Intolérable Cruauté

reprise par la suite par de nombreux auteurs contemporains. On peut aussi compter parmi les auteurs célèbres de théâtre avant 1960 : Eugène Ionesco - Eugène Ionesco et son théâtre de l'absurde - Antonin Artaud et son concept du théâtre de la Cruauté Jean Anouilh - Anouilh et son Antigone, - Albert Camus Antonin Artaud - Paul Claudel Durant les années 1960, on assiste aux débuts de la « Création collective » : “Un spectacle produit sans texte initial par un groupe de comédiens qui inventent

Ouaddou» et l'«affaire Boubacar Kébé» ne sont que deux exemples parmi tant d’autres, mais ils illustrent parfaitement les rapports qu’entretiennent le sport et le racisme aujourd’hui. Les instances sportives ont mis longtemps à réagir face à ces actes intolérables et répétés. Cependant, la Fifa a pris le problème à bras-le-corps en mettant en place des sanctions, allant de la suspension de terrain jusqu'à la rétrogradation en division inférieure, en passant par le retrait des points et la disqualification

et l’animal avait dû être détaché de l’arbre par quelqu’un, et jeté dans ma chambre à travers une fenêtre ouverte. Cela avait été fait, sans doute, dans le but de m’arracher au sommeil. La chute des autres murailles avait comprimé la victime de ma cruauté dans la substance du plâtre fraîchement étendu ; la chaux16 de ce mur, combinée avec les flammes et l’ammoniaque du cadavre, avait ainsi opéré l’image telle que je la voyais. Quoique je satisfisse ainsi lestement ma raison, sinon tout à fait ma conscience

l’attrapai, lorsque, effrayé par ma violence, il m’infligea une légère blessure sur la main avec ses dents. La furie d’un démon s’empara aussitôt de moi. Je ne me contrôlai plus. Mon âme originelle sembla, tout d’un coup, s’envoler de mon corps; et une cruauté diabolique et imbibée de gin fit trembler chaque fibre de mon corps. Je sortis mon canif de la poche de mon gilet, le dépliai, me saisis de la pauvre bête par la gorge, et délibérément je lui arrachai un oeil de ses yeux de son orbite! Je rougis,

l’attrapai, lorsque, effrayé poar ma violence, il m’infligea une légère blessure sur la main avec ses dents. La furie d’un démon s’empara aussitôt de moi. Je ne me contrôlai plus. Mon âme originelle sembla, tout d’un coup, s’envoler de mon corps; et une cruauté diabolique et imbibée de gin fit trembler chaque fibre de mon corps. Je sortis mon canif de la poche de mon gilet, le dépliai, me saisis de la pauvre bête par la gorge, et délibérément je lui arrachai un oeil de ses yeux de son orbite! Je rougis,

nombreux soldats morts à la guerre. L'on peut relever le champ lexical morbide et effrayant que nous propose l'auteur, relatant les faits de guerre tout au long de l'extrait : "lacis de boyaux", "horrible mixture", "les chemins de l'horreur", "intolérables brûlures", "suffocantes douleurs", "cadavres de l'automne", "bombardement intensif" qui provoque chez le lecteur une sensation d'étouffement, et d'emprisonnement dans un univers sinistre : "confine à la folie". Jean Rouaud introduit dans son texte

permission de lui enlever la vie. De bien meilleures solutions sont offertes dans cette situation telle que l’emprisonnement à perpétuité. En plus de ne pas respecter le droit à la vie en exécutant le coupable, la peine de mort représente une grande cruauté envers celui-ci puisqu’il doit attendre le moment de sa mort et envisager sans cesse ce moment terrible. Selon Eric Prokosch, la peine de mort représente «...l’assassinat prémédité d’un prisonnier dans le but de le punir»6 et peu importe ce qu’il

banalisée que subissent les prisonniers, écrasés par des conditions de vie intolérables et pourtant supportées sans cri, les tortures que l'on devine sans y être confrontés, les petites rapines qui permettent à certains, comme Choukhov, de vivoter, entouré de ceux qui s'écroulent en silence, vaincus par une violence sourde. Soljenitsyne offre à ses lecteurs, dans un livre court et très accessible, une peinture de la cruauté du système concentrationnaire du Goulag encore renforcée par le point de vue

mal surtout lorsque cette règle contrarie nos désirs ou nos intérêts ? Autre problème d'ordre théologique: comment et pourquoi un Dieu dont les caractéristiques sont la bonté et l'omnipotence aurait-il pu tolérer dans sa création la souffrance, la cruauté ou l'injustice ? Ces questions sont vertigineuses, et si j'ai souhaité travailler sur ce thème , c'est qu'il représente pour moi une considérable interrogation, un trouble profond. Il va de soi que je ne prétend en rien résoudre des mystères qui sont

sacrifice de soi exprimer un masochisme moral et être un moyen de contrôle de l’autre par la culpabilité. Le pseudo-altruisme peut résulter d’une formation réactionnelle contre l’agressivité qui opère une transformation de l’égoïsme en altruisme, de la cruauté en pitié… (Selon Freud, 1915, »la plupart des apôtres de la pitié…ont fait preuve, dans l’enfance, de penchants sadiques » 2.1.6. L’auto-observation C’est une réflexion sur ses propres pensées, sentiments, motivation et comportements permettant