Je l'aime à mourir

peuvent avoir ces deux manières d’aimer. Guy de Maupassant: Fort comme la mort, 1889 (extrait) Non, vous aimez en moi, comme vous le disiez fort bien avant dîner, une femme qui satisfait les besoins de votre cœur, une femme qui ne vous a jamais fait une peine et qui a mis un peu de bonheur dans votre vie. Cela, je le sais, je le sens. Oui, j'ai la conscience, j'ai la joie ardente de vous avoir été bonne, utile et secourable. Vous avez aimé, vous aimez encore tout ce que vous trouvez en moi d'agréable

composés à partir d'alexandrins. Ces trois poèmes sont adressés a des personnes, ils sont orientés autour du thème de la mort. Nous avons donc des textes de même genre, basés sur une même réflexion et un même thème, mais tout trois sont d'époques différentes, puisque le poème de P. de Ronsard date de 1586, celui de de V. Hugo de 1856 et pour finir le poème de G. Apollinaire date de la première guerre mondiale, autrement dit: de 1915. On remarque que les trois auteurs s'adressent tous à des personnes

Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, est né le 6 janvier 1622 à Paris. Il meurt le 17 février 1673. Cet écrivain, qui a vécu au XVIIe siècle, est un représentant du classicisme. Ce mouvement littéraire vise à remettre au goût du jour la littérature grecque antique. Il prend comme model les grands tragédiens grecques de l’antiquité comme Eschyle, Euripide, Sophocle et est aussi inspiré de grands philosophes comme Aristote. Une de ses pièces qui s’intitule Le Malade Imaginaire est représentée pour

plus loin on regarde vers le passé, plus loin on voit vers l’avenir » * « Peter Estinoff a dit un jour; une surabondance de rêves s’accompagne malheureusement d’un nombre croissant de cauchemars » * « Harriet Beecher Stowe a dit une fois; les larmes les plus amer que l’on verse sur les tombes, viennent des mots que l’on n’a pas dit et des choses que l’on n’a pas faites » * L’écrivain Albert Hesbade a dit; personne n’a autant besoin de vacances que celui qui vient d’en prendre » * « On

L'hypocondrie • C'est le nom savant que l'on donne à la maladie imaginaire. L'hypocondrie correspond à un état d'anxiété particulier d'une personne toujours préoccupée par sa santé et craignant perpétuellement d'être malade. Argan représente le type même de l'hypocondriaque qui se sent menacé par la maladie ou même par la mort : « Je ne m'étonne pas si je ne me porte pas si bien ce mois-ci que l'autre » (acte I, scène 1) ou « Ah ! mon Dieu, ils me laisseront ici mourir » (même scène). Argan est un angoissé qui

écris sous la forme de lettres que Werther envoie à son ami Wilhelm, à partir du moment où il quitte sa ville pour dessiner la nature là où il va, jusqu’au moment où il lui avoue que la vie est devenu insoutenable, ensuite, Goethe prend la place du narrateur et poursuis l’histoire, en la décrivant tel qu’il l’a appris. C’est au cours d’un bal que Werther rencontre Charlotte, dont il tombe immédiatement amoureux. Il sait que celle ci est engagée à Albert, mais décide de suivre sa passion et de poursuivre

mots importants à des endroits stratégiques du vers : « perfide » est placé juste avant la césure ; « forfaits » est placé à la fin du vers. - Il utilise le champ lexical du pardon : « oublier » ; « excuser » qui sont eux aussi placés à des endroits stratégiques comme juste après la césure. - Il exprime bien sa condition comme le témoigne les connecteurs logiques : « Pourvu que » ; « et que » ; « sans tarder ». - « Vos désirs avec moi ne sont-ils pas contents ? ». Cette phrase a pour but de convaincre

Hippolyte avoue à son confident Théramène qu’il est amoureux d’Aricie mais qu’il préfère fuir sa belle-mère, Phèdre, pour aller retrouver son père, Thésée. Scène II Phèdre est en train de mourir. Scène III Phèdre est mourante et elle est malheureuse car elle a un secret qu’elle finit par avouer à sa nourrice Oenone : elle est amoureuse d’Hippolyte, le fils de son mari, qu’elle a éloigné de son père. Scène IV On informe Hippolyte de la mort de son père. Scène V La nourrice conseille à Phèdre de

Certes, M. de Clèves est un homme passionné et a des raisons d'en vouloir à sa femme. En effet, après la déclaration de Mme de Clèves, son mari a beaucoup souffert, on dit même qu' « il pensa mourir de douleur », c'est à dire qu'il a ressenti une souffrance terrible. Cette expression est en redondance avec « affliction aussi violente ». En effet ce morceau de phrase évoque aussi une souffrance terrible. Dans ses paroles, M. de Clèves utilise le superlatif « personne ne peut être plus malheureux »

 « Andalousie, mon amour ! » projeté le lundi 26 février à Dakhla, traite un sujet épineux : l’immigration clandestine sous un ton satirique. 324485034290Propos recueillis par : AZIZ BOUZHAR Comment avez Vous conçu la trame de L’histoire de votre film « Andalousie, mon amour ! » ? Je crois que le scénariste Omar Saghi est le mieux placé Pour répondre à cette question, à Vrai dire nous avons essayé De traiter une