Indice de Shannon

codage qui en résulte est alors dit à longueur fixe. L’information élémentaire est représentée par deux valeurs équiprobables (0 ou 1, pile ou face...), la quantité d’information apportée par la connaissance de l’un des états est : Q = log2 2 = 1 shannon ou 1 bit. La quantité d’information Q s’exprime en shannon4 ou plus simplement en bit. Le bit est la quantité d’information qui correspond au lever de doute entre deux symboles équiprobables. Lorsque tous les états ne sont pas équiprobables, la quantité

est plus important que celui de l’é conomie danoise, qui n’a augmenté que de 18 pour cent (en prix constants) sur la mê me pé riode. 109 Graphique 2. Développement de la production brute en prix constant En millions KrD, 1980 Indice 1984 = 100 Indice 1984 = 100 250 250 225 225 Transport maritime 200 200 175 175 Total secteur transport 150 150 125 125 100 75 1984 Transport par route Total économie danoise 1985 1986 1987 1988

initial de mettre en avant e les facteurs humains pour les inclure parmi l’ensemble des param`tres a prendre en e ` compte, mais le fait de se focaliser sur eux a paradoxalement conduit a ne plus ap` porter la mˆme attention ` l’´tude d’autres indices de variabilit´ : en d´finissant e a e e e un centre d’attention, c’est en mˆme temps les fronti`res du domaine e e d’int´rˆt que l’on dessine. En mettant l’accent sur des facteurs qui ´taient au e e e d´but n´glig´s, on en est ainsi venu

en marketing stratégique. ( La matrice du BCG (Boston Consulting Group - 1969) schématise la position concurrentielle des DAS (ou produits) en fonction de la part de marché relative (atteinte par rapport au principal concurrent – on recherche un indice de position dominante >1) et du taux de croissance du marché correspondant : - cette analyse est axée sur le cash flow généré par les DAS ; - à chaque position correspondent des choix stratégiques. ( La matrice est difficile à établir en pratique

en marketing stratégique.  La matrice du BCG (Boston Consulting Group - 1969) schématise la position concurrentielle des DAS (ou produits) en fonction de la part de marché relative (atteinte par rapport au principal concurrent – on recherche un indice de position dominante >1) et du taux de croissance du marché correspondant : - cette analyse est axée sur le cash flow généré par les DAS ; - à chaque position correspondent des choix stratégiques.  La matrice est difficile à établir en pratique

en marketing stratégique.  La matrice du BCG (Boston Consulting Group - 1969) schématise la position concurrentielle des DAS (ou produits) en fonction de la part de marché relative (atteinte par rapport au principal concurrent – on recherche un indice de position dominante >1) et du taux de croissance du marché correspondant : - cette analyse est axée sur le cash flow généré par les DAS ; - à chaque position correspondent des choix stratégiques.  La matrice est difficile à établir en pratique

Stevens (1951) pour les besoins de la psychométrie, hiérarchise plus finement 4 classes de données élémentaires, du plus général au plus traitable : Données nominales (N), discrètes, numériques ou symboliques : ici les nombres ne sont que des indices de catégorie, et 2 ne signifie rien par rapport à 1. Les seules opérations possibles sont les comparaisons = et ≠. Exemple: client : 0 : normal ; 1 : bon ; 9 : mauvais payeur. Données ordinales (O) discrètes, numériques ou symboliques : données

´tudie les limites th´oriques des syst`mes de communication. Voici deux exemples importants. e e e Consid´rons la paire Db /B - SNR, supposant la transmission sur le canal gaussien. La limite e th´orique dans ce cas est donn´e par la th´or`me de Shannon: e e e e Eb C = log2 1 + B N0 ou Eb N0 C B , est le SNR, et C/B est l’efficacit´ spectrale maximale (quand le d´bit binaire Db est ´gale e e e a ` la capacit´ th´orique C, ´tant la valeur maximale possible). Cette relation est pr´sent´e

pour identifier les différents paramètres qui caractérisent une situation de communication7. Ce modèle a été souvent repris, aussi bien dans le cadre des travaux sur les types d’interaction que dans la réflexion, qui nous intéresse ici, sur les indices contextuels pris en compte par les participants pour la construction des significations. Il fait l’objet d’une présentation critique dans Bachman, Lindenfeld et Simonin (1981 : 73-76)8 : • • • • 7 Setting : le cadre : « Il s’agit tout

adaptée à la C verbale1 par le linguiste Roman Jakobson (1960), l’auteur transposant en linguistique le modèle qui avait été appliqué dans le domaine des télécommunications et qui avait été présenté par Claude Shannon (un des théoriciens de la cybernétique) dans un ouvrage publié en 1949 (cf. Shannon / Weaver 1949). Néanmoins, dans le schéma proposé par R. Jakobson, le contexte situationnel ne figure pas comme composante indépendante, le linguiste de l’École de Prague ne considérant pas nécessaire de dissocier