J'ai tué ma mère

2ème PARTIE, CHAPITRE 5 (« Lui parti, j’ai retrouvé le calme»… à la fin du texte) Situation du texte : Dernière page du roman : Meursault a été condamné à mort pendant le procès, non pas parce qu’il a tué un arabe mais parce qu’il n’a « pas pleuré à l’enterrement de sa mère » (p.119. Après le procès, Meursault retourne en prison pour attendre l’exécution de sa peine. Dans le chapitre 5, Meursault réfléchit à la guillotine et oscille entre l’espoir d’être gracié et l’évidence d’une mort certaine

tous les murs et il en était de même pour les victimes. Le meurtrier quant à lui est mort dans une cabine téléphonique, il aurait mis fin à ses jours en se coupant la gorge avec ses ongles. j'ai reconnus la thèse du suicide comme étant la plus probable. J'étais arrivé à mon village natal; c'était calme; ma mère et moi étions devant notre ancienne habitation. Toujours la même malgré l'air de vieillesse qu'elle avait pris avec le temps. Deux ans sans personne pour en prendre soin ! J'étais déjà fatigué

Les relations mères et filles Les relations mères et filles sont compliquées. Le Figaro publie très récemment un article où la mère voulait « libérer son enfant d’un avenir sombre » en avouant avoir tué sa petite fille. Quatre textes présents, abordant le thème des relations entre mère et fille ainsi que quatre genres différents : un essai de C. Eliachef et N. Heinich extrait de Mères-filles, une relation à trois publié en 2002, suivi d’une interview d’Abdelmalek Sayad extrait de L’Emancipation

rendu de lecture Œdipe est un Thébain issu de la famille royale de cette cité grecque. Ses parents, le roi Laïos et son épouse Jocaste, avaient décidé de le faire pendre par les pieds, un oracle ayant prévu qu’il tuerait son père et épouserait sa mère. Toutefois, le berger qui était chargé d’abandonner Œdipe préféra confier le nouveau-né à un Corinthien qui remis l’enfant au roi et à la reine de Corinthe. Plus tard, Œdipe apprend à son tour la prédiction, et décide de fuir ses parents. Arrivé à

Deneuve est représentée par une orchidée qui symbolise la séduction, le mystère, la sensualité et c'est parce qu'elle est difficile à cultiver qu'elle est synonyme de luxe, de raffinement et d'élégance. Gaby est la maîtresse de la maison, femme modèle et mère de deux filles, jalousée par sa sœur et critiquée par sa bonne, elle prend les décisions de la maison et aime se faire respecter. L'évolution du personnage est continu à travers tout le film, son assurance et sa confiance en soit vont être terriblement

Meursault à travers ses attitudes et enfin comment Meursault aborde la réalité. Nous pouvons remarquer que dès les premières phrases de l’extrait, on retrouve le côté naïf de Meursault car il cherche toujours la facilité ; c'est pourquoi le verbe «  j’ai pensé » semble paradoxal tant le personnage nous donne plus l’impression de subir les choses plutôt que de les prendre en main. En effet, c'est un homme qui semble passif au monde et semble vivre selon le rythme de la nature. Nous pouvons confirmer

suspect dont il avait photographié l'exécution, Nguyen Van Lem, avait peu de temps auparavant tu » le meuilleur ami de Loan et massacré au couteau la famille de celui-ci. Eddie Adams - Saigon Exécution – 1968 - Viet Nam « Le général tué le Viet Cong, j'ai tué le général avec mon appareil photo. Les photographies sont l'arme la plus puissante du monde. » Eddie Adams regretta par la suite le dommage que sa photographie causa à la réputation du général, Nguyen Ngoc Loan, ainsi qu'à sa famille

L’Etranger d’Albert Camus I)Questions sur l’œuvre 1) La première partie se déroule sur environ deux semaines et demi et la deuxième partie se déroule sur environ 1 an. 2) Meursault: C’est un homme discret, on sait peu de chose sur lui. Il a perdu sa mère et ne ressent aucune compassion et aucune tristesse pour elle comme si il ne l’aimait pas. Il fume beaucoup, et ne montre aucune émotion. Il oublie très vite les gens et semble avoir du mal à aimer (Marie). Il ne veut pas se mélanger aux autres et

présente pas d’illustrations. II) l’auteur Albert Camus est né en Algérie en 1913 et il a vécu une enfance pauvre à Alger, dans un milieu ouvrier. Sa mère, à moitié sourde ne sait ni lire, ni écrire, et son père, engagé pendant la première guerre mondiale, meurt des suites d’une blessure en 1914. Il est alors élevé par la famille de sa mère, et influencé par son oncle, Gustave Acault, un anarchiste. Albert fait ses études à Alger, et découvre au lycée l’horreur de la guerre à travers les livres

édition Pocket Jeunesse. Illustré par Stan et Vince. Résumé : Cette histoire parle d’une jeune fille Tara Duncan âgée de 12 ans orpheline à l’âge de 2 ans adopté par sa grand-mère. Elle vit une vie paisible sur terre au 21ème siècle jusqu’au jour où elle découvre qu’elle à des pouvoir magique ainsi que son meilleur ami. Sa grand-mère qui lui avait caché la vérité lui annonça que les sortceliers (ceux qui savent lier les sorts dans l’ancien français) sont des magiciens comme ont les appellent sur terre