Ivresse

le recours à l’ironie en se moquant de la présidente et de son ignorance des choses de l’amour, voir même sa froideur… « passions actives », « m’abandonner entièrement à l’amour » « pardonnez,je vous en supplie, au désordre de mes sens », « ivresse ». C. Une maîtrise totale Ironie et moquerie, Valmont s’amuse, et fait de sa lettre une revendication de puissance : Une remarque désagréable vu le contexte : « je viens chercher auprès de vous, Madame, un calme dont j’ai besoin » : on suppose

la même vision concrète et quotidienne du monde. Certains éléments décrits par Zola se rapprochent donc indéniablement d’une vision matérielle perçue par l’auteur au moment de sa peinture en plein air : « cahotait » l.8, « des passants semblaient ivres » l.10, « marchait à l’aise » l.12, alors que d’autres sont plus représentatifs d’un résultat recherché pour donner plus d’effets à la toile : « chauffe à blanc le pavé » l.3, « réverbération éblouissante » l.3 ainsi que la métaphore « sous la pluie

Français commentaireCommentaire de texte: vous commenterez l’extrait de l'acte 3 de la scène 3 à 2 rue de la 1838 drame romantique de Victor Hugo Aliya Boulkhoukh 1°1 Aujourd'hui nous commenterons l'extrait de la scène 3 de l'acte 3 de Ruy Blas Cette œuvre est un drame romantique rédigé par un véritable monument de la littérature française, ce chef de file du romantisme: Victor Hugo en 1838. Ce dramaturge du 19e siècle est reconnu pour la variété de ses productions littéraires. Le terme dramaturge

effrayant, la couleur dominante, le rouge, qui se réfère au sang versé sur les rails par Jacques et Pecqueux. Le premier élément qui domine le texte est le crime qui vient d’être commis par la machine. A l’intérieur du train, il y a les soldats ivres et complètement hébétés qui chantent des chants patriotiques, ils n’ont pas encore conscience du drame qui vient de se jouer. Ils s’égaient même de la course folle du train. Le sentiment qu’engendre le roman est la terreur, le train venait de commencer

extrait l'auteur a tout d’abord une portée argumentative : Zola veut démontrer la valeur du travail manuel et condamner l’alcoolisme. . Coupeau commence à boire en travaillant. Il commence à avoir de petites ivresses sérieuses, mais gaie, et elles sont de plus en plus régulière. Une première ivresse blanche se produit ensuite, et l'alcoolisme devient alors chronique. Suite à sa chute du haut du toit, Coupeau ne travaille plus, il développe un dégoût profond pour le travail. L'alcoolisme prend alors

santé. -   La consommation d'alcool est liée aux troubles psychologiques, est un facteur de stress et de depression. -   A Oliver's, la licence pour vendre l'alcool a été suspendue pendant 40 jours pour avoir servi les clients ivres. Il est aussi rapporté que des clients ivres avaient s’étaient battus avec le personnel et importuné des femmes. Conclusion: -   L'université est u apprentissage de la vie adulte et les étudiants devraient avoir le droit de prendre des décisions d'adultes. -   A l'université

Zola a choisi d'accentuer. Le soleil "chauffe à blanc le pavé" (1 3). Un fiacre est tiré par un cheval "en eau, la tête basse, vague dans la vibration de la chaleur"(l 10). Le monde paraît être asphyxié‚ par cette fournaise : "les passants sembl[ent] ivres." (l 10). On a l'impression que Paris se transforme en un véritable enfer : "l’élément de flamme" (l 13) est omniprésent. En fait, tout au long de L’Œuvre, Paris apparaît comme une sorte d’enfer. Il attire tellement Claude que ce dernier ne parvient

même pouvoir que le vin. Champ lexical de l'ivresse: boire, vin, gourde, paresse, ivresse, extase, je m'enivre ardemment. Le sex et le vin sont donc des moyens pour s'évader, pour parvenir à un idéal. Quel est cet idéal? III. L'idéal 1. La nonchalance Dès le 2e vers, nous sommes surpris par le mot nonchaloir que l'on comprend comme nonchalance, extase, les esprits voguent, se pâment, longuement, ivresse, paresse, infini bercement. L'idéal pour Baudelaire est la nonchalance, c'est ce

usines, le train roule à toute allure. Au rythme haletant et saccadé de sa course, un chaos de sensations et d'impressions fulgurantes qui "gifllent" l'œil et emplit l'oreille du voyageur. Assourdi, étourdi, il éprouve une sorte de vertige. Mais cette ivresse de sensation brutales ne peut abolir une mélodie secrète, perçue dans les intervalles du fracas, qui unit l'âme et le paysage dans une harmonie mystérieuse et mélancolique (strophes 1 et 7 répétition de 1). Vocabulaire Un Kobold est un lutin malicieux

jeu sur les sensations/sentiments ou esprit/corps : « amour » l.5 ; « trouble » l.8 ; « plaisir » l.15 …pour Tourvel : amour moral …pour Emilie : amour physique « la volupté » l.17. « Dissipé une ivresse » l.21 …pour Tourvel : en la combattant (son ivresse) …pour Emilie : satisfaire cette ivresse (avec elle) Les antiphrases : l.29 : « jamais mon amour ne fut plus respectueux, jamais il ne dut moins vous offenser ». l.30 : « j’ose le dire que la vertu la plus sévère ne devrait pas le craindre »