Intendant des finances

pouvoirs importants en diplomatie et en matière militaire. Pour pouvoir durer, Napoléon Bonaparte comprend vite que le régime doit reposer sur un État solide et structuré dans lequel les citoyens ont confiance. Tout d'abord, il faut rétablir les finances de l'État et la confiance que cet État suscite. Ceci se fait par une réforme fiscale. La réforme financière partant ; la bonne rentrée des impôts ne pouvait être efficace, aux yeux de Bonaparte, sans une réforme de l'administration. De ce point de

Nicolas Fouquet, né à Paris le 27 janvier 1615, mort à Pignerol le 3 avril 1680, vicomte de Melun et de Vaux, marquis de Belle-Isle, était un homme d'État français sous Louis XIII et Louis XIV. Il est surtout connu pour avoir été surintendant des finances sous le début du règne du roi soleil. Méconnu du grand public d’aujourd’hui, Fouquet a pourtant réaliser une carrière impressionnante, voire trop impressionnante pour l’époque qui finira par le mener à sa perte… I Méconnu du grand public d’aujourd’hui

Traités de Westphalie mettent fin à la guerre de Trente ans _ affaiblissement du prestige de l’Empereur d’Allemagne 1648-1652 : Fronde des Parlements 1661-1715 : règne personnel de Louis XIV 1661 : Colbert est nommé intendant de Finances puis en 1665 contrôleur général des finances 1667 : Code de procédure civile 1669 : Grande ordonnance des eaux et forêts 1673 : Ordonnance du Commerce – dite code Savary 1681 : Ordonnance de la marine marchande 1682 : Déclaration des quatre articles, œuvre

les protestants (tchèques, bohême) + vieux conflit des Habsbourg d’Espagne avec les révoltés des Provinces Unies (Belgique) La France saisie cette occasion pour affaiblir l’Espagne Aggravation de la pression fiscale, Etat centralisé. Création des intendants par Richelieu (représentant direct du roi dans la province) Hostilités élites paysans Mai 1643 : victoire de Rocroi (première victoire française) 1648 : traité de Westphalie 1659 : traité des Pyrénées Invention de la cartouche, rôle de la cavalerie

outre, la monarchie impose progressivement un « réalisme d’Etat », où la loi est au cœur du pouvoir, au-dessus des traditions, le pouvoir royal s’introduit dans le gouvernement des provinces, impose sa volonté par l’intermédiaire notamment de ses intendants. La noblesse se sent lésée, elle n’est plus consultée depuis les états-généraux de 1614-1615, la monarchie ne récompense plus les nobles d’épées qui on fait don de leur personne pour la servir à la guerre. La noblesse d’épée connait plusieurs soulèvements

localement de fonctionnaires permanents. Pour attirer les personnes instruites et compétentes, il faut leur offrir des avantages financiers (qui vont peser ensuite sur les finances royales) et leur garantir une stabilité dans le poste. Louis XI, en 1467, accorde l'inamovibilité aux officiers. En 1483, le roi vend les offices de finances. C'est la vénalité des offices qui commence. Assez rapidement, malgré les affirmations qu'il ne le fera pas, il vend aussi les offices de justice. Devenues propriétés

d’État. On peut voir dans le document 2 que le roi nomme les ministres, les conseils et les différents intendants dans les provinces et généralités. Il nomme aussi les affaires prises en charge par les ministres et les conseils. Il décide les affaires étrangères, les finances, la justice et la guerre. Le schéma du document 2 montre que Louis XIV nomme ses ministres qui l’aident, ses intendants qui l’informent et ses conseils qui le conseillent. II) Louis XIV exerce un contrôle fort sur ses sujets

Grèce classique, « la richesse était nécessaire et bonne, indispensable à la vie heureuse » (1). Les citoyens d’Athènes les plus influents étaient de riches propriétaires terriens, vivant dans la ville. Des intendants géraient leurs domaines. Le commerce, l’artisanat, le prêt d’argent, les finances publiques n’étaient pas considérées comme un tout. Le mot oikonomos désignait la gestion, gestion du patrimoine domestique, composé essentiellement de terres, de troupeaux et d’esclaves. Dans ce contexte

Première fausse confidence de la pièce est celle de Monsieur Rémy, à la scène 4 de l’acte 1. En effet, celui flatte Marton en lui faisant croire que Dorante son neuve l'aime. Dans le but que son neveu épouse Marton afin de rehausser le niveau de ses finances. La Deuxième fausse confidence arrive longtemps après, à la scène 10 de l’acte 1, lorsque Madame Argante affirme à Dorante l’amour de sa fille pour le comte. Celle-ci ayant bien vu l’amour de Dorante pour sa fille, veut lui éviter d’être congédié

judiciaires. Par la suite, ils ont surtout des fonctions d’administration financière, s’occupe de la gestion de la trésorerie publique (au Sénat). Ceux qui s’occupent de la trésorerie (à Rome, trésor public), de la flotte (construction de navire), intendant militaire (ravitaillement armée, paix des généraux en campagne). => Les tribuns de la plèbe ne sont pas réellement des magistrats (magistrat doit être