui faisaient chanter le pavé. »  Très vite la jeune fille se confie et Guillaume comprend que c'est elle la vieille dame qu'il voit écrire chaque nuit et qui est

Petit à petit ils commencent une liaison, mais Paula demeure glaciale et impénétrable vis-à-vis de Martin. Elle semble frustrée et ne s’épanouie pas dans cette relation. Léo, la meilleure amie de Martin est une coureuse de jupons du milieu lesbien. Elle croque la vie à pleine dent, ne réfléchit jamais avant de parler et n’a aucun tabou.

pierres de prix. Un grand coffre en est plein, fermé de dix serrures. Lui-même ouvrit ce coffre, et rendit bien surpris Tous les machineurs d'impostures. Le coffre étant ouvert, on y vit des lambeaux, L'habit d'un gardeur de troupeaux, Petit chapeau, jupon, panetière, houlette, Et, je pense, aussi sa musette. Doux trésors, ce dit-il, chers gages, qui jamais N'attirâtes sur vous l'envie et le mensonge, Je vous reprends ; sortons de ces riches Palais Comme l'on sortirait d'un songe. Sire, pardonnez-moi