J'ai tué ma mère

l’armée furieuse retrace les enquêtes policières du commissaire Adamsberg et son équipe du commissariat de Paris, dont le but de faire triompher la justice et punir les vrais coupables. Ainsi, la rencontre entre Adamsberg et Valentine Vendermot, une mère de famille terrifiée, venue d’Ordebec pour demander de l’aide par crainte de représailles sur sa famille, suite à une vision de sa fille Lina, selon laquelle quatre personnes sont saisies par l’armée furieuse; et que la disparition de Michel Herbier

Camus, L'étranger Le héros, Meursault, a assisté aux obsèques de sa mère. Il repend le cours de sa vie normale, sans manifester d'émotion particulière. Dans l'extrait suivant, il retrouve son amie, Marie. Le soir, Marie est venue me chercher et m'a demandé si je voulais me marier avec elle. J'ai dit que cela m'était égal, et que nous pourrions le faire si elle le voulait. Elle a voulu savoir alors si je l'aimais. J'ai répondu comme je l'avais déjà fait une fois, que cela ne signifiait rienmais

paradis Mais je le savais, c’était  interdit Je n’y peux rien, je suis menotté Balancé entre la malice et la méchanceté Au berceau De La Nature Je me retrouve près de la mer En admirant ce beau paysage Je me souviens de ce que m'a dit ma mère que les problèmes s'effacent quelque soit l'âge Elle se confia à moi "La vie est pleine d'obstacles et de défis" Je l'entendais et j'y la foi Que tout va changer dans ce monde où je vis Il commence à pleuvoir Et la mer devient un miroir

et de Neil Peterson et, parallèlement, les préparatifs de l'exécution de Ronald Thompson, un jeune accusé du meurtre de Nina Peterson, femme de Steve et mère de Neil. Dans ce roman, plusieurs personnes sont importantes pour l’intrigue dont : August Rommel Taggert, alias Arty, alias « Renard », c’est le meurtrier en série de l’histoire Il a tué cinq femmes à intervalles plus ou moins réguliers: Nina Peterson, Mme. Weiss, Jean Carfolli, Mme. Ambrose & Barbara Callahan. N’aimant pas le sang, il étrangle

...Fiche : Auteur Albert Camus Editeur Gallimard Collection Folio, numéro 2 Format 11 cm x 18 cm ISBN 2070360024 Résumé : «...J'ai résumé L'Étranger, il y a longtemps, par une phrase dont je reconnais qu'elle est très paradoxale : 'Dans notre sociéte tout homme qui ne pleure pas à l'enterrement de sa mère risque d'être condamné à mort.' Je voulais dire seulement que le héros du livre est condamné parce qu'il ne joue pas le jeu. En ce sens, il est étranger à la société ou il vit, il erre

semblent dire à Dieu: - Petits comme nous sommes, Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! Ô servitude infâme imposée à l'enfant ! Rachitisme ! travail dont le souffle étouffant Défait ce qu'a fait Dieu ; qui tue, œuvre insensée, 20. La beauté sur les fronts, dans les cœurs la pensée, Et qui ferait - c'est là son fruit le plus certain ! - D'Apollon un bossu, de Voltaire un crétin ! Travail mauvais qui prend l'âge tendre en sa serre

Jacques Prévert se fait connaître au grand public grâce à la publication du recueil de poésie « Paroles ». Les poèmes, composés en vers libres, mêlent l'humour à la tendresse, le merveilleux au rêve et à la vie de tous les jours. Dans ce recueil, j'ai retenu cinq poèmes, qui abordaient un thème commun, dont nous parlerons plus tard. Tout d'abord, le poème « Familiale », est un poème composé de vingt-quatre vers libres, qui aborde le thème de la mort à travers la guerre. Ensuite, le poème « Chanson

de Soundiata, est ce qu'on appelle une épopée historique; le héros Soundiata est une figure historique qui a établi l'empire du Mali au XIIIe siècle. Cette épopée raconte les grands moments de sa vie et sa victoire sur son adversaire Soumangourou. J'ai affaire à cinq textes "scientifiques" écrits par des Européens anthropologues, administrateurs ou inspecteurs des anciennes colonies comme J. Vidal, Fr. De Zeltner, M. Adam et P. Humblot et par l'Africain M. Sidibé, et à deux versions littéraires écrites

Fade. Les notes sans signature, et qui sont indiquées par des lettres, sont de Voltaire. Les notes signées d'un K sont des éditeurs de Kehl, MM. Condorcet et Decroix. Il est impossible de faire rigoureusement la part de chacun. Les additions que j'ai faites aux notes de Voltaire ou aux notes des éditeurs de Kehl, en sont séparées par un, et sont, comme mes notes, signées de l'initiale de mon nom. BEUCHOT. 4 octobre 1829. JEANNOT ET COLIN. Plusieurs personnes dignes de foi ont vu Jeannot et

un homme peut rester calme dans ce genre de situation ! » - « Pourtant, je le suis. » - « J’ai l’impression que vous ne vous rendez pas compte du poids de ce que vous avez commis, est-ce possible ? » dit Joubert, bégayant. - « Qu’est-ce que vous voulez que je vous raconte ? En effet, tout le monde me dit sans arrêt que je suis un monstre. Est-ce que le fait de ne pas pleurer à l’enterrement de sa mère est un crime ? » dit-il, calmement. - « Je ne crois pas, non. Mais le fait de ne rien ressentir