Jean-Pierre Elkabbach

Commentaire littéraire : Bel-Ami de Guy de Maupassant page 271-273 : Guy de Maupassant est un écrivain du 19eme siècle qui est inspiré par le mouvement du réalisme. Il est connu pour avoir écrit des romans comme Une vie (1883), Bel-Ami (1885), Pierre et Jean (1887-1888), etc... et aussi des nouvelles comme Boule de suif (1880), Le Horla (1887), etc... Son roman Bel-Ami est publié en 1885, cette œuvre est qualifié de réaliste. Le roman retrace l'ascension sociale de Georges Duroy. Le passage que nous

Pierre et Jean (Maupassant) Chapitre II • Hypothèse : La situation vient d'être perturbée. Cette perturbation crée une tension notamment chez Pierre. Il y a à la fois une tension et un apaisement liés à la découverte de la jalousie. Ceci se fait dans le cadre d'un monologue intérieur. Pierre veut maîtriser et soigner ses sentiments. Il est médecin y compris par rapport à son âme. 1) Les données du récit : monologue intérieur : moment d’arrêt dans le récit( personnage assis, pas d'action

structure du sujet peut démontrer de la façon la plus remarquable les traits spécifiques de la nouvelle de Maupassant. De plus, c’est Maupassant même qui porte la plus grande attention à l’aspect de la composition. Dans la préface du roman Pierre et Jean qui représente l’interprétation la plus systématique de sa propre poétique, il écrit : "Le réaliste, s’il est artiste, cherchera non pas à nous montrer la photographie banale de la vie, mais à nous en donner la vision complète, plus saisissante

des Soirées de Médan (1880). Le naturalisme est un mouvement littéraire qui cherche à rendre la réalité telle qu’elle est. Les personnages ne sont pas des héros vivants des aventures extraordinaires. Romans : Une vie (1881), Bel-Ami (1885), Pierre et Jean (1888).

Esthétique Commentaire de texte Maupassant, Préface à Pierre et Jean Guy de Maupassant, né en 1850, marque la littérature française et notamment les courants auxquels il prend part, le naturalisme et le réalisme. Le texte présenté ici est la préface de son roman Pierre et Jean de 1887, qui expose l'idée de l'auteur au sujet du roman naturaliste. Nous étudierons donc dans un premier temps la thèse et le courant que défend Maupassant à propos du travaille de l'artiste, de l'écrivain et

par amour partagé de la mer. Après leurs études à Paris, les deux fils de M. et Mme Roland, Pierre, l’aîné, médecin, et Jean, avocat, décident de s’installer dans la nouvelle résidence familiale. Une somme d’argent laissée en héritage à Jean par un ami de la famille, Léon Maréchal, renforce la rivalité des deux frères, opposés physiquement et moralement[1] . Un soupçon naît chez Pierre : et si Jean était le fils de Maréchal ? Peu à peu, il découvrira la vérité et le secret familial en fouillant

Présentation de l’auteur  Guy de Maupassant est un écrivain français né le 5 août 1850, mort le 6 juillet 1893 à Paris. Il ne vit pas longtemps mais se fera remarquer grâce à ses romans tel que «  Une vie, Bel-ami, Pierre et Jean ou encore le Horla... » Cet auteur appartient au courant littéraire des réalistes comme Rabelais, Stendhal, Diderot ou Boileau. Parallèlement à ses articles, qu’il publie quelquefois sous pseudonyme, Maupassant multiplie les publications de recueils de récit courts

hommes de manière très fidèle. En 1888, il publie son célèbre Pierre et Jean, un roman caractéristique de l’œuvre de Maupassant et du mouvement réaliste. Le réel y est vu par les personnages, ce qui en fait aussi un roman d'analyse psychologique. L'extrait se situe à la fin du roman, dans le 9ème chapitre. Toute la famille Roland se réunit à bord de « la Perle », leur barque pour le départ sur le grand paquebot « La Lorraine » de Pierre vers sa nouvelle vie à la découverte du monde. On peut alors

Mottet Thème de l’argent dans l’œuvre Pierre et Jean I L’argent : seul lien qui unit la famille  Dans le roman « Pierre et Jean » de Guy de Maupassant : chaque personnage vit à l’écart des autres, le seul lien existentiel qui les rassemble est l’argent, mais cependant ce lien devient malsain. Les Roland sont une famille complice au début du livre jusqu’à l’annonce du décès de Monsieur Léon Maréchal qui va introduire l’héritage que va recevoir Jean, ainsi. La famille qui était de-là très

abrégé) de Pierre et Jean (chap. 8) : « Alors il s’étendit tout habillé sur son lit et rêvassa jusqu’au jour. Vers neuf heures il sortit pour s’assurer si l’exécution de son projet était possible. Puis, après quelques démarches et quelques visites, il se rendit à la maison de ses parents. Sa mère l’attendait enfermée dans sa chambre. (…) La voix de la bonne sortit des profondeurs du sous-sol : — V’la, M’sieu, qué qui faut ? — Où est Madame ? — Madame est en haut avec M’sieu Jean ! (...) —