Joséphine Baker

émerge, ce qui a un impact non seulement sur la peinture, la sculpture et le design comme l’apparition du mouvement artistique dit « Art Déco ». Les français se passionnent pour les spectacles de Music-hall (notamment les revues, comme celle de Joséphine Baker), les opérettes, le théâtre, le cirque mais également le cinéma qui devient de plus populaire. La représentation théâtrale connaît un vif succès d'audience et un incontestable renouveau au cours des années 1920, tout d'abord au niveau de la représentation

espace scénique qui accueille danseurs et chanteurs venues d'ailleurs qui se succèdent dans de différents numéros (cirque, pantomime, revues). 1925 → Le théâtre des Champs-Élysées accueille La Revue Nègre dans laquelle va triompher Joséphine Baker. Joséphine Baker incarne l’essence africaine selon la conception que l'on en a à l'époque : ses postures et ses grimaces évoquent aux spectateurs les sculptures nègres. Sa gestualité romps avec les codes esthétiques ds ballets européens. Sa danse se

les Champs-Élysées avec la Revue nègre animée successivement par Florence Mills, dit « Flossie Mills » et Joséphine Baker. Vêtue d'un simple pagne de bananes, cette dernière danse avec une furie suggestive sur un rythme de charleston —une musique alors encore inconnue en Europe— l'interprétation d'un tableau baptisé La Danse sauvage. Le scandale fait rapidement place à l'engouement général. Joséphine suscite rapidement l'enthousiasme des Parisiens pour le jazz et les musiques noires. Le charleston se

patriarcat, système politique ou social dans lequel le père détient l'autorité. La plus française des américaines... Joséphine Baker est une artiste française née à Saint Louis dans le Mississippi en 1906. Issue d'un milieu modeste, elle travaille dés son plus jeune âge pour faire vivre l'ensemble de sa famille. Elle se marie à l'âge de treize ans. Depuis son plus jeune âge, la petite Joséphine danse.... Elle quitte son mari pour danser dans une troupe. Elle se remarie à Philadelphie puis se rend à New

temps perdu, les années 20 s'amusent avec frénésie, au rythme du jazz et du charleston, applaudissent Joséphine Baker et sa Revue Nègre, découvrent la vitesse et le monde grâce à l'automobile et 1901 Mots8 Pages Années folles Après la première guerre mondiale, comme pour rattraper le temps perdu, les années 20 s'amusent avec frénésie, au rythme du jazz et du charleston, applaudissent Joséphine Baker et sa Revue Nègre, découvrent la vitesse et le monde grâce à l'automobile et l'avion, aiment les activités

· Une figure héroïque contemporaine : Joséphine Baker (1906-1975), vedette du music-hall et icône des Années folles. Durant la Seconde Guerre mondiale, elle joue un rôle important dans la Résistance française. Elle utilise ensuite sa grande popularité au service de la lutte contre le racisme et pour l’émancipation des Noirs, en particulier en soutenant le mouvement américain des droits civiques. En 1946, Joséphine Baker reçoit la Médaille de la Résistance française. Le 18 août

Les chansons 1ère chanté par un haut gradé allemand : J'ai deux amours de Joséphine Baker. Il chante : "J'ai deux amours mon pays et Paris !". On sait ensuite grâce à la protagoniste principale Camille lors de sa visite guidée du film interprété par Agnès Jaoui que cet haut gradé n'a pas exécuté le ordres d'Hitler et a refusé de détruire Paris. On comprend alors le sens de cette chanson dans ce contexte qui explique le refus de l'officier allemand. 2ème chanson :" Paroles Paroles" de Dalida avec

Paris composé par Jose Padilla, Mon homme8 sur les paroles d'Albert Willemetz, qui écrit aussi pour elle de nombreuses chansons et revues pour les Folies Bergère et jusqu'aux États-Unis. Image type de la parisienne, elle fut en concurrence avec Joséphine Baker. En 1937, elle tourne son premier film parlant, Rigolboche.

Les Années Folles en Europe et aux Etats-Unis Après la première guerre mondiale, comme pour rattraper le temps perdu, les années 20 s'amusent avec frénésie, au rythme du jazz et du charleston, applaudissent Joséphine Baker et sa Revue Nègre, découvrent la vitesse et le monde grâce à l'automobile et l'avion, aiment les activités de plein air pratiquées par des femmes qui n'ont plus peur d'avoir le teint hâlé. Figure emblématique, la "garçonne" porte des tenues et des accessoires masculins (chapeau

Luciano Pavarotti, Elisabeth Schwarzkopf, Jessy Norman... Pour la danse, citons les Ballets russes de Diaghilev, les Ballets Suédois, le New York City Ballet de Balanchine, Roland Petit, Maurice Béjart, les troupes russes du Bolchoï, sans oublier Joséphine Baker et sa Revue nègre ».( www.eve.fr/culture/lieux) -23 mai 1913 : lors de la saison inaugurale, 1° du Sacre du Printemps : « Mais tout à coup, un soir, cette chose sans bénéfice, ce refus de profiter du passé, ce coup terrible apporté aux habitudes