John Stuart Mill Justice

son application (1832). Tocqueville s'inscrit ensuite comme avocat, et publie en 1835 le premier tome De la démocratie en Amérique (le deuxième en 1840), œuvre fondatrice de sa pensée politique. En 1840, il est reçu en Angleterre par son ami John Stuart Mill, et publie son essai L'État social et politique de la France avant et depuis 1789 qui formera ses grandes bases de réflexions sur l'Ancien Régime et la révolution. Grâce à son succès, il est nommé chevalier de la Légion d'honneur (1837) et est

des devoirs moraux envers les autres et non des devoirs moraux envers soi-même (ce que prône l’éthique maximaliste, qui quant à elle juge immorales certaines actions comme le suicide, la masturbation, la prostitution, etc.). Dans la lignée de John Stuart Mill, l’éthique minimaliste met au premier plan le principe de ne pas nuire à autrui, de ne pas lui porter préjudice et rejoint, dans leurs grandes lignes, les positions libérales et libertariennes. La vie, la mort, l’Etat, plonge alors cette éthique

tout autre suivant une loi universelle. Pour lui, la réalisation de tous les désirs ne peut être morale, ce qui pousse donc à dire que l’on n’est pas libre quand nous faisons ce que nous voulons. D’autres philosophes approuvent cette idée comme John Stuart Mill qui dit que la liberté de l’individu doit ainsi être bornée : il ne doit pas se rendre nuisible aux autres. Nous retrouvons aussi cette vision du respect dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen dans laquelle nous retrouvons :

precautions beforehand that disputes may not arise. The laws of most countries lay down rules for determining many things, not because it is of much consequence in what way they are determined, but in order that they may be determined somehow. » John Stuart Mill, Principles of Political Economy,Book IV II. …De nouveaux modèles présentant la pensée libérale comme un mythe occidental émergent… II.1 Les critiques portées à un accroissement indéfini des richesses   «The financial crisis that

permet de définir à l’homme ce qui adviendrait de le rendre heureux et de savoir quand il le sera. 5) L animal ne peut donc pas etre heureux, vu qu’il n’a pas de conscience : « Il vaux mieux etre Socrate insatisfait qu’un porc satisfait » John stuart mill 6) Selon Spinoza accomplir ses désirs passe d’abord par la raison et donc par la pensée. 7) La faculté et l’activité de penser confère à l’homme sa dignité ( cf pascale ) Le bonheur est le but ultime de la vie, si on l’atteint plus

La tolérance pousse à s’interroger sur ses limites. Dès le 18ème siècle, les précurseurs des Lumières, tel John Locke, ont commencé à définir la tolérance. Ils la voyaient comme la vertu qui porte à accepter ce qui est contraire à la morale. La tolérance fut ensuite l’objet de nombreuses études, dont celle de Jean Rostand, écrivain français du 20ème siècle. Le monde n’a su se mettre d’accord sur ses bornes. Jusqu’où peut-elle aller ? Où sont ses limites pour ne pas outrager autrui ? Que ce soit

Si tu veux être heureux un jour, tue ton cochon, Si tu veux être heureux une semaine, fais un beau voyage, Si tu veux être heureux un an, marie-toi, Si tu veux être heureux toute ta vie, fais-toi jardinier. Extrait de « L’utilitarisme » de John Stuart Mill où figure le passage célèbre : « Il vaut mieux être un homme insatisfait qu’un porc satisfait, il vaut mieux être Socrate insatisfait qu’un imbécile satisfait. »

Y-a-t-il une sorte de guerre qui soit légitime et morale? Or, pour trouver sa propre réponse, il faut d’abord comprendre la problématique de la guerre, ses enjeux, ses problèmes et un peu de son histoire. De plus, l’aide de plusieurs philosophes, comme Mill et Nietzsche, ayant une opinion sur le sujet peut apporter un certain appui à la réflexion. Par contre, il est important d’avoir un esprit critique vis-à-vis leur théorie car ce ne sont que des hommes eux aussi. Enfin, après avoir compris la problématique

un  nationalisme frustré par la défaite de 1870 l'occasion d'une reconquête du rang de  grande puissance ; c’est l’objectif des républicains Gambetta et Ferry (Cf. discours de                                                          3  Cf. John Stuart Mill (1862) : "Cette théorie fausse de politique coloniale […] qui regardait les colonies  comme  précieuses,  parce  qu'elles  fournissaient  pour  nos  productions  des  marchés  que  nous  pourrions  garder  pour  nous  seuls :  un  privilège 

richesse des nations » livre par Adam Smith de 1776. « L’impasse mercantiliste » selon lui car un pays ne peut s’enrichir indéfiniment face à un autre. La vraie richesse se trouve dans le travail humain. Le commerce doit être équilibré. D’après J S Mill « importer c’est financer les futures exportations ». Chaque pays à intérêt à se spécialiser, en abandonnant les productions moins bien maîtrisés et coûtant trop cher. A Smith « la maxime de tout chef de famille prudent est de ne jamais essayer de