Joseph Joffre

environ à dix kilomètres de Condé pour prendre part à une revue ou plutôt à une cérémonie sensationnelle. C’était la remise de la grand-croix de la Légion d’Honneur au général Pétain, le soit disant vainqueur de Verdun, par les mains du généralissime Joffre en personne. Toute la division, 114ème et 125ème de ligne, génie, artillerie avec leurs drapeaux et musiques, étaient là. Malgré la grandeur de ce spectacle, pas un habitant ni habitante ne vinrent y jeter un regard curieux. Ils estimaient avec juste

le général Joffre, c’était le prix à payer afin de stopper l’avancée des soldats de Guillaume II. Ce qui fut fait. Mais, ici, ni vraie victoire ni vraie défaite. Seulement le début de la guerre de position et de la tuerie qui emporta près de 10 millions de soldats et 9 millions de civils. «Au moment où s’engage une bataille dont dépend le salut du pays, il importe de rappeler à tous que le moment n’est plus de regarder en arrière. » Ainsi commence le communiqué officiel du général Joffre, commandant

qui deviendra « la Grande Guerre » (1914-1918), les armées allemandes attaquent la France : c'est la « bataille des frontières » (août 1914): les Français reculent. S'engage alors la 1e bataille de la Marne, épisode fameux de "la Grande Guerre", où Joffre et Gallieni sauvent Paris. En octobre 1914, les Allemands tentent d'empêcher les britanniques de débarquer : c'est la « course à la mer ». Les premières tranchées de 1914-1918 apparaissent. Russes et allemands s'affrontent sur le front oriental de

BATAILLE DE LA SOMME 1916 19 mai: En raison de l'attaque allemande à Verdun, Joffre réduit la participation française dans la bataille de la Somme qui se prépare. 24 juin: Début de la préparation d'artillerie. 29 juin: A cause de la pluie et d'une préparation insuffisante, l'attaque est reportée. 1er juillet: Début de l'offensive. Échec total au Nord, plus de succès au Sud : les Britanniques prennent Mametz et Montauban. Les Français progressent. 14 juillet: 2ème attaque d'envergure. Les Britanniques

ayant connu l’épreuve du feu dans les colonies et ceux qui ont uniquement servi en métropole. Les cinq années qui précèdent la guerre sont une tentative de retour à une certaine forme d’investissement, dans une armée où règne la routine. Le général JOFFRE cherche dès 1908 à revitaliser l’instruction en multipliant les exercices de cadres et des manœuvres. Les commandants de divisions territoriales et des différents corps d’armée sont pourtant peu enclins à innover, ni à s’intéresser à des changements

contraire. Il faut, en effet, concevoir diverses plans de guerre, tout en gérant l'économie, la psychologie des hommes, etc.. Ainsi, l'offensive en Flandre est décidée à la conférence de Chantilly le 6 Décembre 1915. Mais l'officier général français Joffre parvient à la déplacer en Picardie en Janvier, suite à de nombreuses réclamations. De plus, le lieu choisi ne doit pas être déjà un espace de combat et doit être bien desservi dans les voies de communication. C'est pourquoi la bataille de la Somme

britannique) pour proposer une contre attaque commune lorsque les Allemands arriveront sur la Marne III – La bataille de la Marne a) Préparation de la bataille : Dès le 24 aout 1914 alors que les troupes françaises sont partout en repli, le général Joffre reste persuadé que l’armée française peut encore lancer une contre attaque victorieuse. Il prend les premières décisions qui doivent permettre cette contre offensive . Tout d’abord, il renvoie et remplace les généraux qu’il juge incompétents

Les grandes batailles de la première guerre mondiale ➢ Bataille de la Marne Le général français Joffre et le commandant britannique French profitent d'une initiative hasardeuse de l'aile droite allemande du général Kluck (négligeant Paris, elle cherche à couper la retraite de l'armée française, présentant ainsi le flanc à l'armée couvrant la capitale) pour lancer une contre-offensive : c'est la bataille de la Marne (24 août-13 septembre 1914), où, après plusieurs jours de combats acharnés

Hommage à Joffre Dumazedier Itinéraire d’un humaniste Sommaire Introduction, Jean Gondonneau, Président de Peuple et Culture 3 Itinéraire de Joffre Dumazedier, vers un humanisme du XXIe siècle, Paule Savane 4 Montage culturel autour de Joffre Dumazedier Extraits des témoignages reçus Bon de commande de la cassette vidéo sur Joffre Dumazedier 9 24 27 Union Peuple et Culture • 108 rue Saint Maur • 75011 Paris • t/ 01 49 29 42 80 • f/ 01 43 57 62 42 • e/ union@peupleet-culture.org •

accompagné par le droit à l’éducation et à la culture. | | | | |Mais, plus particulièrement, l’équipe initiale appartient à la génération du "Front populaire". Joffre Dumazedier,| | | | |Bénigno Cacérès, Paul Lengrand, Joseph Rovan et tous ceux qui ont participé aux premières réunions à Grenoble, à | | | | |Annecy puis à Paris, avaient entre 20 et 25 ans lorsque le gouvernement du Front populaire est arrivé au pouvoir. | | | | |Ils