Intendant des finances

intérieure et le conseil des finances. Cette organisation fut donc remaniée par Louis XIV, qui donna au conseil la forme qu'il conservera jusqu'à la fin de l'Ancien Régime.Le conseil comprend dès lors 4 sections: le conseil d'en Haut, lequel traite des affaires les plus importantes tant sur le plan intérieur qu'extérieur au royaume, également le conseil des dépêches qui s'occupe des affaires intérieures notamment de la correspondance des intendants.le conseil des finances qui étudiait tous les problèmes

1661, à la mort de Mazarin. Louis XIV décide de ne plus prendre de Premier Ministre. Il contrôle toutes les affaires de la France et gouverne avec autorité jusqu’à sa mort en 1715. En province, ses intendants qui sont des hauts personnages sont chargés par le roi d’une mission en France. Les intendants appliquent les décisions du roi. Le roi ne tolère aucune opposition. Il est le chef des catholiques et persécute les protestants, qui fuient le royaume. Ces règles imposé par Louis XIV continuent ainsi

« la justice, police et finances ». En effet, l'intendant doit « ouïr les plaintes », il doit « informer de tous ordres et menées secrètes contre notre service » et il a « l'œil et la direction générale sur les impôts ».Cours → Louis XIV contrôle toutes les structures politiques. Au niveau, il nomme les membres des conseils et prend seulement leurs avis. C'est lui, Louis XIV qui prend les décisions. Il dirige aussi les provinces en choisissant les intendants. Donc la France de Louis

contrôleur général des finances ; il est donc directement confronté aux problèmes posés par le pouvoir financier des fermiers généraux. En 1783, la France sort de la guerre d’indépendance Américaine débutée en 1776 qui l’a opposée à l’Angleterre, car la France a soutenue les indépendantistes Américains. Cependant, cette guerre est victorieuse pour le camp franco-américain, car l’Angleterre a reconnu l’indépendance Américaine au traité de Versailles (1783). Cependant, financé par des emprunts, ce conflit

- Cardin Le Bret auteur du XVIIème est le premier à critiquer le phénomène de la vénalité des offices. - L’office est une fonction publique de l’Etat monarchique au même titre que les intendants. - L’officier, nommé par le roi, ne peut par principe perdre ce poste que dans trois cas : décès, résignation ou forfaiture. - C’est dans un contexte politique et social particulier que se développe la vénalité des offices : guerre, besoin d’argent de la monarchie et volonté pour la haute bourgeoisie

? Cependant, pour assoir leur autorité, les souverains s’appuient de plus de plus sur des commissaires, à savoir des agents du pouvoir royal nommés et révocables par eux. Pour exercer une fonction de justice, de police et/ou de finances. C’est le cas des intendants (commissaires qui cumulent les trois fonctions dans une généralité) dont l’envoi se généralise dans les provinces au milieu du XVII siècle. Avec les commissaires, la monarchie bénéficie d’un personnel fidèle, loyal et le plus souvent

dans un premier temps celui qui bénéficiait de l'office rembourse l'ancien titulaire et pas le roi. François premier → création en 1524 du bureau des parties casuels : désormais les offices vont entrer dans le commerce par leur création moyennant finance. Le roi va se mettre de créer des offices, d'autant plus que le trésor public a besoin d'argent. A partir de là la cessibilité → hérédité. La patrimonialité va triompher au début du XVII°, réforme du à un financier proche d'Henri IV → il a

d’argent le roi créée des offices nouveaux. En conséquence, la bourgeoisie qui occupaient ses charges monte en pouvoir et devient une menace pour le pouvoir royal. Pour la réorganisation financière du royaume Henri IV fait appel à Sully au conseil des finances en 1596, qui reprend une bonne partie des domaines qui avaient été aliénés. Révise les rentes, et fait interdire aux gouverneurs de lever des taxes à l’exception des taxes royales. Il oblige les receveurs et les trésoriers de l’épargne à tenir registre

d’expédients. La gestion prudente de Joly de Fleury, auquel succède Lefèvre d’Ormesson, est impuissante à rétablir un équilibre qui aurait exigé des mesures énergiques. La nomination de Calonne, ancien intendant de Lille, au contrôle général (1783) est d’abord bien accueillie, mais le nouveau responsable des finances publiques, trop courtisan pour être radical, couvre bientôt les gaspillages et les débordements de la cour, dans le climat d’optimisme qui suit la conclusion du traité de Versailles, mettant fin

TIMAGÈNE. — Voulez-vous bien vous expliquer, Madame ? MADAME SORBIN. — Lisez l’affiche, l’explication y est. ARTHÉNICE. — Elle vous apprendra que nous voulons nous mêler de tout, être associées à tout, exercer avec vous tous les emplois, ceux de finance, de judicature (2), d’épée. HERMOCRATE. — D’épée, Madame ? ARTHÉNICE. — Oui, d’épée, Monsieur ; sachez que jusqu’ici nous n’avons été poltronnes que par éducation. MADAME SORBIN. — Mort de ma vie ! qu’on nous donne des armes, nous serons