Jonas d'Orléans

le Beaujolais, était depuis 1465 un allié docile ; en 1474, le mariage d’Anne de France, la fille préférée du roi avec un cadet de sa maison, Pierre de Bourbon, sire de Beaujeu, fit plus intimes encore les rapports des deux familles. De la maison d’Orléans, contre laquelle il nourrissait une haine particulière, Louis XI pensa assurer l’extinction en obligeant, en 1476, le duc Louis à épouser une autre de ses filles, Jeanne, qui n’était pas seulement contrefaite, mais hors d’état d’avoir des enfants

carolingiens la composante noble de l’armée. 5 Le land allemand de Rhénanie-Palatinat, tirant son nom de son prince qui était palatin, c’est-à-dire l’un des grands électeurs de l’Empire romain germanique. Au 17e siècle, la duchesse Charlotte-Elisabeth d’Orléans, belle-sœur de Louis XIV, était dite la « Princesse palatine », parce qu’originaire de Bavière, autre principauté électrice. 6 Le chancelier (cancellarius) a pour fonction originelle de tenir le chancel ou barrière liturgique, séparant le chœur et

synodales. ( BURCHARD DE WORMS, Décret. ( YVES DE CHARTRES, Panornia. 2. LA JUSTICE ROYALE Les théologiens carolingiens identifient le roi à la loi et à la justice, à l’image des rois bibliques David et Salomon. Pour JONAS, évêque d’Orléans, la justice = fondement du ministère royal. Cette image du roi justicier demeure très vivace dans la pensée politique des Xe-XIe siècles. ( Lors du sacre, en Francie occidentale, le roi promet par serment de conserver la loi et la justice

l’aff. Il peut aussi intervenir qd le tribunal comtal refuse de juger une aff : déni de justice. Il statut surtout en 1ère instance pour les crimes les + graves (trahison, désertion, de lèses majesté + aff touchant les pers proches du roi). Jonas d’Orléans : fait une descript° du tribunal du Palais où il décrit un roi omnipotent écoutant ttes les causes mm celles concernant les pers les + humbles MAIS tableau idéalisé car cadre où roi ne peut en réalité pas convoquer ttes les aff touchant le royaume

Dieu. Il accorde à l’empereur qu’il peut intervenir dans les affaires de l’église il peut et doit en espèce faire régner la discipline ecclésiastique. Il doit être pacificateur. Le peuple chrétien. * Jonas D’ORLEANS, auteur d’un traité : de « L’institutions royales ». C’est un évêque d’Orléans et aussi un conseiller de l’empereur de Louis le PIEUX, fils de Charlemagne. Il définit la fonction de l’empereur comme le fait de gouverner et de régir le peuple de Dieu dans l’équité et la justice. C’est

Fantaisies de Gaspard de la Nuit Les Chroniques Maître Ogier (1407) Le dit roy Charles sixiesme du nom fust très débonnaire et moult aimé ; et le populaire n’avait en grand’haine que les ducs d’Orléans et de Bourgogne qui imposaient des tailles excessives par tout le royaume. Les Annales et Chroniques de France, depuis la guerre de Troyes jusques au roy Loys unzième du nom, par

IXème siècle L’image davidique domaine le règne de Charlemagne vu comme un roi prophète. Suivra Louis le Pieux. Nous voyons apparaître des écrits d’un genre nouveau destiné à être présenté au prince comme un modèle du gouvernement parfait. Jonas D’orléan écrit en 832 un traité relatif à l’institution royale dans lequel il invite la prince à suivre ces réflexions afin qu’il y contemple ce qu’il doit être et faire. On redécouvre un texte essentiel et est interprété d’une manière différente, c’est

Cependant, à sa mort, il laisse son fils (Louis le Pieux, ayant lui même 4 fils qui contesteront son pouvoir et son projet de division de l’empire, d’ou le fait que les juristes de l’époque vont recommencer à redefinir la royauté ministerielle tel Jonas d’orléans et Hincmar de Reims, deux evêques réaffirmant avec beaucoup de vigueur la théorie de la royauté ministerielle, idée que la fonction est un ministère confié par Dieu et n’ayant pas à rendre compte au pape lais à Dieu. Le glissement du pouvoir en

d’obtenir de «Charles septième du nom» la libération du «noble seigneur Gilles de Rais» avec lequel il a «pourfendu tant de Godons sous le commandement de Jehanne la Pucelle». Il se rend à Paris, monté sur Sthène, qui récite un rondeau de Charles d’Orléans, tandis que Mouscaillot est sur Stèphe. Chapitre VI À Paris, le duc apprend du vicomte de Péchiney que le roi se trouve «sur les bords de la Loire», ce qu’il trouve «mal séant». Cidrolin semble continuer le dialogue du duc, mais parle à un

la théocratie pontificale. Les principes de la théocratie royale ont été développé sous Charlemagne, par un moine qui s'appelait Alcuin. Sous louis le pieu, c'est un autre individu qui va ajouter des éléments à cette doctrine, il s'agit de Jonas d'Orléans. Alcuin va tenter de justifier les prérogatives du roi carolingien. Selon lui, le roi doit en qualité de représentant de dieu sur terre être le vengeur des crimes, le correcteur des erreurs et le pacificateur. Ces attributions vont alors étendre