Jadis et Naguère

subatomiques inconnues de l’homme, et malheur à l’être humain ou au poisson qui se trouve sur leur passage. * Atlantide, Le 8ème continent disparu:( Une île mystérieuse rempli de secrets, un continent englouti où jadis vivait une civilisation beaucoup plus évoluée que la nôtre, naguère riche de trésors et plus puissante qu'Athènes. Une légende bien fascinante, un mythe authentique ou une réalité terrifiante? Il n'est pas rare aujourd'hui de voir, que ce soit dans une bibliothèque ou dans une librairie

mirentTout l’or des nuits tombe en tremblant s’y refléterLa voix chante toujours à en râle-mourirCes fées aux cheveux verts qui incantent l’été Mon verre s’est brisé comme un éclat de rire Vendanges est un poème de Paul Verlaine, du recueuil Jadis et naguère, paru en 1884, traite des vendanges qui se passent en automne. Le poème est un sonnet, et contient des vers de dix syllabes. Le poème se termine par une virgule. Vendanges Les choses qui chantent dans la têteAlors que la mémoire est absente

enthousiaste de la phrase. Mallarmé  (1842­1898),  Divagations,  «  Crise  de vers » De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l’Impair Plus vague et plus soluble dans l’air Sans rien en lui qui pèse ou qui pose. Verlaine  (1844­1896),  Jadis  et  naguère,  «  Art poétique » Je dis qu’il faut être voyant, se faire voyant. Le  poète  se  fait  voyant  par  un  long,  immense  et raisonné  dérèglement  de  tous  les  sens.  Toutes  les formes  d’amour,  de  souffrance,  de  folie  ;  il  cherche

l’influence de Verlaine et le désir de souligner l’instabilité que lui procure la mélancolie éprouvée sur le pont Mirabeau, par l’usage du rythme impair (« De la musique avant toute chose / Et pour cela préfère l’impair » (« Art Poétique », Jadis et Naguère, Paul Verlaine, 1884).
 Ce thème du « vers brisé » apparaît en paronomase dans la chute du poème « Nuit 1 Rhénane » : « Mon verre s’est brisé comme un éclat de rire » 1vendredi 1 avril 2022 Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours

vers libre et le poème en prose. - Les mots doivent suggérer, plus qu’exprimer, par leur sens comme par leur sonorité. Verlaine propose un lexique de l’imprécision et de l’ambiguïté, ce qui rend les interprétations incertaines, multiples (ex : Jadis et Naguère, 1884). Etude d’un mouvement littéraire : le romantisme Mouvement du début du XIX° siècle qui révolutionne l’héritage poétique, sous l’égide de Lamartine, Musset ou Vigny. (Attention ce mouvement ne concerne pas seulement la poésie !)

poèmes qu'il dédie à Mathilde trouvent place dans le recueil "La Bonne Chanson" qui paraît en 1872. Dans « La Bonne Chanson », Verlaine évoque l'accord de deux âmes, ses joies pures, son enthousiasme d'amoureux, imagine le bonheur paisible du foyer. Jadis instable et inquiet, il a trouvé l'équilibre et la paix. Verlaine se marie le 11 Aout 1870 mais succèdent, presque tout de suite, les malentendus conjugaux. En 1870, la guerre éclate entre la France et l'Allemagne. Poussé par Mathilde, Verlaine

à l’exil par son amour, s’est réfugié au fond des bois. Apprenant la visite prochaine du roi et de son escorte, il taille un bâton de coudrier sur lequel il grave son nom et le dispose de manière à attirer l’attention d’Yseut. Il l’a en effet naguère invitée à voir dans l’enchevêtrement du chèvrefeuille et du coudrier que l’on ne peut séparer sans provoquer leur mort, une métaphore de leur amour : « Ainsi, amie, est-il de nous,/Ni vous sans moi, ni moi sans vous. » L’image végétale, pleine

cortège. Mais naguère dans les Balkans c'étaient de vrais enlèvements.  C'était aussi un moyen d'éviter le droit de cuissage dont profitaient les chefs de tribu. Cette coutume du nashimos (de nash- fuir) rappelle le gandharva  - rapt avec consentement de la fille - qui se pratiquait dans l'Inde antique au sein de la caste  des kshatriya (guerriers), celle dont précisément paraissent provenir les Tsiganes.  Le mariage conclu, les femmes passent pour être fidèles. Il est vrai que jadis le mari avait

certes ni moi ni ces enfants, à genoux devant ton foyer, nous ne t'égalons aux dieux; non, mais nous t'estimons le premier de tous les mortels dans les incidents de notre existence et les conjonctures créées par les dieux. Il t'a suffi d'entrer jadis dans cette ville de Cadmos pour la libérer du tribut qu'elle payait alors à l'horrible chanteuse. Tu n'avais rien appris pourtant de la bouche d'aucun de nous, tu n'avais reçu aucune leçon : c'est par l'aide d'un dieu - chacun le dit, chacun le

agrandit les âmes, Et qui sait aimer sait mourir. Le poëte, en des temps de crime, Fidèle aux justes qu'on opprime, Célèbre, imite les héros ; Il a, jaloux de leur martyre, Pour les victimes une lyre, Une tête pour les bourreaux. " On dit que jadis le poëte, Chantant des jours encor lointains, Savait à la terre inquiète Révéler ses futurs destins. Mais toi, que peux-tu pour le monde ? Tu partages sa nuit profonde ; Le ciel se voile et veut punir ; Les lyres n'ont plus de prophète, Et la