Intolérable Cruauté

la guerre II) Appel à notre sensibilité - Voltaire perd son ironié dans ce deuxième passage devant l’horreur des massacres chez les civils. Il nous interpelle afin de nous émouvoir - Candide qui traverse des villages dévastés rencontre la cruauté des Abares et des Bulgares - Nous trouvons ici le champ lexical de l’horreur « tas de morts et de mourants » « villages en cendres » « criblés de coups ». L’allitération en R nous indique la souffrance et la révolte des civils - Voltaire nous décrit

suivre en tout les conseils de la prudence, tempérés par ceux de l'humanitéLa prudence préconise la cruauté; l'humanité préfère la clémence. Le Prince, en bon opportuniste doit établir une juste mesure des deux, conformément à ce que l'efficacité exige compte tenu des circonstances.; en sorte qu'il ne soit point imprévoyant par trop de confiance, et qu'une défiance excessive ne le rende point intolérable. Sur cela s'est élevée la question de savoir: S'il vaut mieux être aimé que craint, ou être craint

pratique culturelle donc est acceptable des autres cultures au nom de la paix entre les peuples, de la liberté maximale des peuples et communautés à choisir leur mode de vie et du respect de tous(égalité). Néanmoins, fermer les yeux à la barbarie, à la cruauté et l’intolérance au nom du respect des autres cultures n’est il pas contre-productif ? Ne réaliserions-nous donc pas l’inverse même de la finalité visée par le respect de la différence culturelle ? II) Pour préserver la finalité du respect des

l'intolérance _ ellipse : l. 5 I absence de procès verbal. _ gradation dans l'absurdité des accusations : l. 8 à 13 I ironie : n'importe quel prétexte est bon pour condamner. _ absence de sentiments chez les spectateurs. I dénonce la cruauté de l' Inquisition et des religions qui ne prêtent pas attention aux hommes. _ « donner au peuple un bel auto-da-fé » (l. 4) rappelle l'expression des romains « donner au peuple du pain et des jeux ». I l'autodafé n'a plus rien à voir avec la

Agamemnon c’est le chef des grecs qui vont partir de la Grèce. Ils sont bloqué a Aulis dut a l’absence de vent pour que les vents re souffle il doit sacrifier sa fille Iphigénie, elle est donc mise a mort selon la volonté des dieux mais ceci est intolérable pour la mère Clytemnestre, Agamemnon a semer involontairement chez son épouse une haine indestructible. Iphigénie et une frère Oreste et une petit sœur Electre qui sont enfant lors du sacrifice il reste a Argos avec leur mère qui prend pour amant

du chapitre 18 • L’annonce du dernier jour  Six heures • Heure de l’exécution  Quatre heures • Attitude des personnages  Indifférence à la souffrance du condamné • Champs lexicaux  Champ lexical de la mort, de la captivité, de la cruauté, de la laideur, de la souffrance… • Sentiments du condamné  Désespoir, peur et colère • Visée du texte  Visée argumentative : Plaidoyer contre la peine de mort • Pourquoi le condamné écrit-il ?  -Pour moins souffrir et oublier ses angoisses

qu'avec une grande maturité, ne point s'effrayer lui-même, et suivre en tout les conseils de la prudence, tempérés par ceux de l'humanité ; en sorte qu'il ne soit point imprévoyant par trop de confiance, et qu'une défiance excessive ne le rende point intolérable. Sur cela s'est élevée la question de savoir : S'il vaut mieux être aimé que craint, ou être craint qu'aimé ? On peut répondre que le meilleur serait d'être l'un et l'autre. Mais, comme il est très difficile que les deux choses existent ensemble

de la société, celles de naissance par exemple, comme les maladies génétiques, les handicaps…. On se rend bien compte que si la société ne faisait rien pour intégrer ces individus, non seulement il y aurait injustice mais pire cruauté. Les inégalités sont donc intolérables et il faut les minimiser. Car l’enjeu est là, si l’on considère qu’il existe des inégalités justes, cela signifie qu’il serait injuste de tout faire pour les résorber. Cela nous paraît donc absurde. Cette vision des choses légitime

concertement. En effet, Gaston n’est plus seul. Il a retrouvé sa famille et son passé. Certes son passé n’est pas tout rose mais il existe. En prenant la décision de laisser tomber sa propre famille, il se distingue tel un personage intolérable et ingrat. Son frère est près à le pardonner alors que Gaston fut l’amant de sa propre femme, sa mère revient le chercher après leur désaccord avant de partir a la guerre. Qui n’as jamais rêvé au pardon ? Cela semble invraissemblable

fut brûlé, lui qui avait tiré deux Indous des flammes. Sauve qui peut. ] Texte B : En 1769, le jeune chevalier de La Barre fut accusé, sans preuves, d’avoir mutilé un crucifix. Il fut torturé et condamné à mort. Voltaire indigné dénonce cet intolérable abus. Lorsque le chevalier de La Barre, petit-fils d’un lieutenant général des armées, jeune homme de beaucoup d’esprit et d’une grande espérance, mais ayant toute l’étourderie d’une jeunesse effrénée, fut convaincu d’avoir chanté des