Jean-Charles de Castelbajac

Nestlé Depuis 1973, le célèbre tableau de Vermeer sert d’accroche visuel aux produits de la marque Nestlé (anciennement Chambourcy). • Doc œuvre 2:(art du quotidien: stylisme) Détournement de Keith Haring par Jean Charles de Castelbajac. Lors de son défilé automne-hiver 2002-2003, Castelbajac célèbre le trait éclatant du peintre, à la façon d’un camouflage. • En 1986, Keith Haring lui-même ouvre, dans le quartier de Soho (New York), son Pop Shop au 292 Lafayette Street, où il vend ses produits dérivés

« Lorsqu’en 1968 j’ai dessiné mes premiers vêtements, mon premier choc a été les évènements parisiens où, pour la première fois, je voyais les étudiants mettre des vêtements de situation fonctionnels, des blue-jeans, des parkas de l’armée. », J.C. de CASTELBAJAC. Peu à peu, le vêtement de travail devient un accessoire de mode. En 1982, Naf Naf lance même une série de combinaisons, qui deviendront des basiques. De plus, chez les hommes, le manteau et le costume d’ouvrier issu du constructivisme Russe participeront

un mur est artistique ou non. Il est donc difficile de savoir où se trouve la limite entre art et vandalisme. LE PHÉNOMÈNE KIDULT En janvier 2011, au lever du soleil, le patron de la marque de vêtements de luxe parisienne JC/DC, Jean-Charles de Castelbajac, eu une vision d’horreur en ouvrant sa boutique. Un graffiti géant recouvrait entièrement sa vitrine. Nouvelle déco ? se dit-il. Non, Kidult était simplement passé par là la nuit d’avant. Coup de folie alors ? Non plus. Kidult, avec plus

Après des études d'ingénieur (1944-1950), il sera employé par Caterpillar-France et Dupont de Nemours. En 1953, il intègre Technès, le bureau d’études techniques et d’esthétique fondé en 1949 par Jacques Viénot, le père de l’esthétique industrielle, et Jean Parthenay. Rapidement promu au poste de directeur technique et artistique de l’agence, il en deviendra même directeur à la mort de Jacques Viénot en 1959. Enseignant dès 1957 à l’École des arts appliqués de Paris, il met en place le premier cours

de diamants blancs bordés d’or 18 carats pour la somme modique de 15000 € - À partir de 2004 les collections en édition limitée démarrent avec des marques ou créateurs reconnus, comme Jean Paul Gaultier en 2002 (Tous les mannequins en portaient pendant son défilé de prêt-à-porter d’été), Jean-Charles de Castelbajac en 2003, Francesco Smalto en 2004, ou encore Céline, Paul Smith, Anne Fontaine(la marque de chemisiers féminins ), Angela Missoni fin 2010. - Met en place des partenariats et co-brandings

Art, il imagine des vêtements aux formes géométriques et des accessoires dans ces nouveaux matériaux. Les parfums : Après un éloignement temporaire du monde de la haute couture, Courrèges a confié la réalisation de ses collections à Jean Charles de Castelbajac en 1994 et en 1995. Depuis il développe son activité commerciale, accorde des licences et a créé plusieurs parfums, dont Sweet Courrèges en 1993.

pratiques, faciles à entretenir et à repasser. De plus, les femmes ne changent pas souvent de tenues et se contentent de renouveler leur garde-robes deux fois par an. La silhouette devient plus plate et géométrique en général. Les couleurs criardes et le jean sont de plus en plus portés avec le mouvement hippie importé des États-Unis. La première grande révolution que connaît la mode durant ces deux décennies est l’invention de la mini-jupe en 1962 par la britannique Mary Quant. Jamais l’on avait osé porter

cape ni épée, mais un sweat à capuche et, à la main, un extincteur rempli de peinture. Son nom, il le tague à grands jets de couleur en lettres capitales sur les vitrines des enseignes de mode : KIDULT. Après Yves Saint Laurent, Colette, Jean-Charles de Castelbajac, agnès b., Louis Vuitton ou encore Hermès, “Toutes ces boutiques ont utilisé la culture du graffiti comme image commerciale, lance-t-il, lapidaire, dans une vidéo menaçante et anxiogène publiée en mai. Ces marques aiment le graffiti. Je

ses études à la Sorbonne à Paris puis à l'école du Louvre pour devenir conservateur du musée. Il rencontre Jean-Jacques Picart , attaché de presse pour de nombreuses maisons de luxes dont Guy Paulin et Hermès qui lui ouvrent leurs portes. Il rencontre également Françoise, sa future femme, qui le soutient lorsqu'il décide de se lancer dans la mode. En 1981, il entre chez le grand couturier Jean Patou. En 1987, il ouvre alors sa propre maison de couture Christian Lacroix avec l'appui de la société

l'environnement de l'homme.1983:: Le groupe japonais Itokin achète les 50% appartenant à l'Oréal. Courrèges devient actionnaires minoritaire.1986: Courrèges commercialise la ligne homme uniquement sur le marché américain.1993: Courrèges recrute Jean-Charles de Castelbajac pour dessiner, sous son impulsion deux collections visionnaires.1995/1996: La marque est rachetée au groupe japonais par les Courrèges. Coqueline reprend la direction artistique et abandonne la haute couture. Elle réédite d'anciens modèles