Jane Mouton

des fautes et des formes de culpabilité Passage du « nous » au « je » auquel s’ajoute les formes flexionnelles dérivées Adj. Possessif « mes » Fait état de sa violence, 2verb évidents : « manger, dévorer »  notion de quantité démesurée « force moutons »  « gloutons » « appétits » (pluriel)  idée d’avidité Interrogat* rhétorique d’accusation : «  que m’avaient-ils fait ? » Indice d’humilité, hypocorisme « mes chers amis »  le lion semble se mettre au même plan que ses sujets par rapport à la

serpent change de peau, pas de nature" (Domenech après l'Euro) ... "le serpent change de peau, mais son venin reste le même" (Domenech qui s'entête avec Henry à gauche et Ribéry à droite) ... "Le loup aura toujours une bonne raison d'étrangler le mouton" (l'éviction de Pirés par Domenech suite à ses déclarations dans la presse) ... "L'écorce de l'arbre ne présume pas du bois" (Boumsong pourtant si cultivé) ... "3 coups de hache ne suffisent pas à abattre un baobab" (Ribéry qui affole les défenses

paysans quand la cloche se met à sonner pour les alerter ? a) ils vont se cacher dans les bois b) ils s'enferment chez eux avec une arme c) ils vont se réfugier au château 18. A quoi sert le bélier dans l'histoire ? a) c'est le chef du troupeau de moutons qui guide toutes les brebis b) c'est une arme pour défoncer la porte du château c) c'est une ruse de guerre qui doit faire peur à l'ennemi 19. Quel est l'outil qui est utilisé pour battre le blé ? a) le fléau b) la serpe c) la faucille 20.

J'ai choisis le thème '' la loi du plus fort '' car dans la vie de tous les jours humaine ou animal , de nombreux faits sont injuste et seul les plus fort physiquement l'emporte . Les 5 fables que j'ai choisie l'illustre parfaitement , elles montrent toutes que le plus fort sera toujours victorieux. Nous allons tout d'abord étudié la fable : '' La Génisse , la Chèvre et la Brebis en société avec le Lion '' Comme l'indique le titre , c'est l'histoire d'une Génisse , d'une

II] Une utopie III] Les intentions de l’auteur Partie I : Traditions des contes de fées : lieu => palais2, moyen de transport => carrosse 1, mouton 1. Intervention explicite du merveilleux : les moutons volent 1. Reference claire pour le lecteur du XVIII qui connait Perrault et Grimm. Eléments dépaysant : dans les coutumes=> bains 7, dans les matériaux de construction : portail 2/3/4 (matière inconnue), dans l’environnement

développement du service client et la mise en place d’une gestion rigoureuse visant l’optimisation de la rentabilité sont des éléments révélateurs de cette évolution. Contrairement à ce qui était attendu, les différentes crises sanitaires (la tremblante du mouton, la vache folle, et plus récemment le horsegate), le rejet de la consommation de masse et l’attente de produits régionaux ou locaux favorisent le retour au fait à la maison et la fréquentation des boucheries artisanales. Ce mouvement correspond

La Fontaine, Fables, Livre I (1668) 1. La Cigale et la fourmi1 La Cigale2, ayant chanté Tout l'été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue : Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau3. Elle alla crier famine Chez la Fourmi4 sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. « Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'oût5, foi d'animal6, Intérêt et principal7. » La Fourmi n'est pas prêteuse ; C'est là son moindre défaut8

c'est-à-dire Thélème, emploie l'exagération et la démesure positive. Par exemple, pour la construction du bâtiment, il amplifie le texte avec des nombres disproportionnés, « Gargantua fit livrer, (...), deux millions sept cent mille huit cent trente et un moutons de haute laine, (...), sept cent soixante-neuf mille écus de soleil, (...), belle lettre patentes. » (p.401). Cette démesure peut paraître spécial, cependant, elle est proportionnelle à Gargantua, tout est gargantuesque. Il embellit de façon excessive

les boucheries ne vient pas de bêtes sacrifiées ni sacrifiables. Si l'on habite la campagne, on peut se nourrir de produits de la chasse (le Grec est grand chasseur), sans compter, pour les plus riches des propriétaires, les volailles, le porc ou le mouton. Ce peuple de marins se nourrit plus souvent de poisson (les plus pauvres, même les jours de fête s'en contentent ).Les habitants des villes fréquentent donc le marché au poisson : à Athènes, c'est l'un des plus fréquentés et pittoresques de l'Agora

pas 6 à 7 kg. Les gros animaux sont généralement consommés à l'état de charognes et sont le plus souvent des animaux, chamois, bouquetin ou autre, ayant déroché ou atteints de maladie ... En aucun cas, l'aigle ne s'attaquera à un chamois ou à un mouton adulte. L'hiver, en période de disette, l'aigle devient souvent charognard et peut s'attaquer, par exemple, à un chat isolé. Les besoins alimentaires d'un aigle adulte sont de l'ordre de 230 grammes par jour, soit environ 100 kg par an (1 % du potentiel