Joséphine Baker

Chanel, grande égérie, attrapa malencontreusement un coup de soleil. Ses admirateurs apprécièrent et voulurent adopter cette coloration de peau. A peu près dans la même période, les parisiens eurent un coup de cœur pour la chanteuse métisse Joséphine Baker. Certains de ses fans, voulurent imiter sa pigmentation de peau. Ces deux vedettes ont donc établi la mode de la peau pigmentée, signe de beauté, santé, réussite et luxe. A partir de 1930, le bronzage devint une mode incontournable et un «must»

surréalisme se développera avec notamment le réalisateur L.Buñuel ou J.Cocteau. Les influences viendront en partie des EtatsUnis avec des danses ou des styles musicaux comme : le charleston, le jazz, le swing, le blues. Les cabarets sont à la mode, et Joséphine Baker, danseuse américaine provoque la chronique en dansant simplement vêtue d’une jupe en bananes, et va rapidement se faire un nom et devenir la vedette du théâtre des Champs Elysées, elle devient le symbole de la libération sexuelle. Le music-halle

nord-américaine sur la vieille Europe. Paris devint, pour certains, le centre des plaisirs et d'une vie au luxe ostentatoire, où le goût de l'excentricité se conjugua avec celui de la nouveauté, qui fit le succès du jazz et du charleston, de Joséphine Baker et de sa Revue nègre, comme celui de la "croisière noire", lancée en Afrique par André Citroën. Limitée surtout, en fait, à une élite fortunée, cette période d'exubérance vestimentaire — et parfois sexuelle —, dont le peintre Van Dongen ou

Luciano Pavarotti, Elisabeth Schwarzkopf, Jessy Norman... Pour la danse, citons les Ballets russes de Diaghilev, les Ballets Suédois, le New York City Ballet de Balanchine, Roland Petit, Maurice Béjart, les troupes russes du Bolchoï, sans oublier Joséphine Baker et sa Revue nègre ».( www.eve.fr/culture/lieux) -23 mai 1913 : lors de la saison inaugurale, 1° du Sacre du Printemps : « Mais tout à coup, un soir, cette chose sans bénéfice, ce refus de profiter du passé, ce coup terrible apporté aux habitudes

Breton et Max Enrst de rechercher avant tout la folie et l'excentricité. En effet le poème a été écrit en 1923. C'est à époque qu'Ernst à une relation quasiment incestueuse avec Gala sous le même toit qu'Eluard. C'est l'époque des années folles : Joséphine Baker. Libération sexuelle dans les milieux artistiques et intellectuels : Nadja internée, maîtresse d'André Breton. Mourir de ne pas mourir met au coeur de cette section les problèmes sentimentaux. Le pronom personelle "nous" n'indique pas seulement

nouveaux Etats mais créent aussi des tensions entre les pays. Cette après-guerre a donnée naissance aux "Années Folles". La musique et la dance avait une place importante ces années la. La figure emblématique des années folles est La célèbre" Joséphine baker" danseuse, chanteuse et agent de contre-espionnage coté français pendant la seconde guerre mondiale. L’Homme des années folles devient un homme individualisme. L'individualisme est une conception politique, sociale et morale qui tend à privilégier

soi Les années folles (1920) Libération de la femme Progrès technologique Essor d’une nouvelle société Le luxe n’est plus un monde à part La concurrence commence L’après-guerre Hollywood, élégance et sophistication (Greta Garbo, Josephine Baker) Age d’or des maisons de couture parisiennes Influence des créateurs français : Dior, Cardin, Givenchy et Saint Laurent La société contemporaine – 1 Stratégie : Nombreuses fusions et acquisitions (LVMH Bulgari) PPR (Bottega Veneta et Balengiacia)

peuple colonial ou alors en a une vision très exotique. -Les romans où l’on peint les « sauvages » avec Pierre Loti. -La peinture avec Delacroix et Ingres. -La chanson française populaire, suffisante vis à vis des indigènes. -Les cabarets où Joséphine Baker va venir s’exhiber devant les petits bourgeois avec un pagne en banane. -La publicité où le noir sera le porte-flambeau de nombreuses marques. - Les zoos humain avec l’exposition coloniale. Heureusement, Picasso et Matisse vont voir une véritable

signature Perrier est déclinée dans de nombreuses annonces presse. La pratique sportive associée à Perrier est originellement le tennis. En 1937, dans une série publicitaire qui décline le thème « Ses deux amours » (reprise de la chanson de Joséphine Baker, « J’ai deux amours, mon pays et Paris », 1931), une joueuse de t’en air affiche ses deux amours, sa raquette et Perrier. Notons qu’à cette occasion, le produit se féminise. Perrier sollicite les affichistes célèbres et les plus grandes plumes

forme d’art. On peux dire que la musique, la peinture ou même la littérature peux se transposer au cinéma. Grace aux exemples que je cite, on se rend compte que cela fonctionne, avec facilité et réussite aléatoire mais toujours en vain. Joséphine Baker Le film musical est un genre de cinéma qui contient de la musique, des chansons ou de la danse. Il peut être confondu avec la comédie musicale, forme de théâtre où ont été ajoutées de la musique, des chansons et de la danse.