Jugement Déterminant Kant

bien qu’il n’ait rien écrit, a traversé les siècles grâce au témoignage de son élève timon de Phlionte. Inspirée de la philosophie de Socrate et de la sagesse hindoue, la philosophie de Pyrrhon repose sur le concept fondamental de suspension du jugement ou épochè en grec. Pyrrhon et les sceptiques soutenaient que l’Homme est incapable de déterminer le vrai du faux dans la nature, faute de critère discriminant. Sans remettre en cause l’existence des phénomènes, les sceptiques prétendaient que l’Homme

(Agnostique : la connaissance absolue). La 1 ère phrase est un postulat (présent de vérité générale) qui entraine la présence de plusieurs connecteurs logiques qui se suivent. Le « Si » émet une hypothèse. Le pronom personnel « Le » est COD du jugement. « Et » : conjonction coordinatrice associatif. Montaigne se place sous l’autorité de Socrate : Tout ce qu’on sait c’est qu’on ne sait rien. La répétition d’un mot après un point, une virgule est une Anaphore. Sa curiosité est impressionnante

jusqu'au XVIIIe siècle par science du beau ou critique du goût, et devient depuis le XIXe siècle la philosophie de l'art. L'esthétique se rapporte, par exemple, aux émotions provoquées par une œuvre d'art (ou certains gestes, attitudes, choses), aux jugements de l'œuvre, que ce qui est spécifique ou singulier à une expression (artistique, littéraire, poétique, etc.), à ce qui pourrait se définir comme beau par opposition à l'utile et au fonctionnel. L'esthétique est plus généralement, dans la philosophie

arbitre, arbitraire et inconséquent, mais même la simple logique car il y a toujours une raison pour se déterminer indépendamment de la raison. Une volonté libre qui choisirait sans raison serait absurde, contradictoire. C'est donc la raison qui est déterminante dans les choix de la volonté. II. Liberté et connaissance Les limites du libre-arbitre Descartes reconnaît lui-même qu'il n'y a pas de volonté absolument non-déterminée dans ses choix, que nous ne sommes jamais absolument indifférent

monde nouveau, offert à la contemplation du public… L’unicité : chaque œuvre se veut unique, insubstituable, inédite. Voilà pourquoi les grandes œuvres, celles qu’on attribue au génie, présentent toujours le caractère d’originalité : comme le souligne Kant dans la Critique de la Faculté de juger, l’œuvre géniale nous apparaît comme à nulle autre pareille. Elle semble contenir en elle quelque chose d’inouï, d’extraordinaire, qui est de l’ordre du jamais vu. D’où les réactions extrêmes que seul l’art est

l'emporte toujours sur la partie. Le tout est supérieur aux parties qui les composent et non les parties qui déterminent le tout). II) La croyance, la foi, la raison Le fait que la religion puisse être considérée comme une institution première déterminant la représentation du groupe mais aussi le système de valeur qui lui correspond pose le problème de savoir si elle n'est pas opposée ou contraire à la raison et si elle est compatible avec la liberté. Le problème de l'activité rationnelle et de la

notion de bon goût existe t-elle ? I] Le bon goût comme jugement et comme esthétique Le bon gout comme jugement le concept moderne de goût comme « faculté de juger » date du XVIIIe. Le goût (dans l'art) est un sujet de discussion. La raison intervient donc dans un jugement de goût. Exemple: les critiques d'art Décréter qu'une chose est de bon et de mauvais goût résulte donc d'un choix personnel, c'est un jugement.  Pour Emmanuel Kant, dans Critique de la faculté de juger (1790), le goût

l’expérience car celles-ci permet d’établir une généralité alors que les mathématiques permettent d’établir une universalité. C’est donc cette simple différence qui donne la faculté de raisonner, c'est-à-dire de former des concepts abstraits et des jugements et de les enchainer logiquement. Dons l’existence même des mathématiques semble démontrer que toutes nos connaissances ne sont définies par les sens puisque les objets étudiés ne sont pas représenté, ils proviennent de la pensée plus que d’une connaissance

l’accord de nos pensées avec la réalité (le contraire de l’erreur). Dans ce dernier cas, la « vérité » est essentiellement une propriété de nos jugements (ou des énoncés qui les formulent), et non une qualité des choses elles-mêmes (le cas de l’or « véritable » n’est qu’une exception apparente : la fausseté n’est pas dans la chose, mais dans le jugement que nous portons sur elle). Il est possible de s’accorder sur cette « définition nominale »1 de la vérité, sans pour autant avoir réellement répondu

ont marqué le domaine du savoir (science et philosophie) et de l’art (la littérature en particulier) par leurs questions et leurs critiques fondées sur la « raison éclairée » de l’être humain et sur l’idée de liberté En 1784, le philosophe allemand Kant propose une devise qui peut définir les Lumières : « Aie le courage de te servir de ton propre entendement ! ». Ce mouvement repose avant tout sur l’adoption d’une attitude intellectuelle : se servir de sa propre raison librement, en se dégageant des