J'ai tué ma mère

la mort. L'étranger s'ouvre sur l'enterrement de la mère de Meursault. Au cours du roman, il tue, sur la plage, un arabe sans même prendre conscience de la gravité de son geste. Il sera condamné à mort. Cet extrait raconte la fin du procés et du livre. 1.Sentiments de Mersault. Mersault montre ses sentiments, je cite, « j'ai senti que j'avais été heureux, et que je l'était encore » →accepte sa condamnation à mort ayant tué lui même, Il s'accepte enfin lui même, il accepte d'être

et le livre est lui-même rapidement lu. Les pensées des personnages sont souvent décrites. 3) Les structures spatio-temporelle: Le récit débute en Amérique plus précisément au Nevada à la périphérie de Reno, lorsque Joe habite encore avec sa mère de 1980 à 1994. Ensuite, Joe va habiter seul au centre ville. Par la suite, une grande partie de l'histoire se déroule à Reno dans la maison de Norman et Christina, de 1995 à 1998. Puis, en 1998, en rentrant de Black Rock City (nom de la ville qui

Guy de Maupassant, Le Horla , 1887 , Édition Librio Biographie : Guy de Maupassant est un écrivain français né le 5 août 1850, soit au château de Miromesnil, près de Dieppe, soit à Fécamp chez sa grand-mère maternelle, dans une noble famille d'origine lorraine. Son frère Hervé vient au monde en 1956. L'enfance de Guy se déroule principalement dans la maison « Les Verguies », en pleine nature avant de rentrer au pensionnat d’Yvetot puis au lycée de Rouen où il rencontre Flaubert. il en ressort

compte. Lorenzo reste donc un personnage perdu dans ses convictions intimes. b) Les doutes vis-à-vis de sa famille Ce monologue laisse aussi apparaitre les interrogations que Lorenzo se pose sur sa famille. En effet, il accuse explicitement sa mère d’être responsable de son vice caché avec la périphrase « velus embrassements », désignant le sexe maternel. Le père du Lorenzo est vu comme un spectre, quelqu’un qui l’aurait en quelques sortes guidé vers Alexandre en quête d’affection comme le laisse

Le personnage de Caesonia Albert Camus explique avoir laissé le thème de l’amour telle une pierre d’attente qui subira un traitement ample et ambitieux plus tard : « J’avais un plan précis quand j’ai commencé mon œuvre : je voulais d’abord exprimer la négation. Sous trois formes. Romanesque : ce fut L’Etranger. Dramatique : Caligula, Le Malentendu. Idéologique : Le Mythe de Sisyphe. […] J’entrevoyais déjà une troisième couche autour du thème de l’amour. » Dans Caligula, le personnage de Caesonia

aleykoum 1er Partie Je me présente:moi c'est Sorya,j'ai 19 ans, je vis dans le Sud de la France. Je suis musulmane de naissance et el hamdoulillah je pratique ma religion. Je suis une marocaine de sang de mes 2 parents. Les prénoms sont changer pour garder mon anonymat Tout d'abord je tiens à dire que cette chronique est vrai,c'est ma vrai vie personnellement j'écris pour me vider, tout va mal dans ma tête en ce moment c'est Bagdad lol, j'ai pas besoin de gens pour me critiquer ou autres parce

nuptiale", le mariage, union de deux personnes fait non seulement référence à Lorenzo et au duc mais aussi à Lorenzo et son masque, l'acte qu'il met en place dans ce monologue le rendra définitivement "mauvais", le Lorenzo antérieur, celui que sa mère voudrait qu'il redevienne n'existera plus. Dans cette scène d'exposition il y'a une dynamique du contraste: Catherine est l'appat de Lorenzo, elle est une femme pleine de bonté, gentille et inspirée par de nobles sentiments : "vertueuse" , ce qui

était là ! Je le reconnaissais enfin, c’était lui ! C’était magique ! C’était mon Arthur ! Evidemment, personne ne voulait de ce roi « sorti du chapeau »… mais en restant auprès de lui pour le conseiller, j’ai réussi à l’imposer (vers 500) (ce ne fut pas une tâche facile !). Tout d’abord, j’ai conseillé à Arthur de mettre à son service « les Chevaliers de la Table Ronde » pour assurer la paix au royaume et la quête du Graal, vous savez, cette espèce de récipient creux, sacré, doué de pouvoirs… Ca

Chourik n’a jamais connu son père, car celui-ci a été tué dans un accident de voiture alors qu’il avait justement l’intention d’épouser sa mère. Nous sommes au début des années soixante et il sera élevé par sa grand-mère et sa mère. Celle-ci pense avoir raté une grande carrière artistique alors qu’en réalité elle n’avait pas les dons nécessaires. Alors que sa mère vit un peu dans une bulle, il n’en est pas du tout de même de sa grand-mère qui est une très forte personnalité. Elle va jouer un très

nous présente sa conception du monde en 1942. L ’auteur lui-même a insisté sur cet aspect dans la préface à la première édition américaine du romant : « J’ai résumé l’Étranger , il y a très longtemps, par une phrase dont je reconnais qu’elle est très paradoxale : dans notre société, tout homme qui ne pleure pas à l’enterrement de sa mère risque d’être condamné à mort. Je voulais dire seule- ment que le héros du livre est condamné parce qu’il ne joue pas le jeu. En ce sens, il est étranger