Innovation Partie Empirique

L’analyse de Schumpeter 1 – Les cycles économiques : l’article de J. Adda (document photocopié n° 1) puis : p. 20, n° 9, Questions 1, 2, 3 et 4. 2 – Les 5 types d’innovation selon Schumpeter : p. 17, n° 3, questions 1 et 2. 3 – Inventions et innovations : (document photocopié n°2) texte de Maurice Niveau. 4 – L’entrepreneur schumpétérien : (document photocopié n°3) texte de François Perroux, puis : p. 17, n° 4, questions 1, 2 et 3 ; p. 18, n° 5, questions 1, 3, 4. 5 – Le rôle du monopole :

ancêtres ont dû accroître une connaissance afin de survivre dans un milieu hostile. Ils ont alors développé une connaissance empirique. Cette connaissance défendu dans le XVIIe et le XVIIIe siècle par Loche et Hume définit que toute notre connaissance provient de nos expérience, des sensations. A la préhistoire déjà, nos ancêtres ont grâce à cette connaissance dite empirique sût évoluer, mieux se nourrir et atteindre un meilleur confort. En effet la première découverte importante fut celle du feu

interroger sur la validité empirique de des théories traditionnelles du commerce international, et à nous demander dans quelle mesure ces théories sont elles encore applicables aujourd'hui, ou dans quelle mesure elle doivent être relativisées. Pour introduire cette étude nous commencerons par présenter rapidement les grandes théories traditionnelles du commerce international, et nous testerons dans une deuxième partie leur validité empirique. Enfin, dans une troisième et dernière partie, nous montrerons que

consommateur et enfin, identifier les segments de consommateurs en fonction des caractéristiques fondamentales de leurs styles d'achat en qualifiant le style temporel et le sentiment d'efficacité personnelle de chacun des segments obtenus. L'étude empirique a été effectuée auprès de 579 consommateurs français et 600 consommateurs vietnamiens. Les résultats indiquent qu'il existe une différence forte entre les consommateurs des deux cultures sur leurs styles d'achat, leurs styles temporels et leur sentiment

avons de l’entrepreneuriat doit beaucoup à l’économiste Joseph Schumpeter[->9] ainsi qu’à l’école autrichienne. Pour Schumpeter (1950), un entrepreneur est une personne qui veut et qui est capable de transformer une idée ou une invention en une innovation[->10] réussie. L’entrepreneuriat conduit à une « destruction créatrice » dans les marchés et les secteurs de l’économie[->11] parce que de nouveaux produits et modèles économiques[->12] arrivent et remplacent les anciens. Ainsi, la destruction créatrice

d’épargne net au niveau national et par conséquent une hausse des taux d’intérêt. Celle-ci entraîne une chute de l’investissement et un ralentissement de la croissance du stock de capital. La moindre accumulation en capital se traduit par de moindres innovations et par conséquent une baisse de la productivité du travail. Parallèlement, la hausse de l’endettement implique de plus fortes charges d’intérêt qui comprimeront les dépenses productives, notamment l’investissement public en infrastructures, et qui

l’origine de la richesse des nations, c’est-à-dire ce qui va conditionner l’organisation économique. Problématique : - Quelles sont les sources générales de cet enrichissement et qu’est-ce qu’elles engendrent (d’un point de vue théorique et empirique) ? - Tout les pays souhaitent avoir la Croissance économique la plus élevé possible. A-t-on raison de faire cela ? Qu’est-ce qui pourrait freiner la Croissance économique ? I. Les origines de la Croissance. A - La croissance expliquée

disposent les firmes proposés par la littérature, et d’autre part de déceler de nouvelles motivations et solutions non encore déterminées par les études précédentes. La recherche est organisée en trois parties : tout d’abord le cadre théorique dans lequel s’inscrit notre étude est présenté; la seconde partie expose la méthodologie de la recherche ; enfin, l’analyse des résultats de cette étude exploratoire nous conduira à l’élaboration d’un modèle conceptuel. 1 13 Conférence de l'AIMS. Normandie. Vallée

.................................. 26 II.1.2.2 La règle de ciblage d’inflation................................................................ 30 II.1.2.3 Règles d’instrument versus règles de ciblage : Questions en débat ....... 33 II.2 Aspects empiriques .................................................................................................. 34 iii Conclusion ..................................................................................................................... 39

divers problèmes de la population 5 . Renforcer et étendre les partenariats plutôt que chaque organisation manipulation individuelle "ses" services et «ses» responsabilités 6 . Travail collaboratif et les réseaux comme moyens de stimuler sociale innovation 7 . Créer des solutions de sensibili lisation basés dans la communauté locale plutôt que des solutions globales , à distance de personnes et les communautés 8 . Investir davantage dans la coopération que dans la concurrence 9 . L'intégration