John Stuart Mill Justice

En quête d’une théorie de la justice sociale Jean-Marie Harribey 2 novembre 2005 Poser la question de la justice renvoie à première vue hors d’une problématique économique orientée vers la recherche d’efficacité. Car il s’agit d’une démarche avant tout politique et philosophique. Pourtant, nombre de penseurs se sont efforcés avec plus ou moins de bonheur de montrer que la recherche de l’efficacité en termes d’affectation des ressources et la répartition de celles-ci étaient étroitement liées,

Justice occidentale [modifier] Justice et inégalitéLa justice est polymorphe, dépendant des époques et des civilisations. Pour la philosophie occidentale antique, la justice est avant tout une valeur morale. La « justice morale » serait un comportement alliant respect et équité à l'égard d'autrui. Cette attitude, supposée innée dans la conscience humaine serait elle-même à l'origine d'un « sens de la justice », valeur universelle qui rendrait l'être humain apte à évaluer et juger les décisions

économique a pour spécificité la consécration du principe de la liberté au niveau économique ; liberté qui elle-même se décline en liberté d’entreprise et en droit de propriété. Les théoriciens de référence du libéralisme économique sont entre autre John Stuart Mill, Adam Smith, David Ricardo ou encore Jean Baptiste Say. Les postulats de base de l’économie politique classique sont entre autres le laisser faire, la non interférence, l’existence d’une main invisible telle que théorisée par Adam Smith. Au delà

politiques. Réformateurs : Luther, Calvin, Ignace de Loyola et Thomas More. L’école classique : regroupe les economistes du 18ème et du 19ème. Les membres les plus importants : Adam Smith (18) David Ricardo (18-19) Thomas Malthus (18-19) John Stuart Mill (19) Jean Baptiste Say (18-19) Frédéric Bastiat (19) Terme employé la première fois par Karl Marx dans «le capital». Un courant dont la délimitation dépend de l’appréciation des différents auteurs et économistes. Pour exemple, Schumpeter

général. Il a pour ressort, non l’égoïsme, mais la sympathie pour tout ce qui est homme, une piété plus large pour toutes les douleurs, pour toutes les misères humaines, un plus ardent besoin de les combattre et de les adoucir, une plus grande soif de justice ». L’individualisme appelé à se développer est donc en fait un solidarisme : chacun est autonome, pense librement, sans dépendance à des autorités supérieures, mais est invité à se préoccuper d’autrui. Le lien social ne peut plus reposer sur les formes

sobrement, Norberg commente ces faits ainsi: «L’économie d’un pays s’améliore d’abord parce que les habitants travaillent, épargnent et investissent. Des impôts élevés sur le travail, l’épargne et le capital ont donc pour effet, dans les mots de John Stuart Mill, de "pénaliser les gens pour avoir travaillé plus fort et mis plus d’argent de côté que leurs voisins". Cela décourage les gens de faire les activités qui sont les plus bénéfiques pour la société. [...] Où s’imagine-t-on que taxer l’esprit d’entreprise

Jean Baptiste Say (1767-1832) * 4.3.2.2 Frédéric Bastiat (1801-1850) * 4.3.2.3 Paul Leroy-Beaulieu (1843-1916) * 4.3.3 Aux États-Unis : Henry Charles Carey (1793-1879) * 4.3.4 L'effort de synthèse : John Stuart Mill (1806-1873) * 4.4 Les Néo-classiques : des choses aux mécanismes * 4.4.1 L'école de Vienne : Calcul différentiel et Utilité marginale * 4.4.2 L'École de Lausanne : l'Équilibre en économie pure * 4.4.2

compte des conséquences de cette médecine d'amélioration, on ne connaît pas tous les effets secondaires. Le fait de faire des erreurs sur les souris n'est pas un problème mais sur un humain, on ne peut l'accepter! * Il faut tenir compte de la justice sociale, ses technologies risquent d'être accessible qu'aux plus riches. Il faut qu'on assure une redistribution sociale. * Il faut tenir compte du Conformisme social : tout le monde voudra avoir ou faire la même chose; exemple : des yeux fluorescents

lois qui ont été conçus purement et simplement dans le but d’empêcher les gens d’agir de façon immorale, ainsi c’est un point de vue datant déjà d’avant le 20ème siècle. Cependant, dès le 20ème siècle, le « principe du préjudice » proposée par John Stuart Mill selon lequel la loi doit sanctionner les gens agissant de façon immorale si leur comportement cause un préjudice à autrui, ce principe a gagné de plus en plus en popularité et a aboutit à la suppression d’un grand nombre de « lois morales ».

Influences sur WORDSWORTH, COLERIDGE… et sans doute sur William MORRIS dont l’utopie de 1890 réactive à un siècle de distance les esquisses formulées par GODWIN dans son An enquiry concerning political Justice, and its influence on general virtue and happiness de 1793. Avant PROUDHON, l’accent est mis sur la Justice et l’autonomie fédéraliste. ( une tradition « radicale » fin XVIII°-début XIX° prestigieuse : Thomas SPENCE 1750-1814 (proche de GODWIN sur féminisme et communalisme), OGILVIE (1736-1813), Thomas