Inondation Exposé

* les catastrophes liées aux activités humaines, qui sont parfois bien plus dévastatrices. Cette distinction demeure néanmoins artificielle, puisque l'impact des catastrophes dites naturelles dépend largement du facteur humain (ainsi, les inondations sont plus dangereuses lorsque les mangroves ont été détruites ou que l'on s'expose volontairement à l'aléa parce qu'on a construit en terrain inondable ; de même, les tremblements de terre font des dégâts différents selon le type deconstruction adoptée

actes de terrorisme ; tempête. La garantie catastrophe naturelle est rendu obligatoire. Ça peut être un typhon, un tsunami, un tremblement de terre, une éruption volcanique, la sécheresse qui entraîne des mouvements de terrain différentiels, une inondation ou avalanche hors des couloirs d’avalanches… Doit être déclarée comme telle par les ministres. Elle couvre les dommages matériels directs non assurables ayant eu pour cause déterminante l’intensité anormal d’un agent naturel. Le règlement du sinistre

le facteur de risque est une cause de vulnérabilité due à une faiblesse de l'organisation, des méthodes, des techniques ou du système de contrôle, - la manifestation du risque. Tôt ou tard le risque se manifeste. Il peut être physique (incendie, inondation) mais la plupart du temps il est invisible et se traduit notamment par la destruction des données, détournement de trafic, - la maîtrise du risque. Il s'agit de mettre en place des mesures permettant de diminuer le niveau des risques notamment

terrain couvrent une large catégorie le long des pentes. Ils sont fréquents et constituent un risque permanent dans presque toutes les régions du monde. En France, où de nombreuses communes sont menacées, c'est le deuxième risque naturel après les inondations. Leur étude et leur surveillance, qui doivent permettre la prévision de leur déclenchement, sont devenues une priorité en matière de catastrophes naturelles. Pour restreindre les glissements de terrains ,les collectivités font appelle a des experts

les habitants quittent leur maison Solutions : Construction de digues, transformer un élevage de poules en élevage de canards, planter des graines de concombres au-dessus du niveau de l’eau, -762005778500 Titre : Inondations au Bangladesh 2) S. Fanchette et A. de Ravignan, Inondations aux Bangladesh, sans adresse URL Causes : Élévation du niveau de la mer due au réchauffement de la planète, la déforestation des pentes de l’Himalaya, l’urbanisation, les pêcheurs détruisent parfois les dignes

difficultés à satisfaire l’ensemble des besoins. Elles possèdent des aménagements vétustes. Leurs stations d’épurations sont dans des états désastreux et certaines villes n’en possèdent pas du tout. Les barrages qui doivent réguler l’eau, causent des inondations parfois mortelles du fait à un mauvais entretien. Pratiquement toutes les maisons possèdent des fuites à cause d’une mauvaise maintenance des appareils sanitaires. Les ressources en eau diminuent. La consommation en eau est en augmentation car

 Toutes les sociétés du monde sont confrontées chaque années à des catastrophes naturelles ( volcans, séismes, cyclones, inondations etc.) le plus souvent imprévisibles. Mais ces phénomènes peuvent avoir un impact différent selon la partie du monde où l'on se situe. Il existe en effet un déséquilibre lié à des stratégies structurelles, politiques et socioéconomiques, selon que les pays victimes se situent dans l'hémisphère nord (riches) ou dans l'hémisphère sud (pauvres). Dans un premier temps

La mer d’Aral La mer sinistréé 1) En 1960 : 440 Km du Nord au Sud et 310 Km d'est en ouest. Le plus grand bassin de la grande mer en août 2009 : 220Km en longueur et 43 Km en largeur. L'ancien port ouzbek de Muinak à 125 Km du bassin le plus proche ; le port kazakh d'Aralsk : à une vingtaine de Km de la Petite mer malgré sa « renaissance ». 2) On peut parler de catastrophe totale car la disparition de la mer d'Aral entraîne beaucoup de conséquences négatives, notamment l’extinction de

et leur importance aussi. Les raisons semblent à priori évidentes : ce sont la multiplication des constructions en zone inondable et le changement climatique. En effet c’est le croisement de l’aléa « crue » avec les enjeux qui crée le risque inondation. Or les zones à enjeux sont plus nombreuses. Et ce, quelles que soient les mesures, dispositions réglementaires, obligations prises par l’Etat. Nous assistons impuissants à la poussée inéluctable des constructions en zone inondable. Face à cette

de Casablanca, capitale économique du Maroc, connaît un développement urbanistique de plus en plus accéléré durant les dernières décennies provoquant une imperméabilisation du sol. Si on ajoute l’effet du changement climatique, qui entraine des inondations intenses provoquant des dégâts importants, l’impact se trouvera ainsi aggravé d’avantage. Face à cette imperméabilisation grandissante des bassins versants à équiper, d’une part et du changement climatique d’autre part, une réflexion a été lancée