Je l'aime à mourir

CitationProcédéExplication« l'aime », « passion », « j'en tremble »Vocabulaire de l'amourAmour et passion de Dorante« c'est ce qui fait que »« que » : proposition subordonnée de conséquenceAnnonce une conséquence de l'amour« j'en tremble » Manifestation physiqueConséquence de l'amour, assez forte, qui s'imprime sur tout le corps« tremble », « vos terreurs »Vocabulaire tragiqueComme dans une tragédie, le personnage ressent de la terreur, une peur de mouri, Dubois qualifie les émotions de Dorante 

| |- Définitions de la tragédie dans trois préfaces de Racine ("Phèdre", "Britannicus", "Bérénice"): unité de temps et vraisemblance (une action dépouillée); | |la catharsis (pour un "état modéré et conforme à la raison"). | |- La forme de la tragédie, selon Alain ("Système des Beaux-Arts: Du tragique et de la fatalité."): l'accélération du temps

FICHE DE LECTURE Première Partie : 1.) Présentation a)Nom de l'auteur: Jean Racine. b)Titre de l’œuvre: Phèdre. c)Première parution: 1677. d)Nombres de parties: 5 actes en vers. 2.) L'auteur a)Présenter l'auteur: Jean Racine né à La Ferté-Milon le 22 décembre 1639 et mort à Paris le 21 avril 1699, il est dramaturge, poète ,considéré comme l'un des plus grands auteurs de tragédies de la période classique

OEUVRE ÉTUDIÉE. Personne et temps. Le récit est à la première personne, ce qui marque la place prédominante du narrateur. L'écrit est au passé composé. Le narrateur raconte de façon sobre les événements, le discours est rapporté de façon indirecte, cela laisse la place au narrateur, lui laisse le droit de ne rapporter que l'essentiel. Au fil du roman, on va passer du journal au récit. Dans la première partie, la chronologie est assez précise, on va de jour en jour, ou éventuellement, de semaine

dites-vous? ===ACTE deuxième=== ====Scène II.==== Titus. Hélas! à quel amour on veut que je renonce!
Pour jamais je vais m'en séparer. J'attends Antiochus pour lui recommander
Ce dépôt précieux que je ne puis garder:
Jusque dans l'Orient je veux qu'il la ramène.
Demain Rome avec lui verra partir la reine.
Elle en sera bientôt instruite par ma voix,
Et je vais lui parler pour la dernière fois. Je connais mon devoir, c'est à moi de le suivre:
Je n'examine point si j'y pourrai survivre. ====Scène

Boileau, définit les règles de la tragédie classique, les 4 vers ci-dessous définissent la règle de bienséance : « Ce qu’on ne doit point voir qu’un récit nous l’expose : Les yeux en le voyant saisiront mieux la chose, Mais il y a des objets que l’art judicieux Doit offrir à l’oreille et reculer des yeux » Nicolas Boileau, l’Art Poétique, 1674 Règle de bienséance : On ne doit rien représenter de choquant pour le spectateur sur scène : pas de mort, pas de scène intime, pas de langage vulgaire, pas de

retrouve aussi dans la tragédie en cinq actes Andromaque de Racine, écrite en 1667. Cette pièce met en place des personnages confrontés à la fatalité de leur destin : Andromaque doit choisir entre garder son fils et épouser Pyrrhus qui l'aime et refuser la proposition de mariage et perdre son fils. Hermione quant à elle, aime Pyrrhus et se résigne à vouloir sa mort, demandant à Oreste, un de ses soupirants, de le tuer. Ce passage qui présente la décision de mort de Pyrrhus est un extrait de la scène trois

de son père et l’amour de sa maîtresse. Apres avoir ressenti le besoin de venger son père et donc de tuer le père de Chimène, Rodrigue n’hésite pas à aller voir sa bien aimé, arme à la main encore salie du sang de Don Gormas. Chimène n’en croit pas ses yeux en voyant Rodrigue avec cet objet « Ote-moi cet objet odieux, qui reproche ton crime et ta vie à mes yeux » (vers 859-860). Dans ce passage, cette scène présente toute les caractéristiques des registres tragique et pathétique. Les personnages

Introduction générale D’après Julia Kristeva, l’intertextualité se définit comme une « interaction textuelle » qui permet de considérer « les différentes séquences d'une structure textuelle précise comme autant de transformation de séquences prises à d'autres textes. » Dans ce travail, nous allons étudier l’intertextualité entre Hamlet, de Shakespeare écrit en 1601, et Ophélie, de Rimbaud écrit en 1870. Cela va nous permettre de retrouver les mythèmes communs et de mettre en parallèle les changements

Camus, L’étranger, « On n’est jamais tout à fait malheureux » Si nous réfléchissons bien, nous avons chaque jour des malheurs. N’importe qui et n’importe où, les malheurs sont toujours présents. Certains sont pires que d’autres. Malheureusement nous ne décidons pas des malheurs qui nous arrivent. Ceci ne se choisit pas. Notre famille, notre identité ou encore notre pays d’origine par exemple sont des choses que nous ne savons pas changer. Chaque personne a une vision différente des malheurs. Comparons