Ii Les Conséquences Négatives De La Flexibilité Sur Le Marché Du Travail

CHAPITRE 1 : LE CONCEPT D’ENTREPRISE I. Introduction II. L’approche traditionnelle de l’entreprise. III. L’approche systémique de l’entreprise IV. Les caractéristiques du système entreprise CHAPITRE 2 : l’ENTREPRISE ET LE SOCIAL I. Introduction II. Le rôle social de l’entreprise III. Le bilan social de l’entreprise IV. Le coût social dans l’entreprise. CHAPITRE 3 : LA CLASSIFICATION DES ENTREPRISES I. Introduction II. Les critères de classification des entreprises

global Y et du taux d’intérêt r de tel façon que les marchés des biens et services, IS, et le marché de la monnaie LM soit en équilibre simultané. La courbe IS représente l’ensemble des différentes combinaisons du taux d’intérêt et du niveau de revenu comptable avec l’équilibre sur le marché des biens et services. La courbe LM représente l’ensemble des combinaisons du taux d’intérêt et du niveau du revenu compatible avec l’équilibre sur le marché monétaire. SECTION 1 : la représentation de l’équilibre

effet, il peut refléter un marché du travail actif, avec de nombreuses séparations (travailleurs quittant ou perdant leur emploi), de nombreuses embauches et un grand nombre de travailleurs entrant et sortant du chômage. Il peut également refléter un marché du travail sclérosé, avec peu de séparations, peu d’embauches, et dans lequel une fraction de la population reste au chômage en permanence. CHAPITRE INTRODUCTIF : Les modèles théoriques de marchée du travail A. MODELE D’INSPIRATION

Marché des titres La rotation sectorielle observée depuis janvier 2009, vous paraît-elle conforme à la théorie ? Crise Mondiale, Récession, Reprise, Chômage, Plan de Relance Economique, Dette,… Depuis maintenant deux ans, la crise financière a bouleversé la situation économique mondiale. A coup de chiffres et de millions, économistes et politiciens s’attèlent à analyser et à réguler l’évolution de l’économie mondiale. L'année 2009 a été marquée par le retour de la croissance après une récession

RICARDO, MATHUS. Ce courant met en avant la théorie de la valeur travail, passe par la valeur d’usage (Ce que le bien permet de satisfaire) et valeur d’échange (quantité d’autres biens que l’on peut obtenir en échange de notre bien). La valeur d’un bien est égale à la quantité de travail nécessaire pour le fabriquer. Ainsi plus il y a de travail plus l’économie du pays est forte. Pour augmenter la productivité, apparait la division du travail (A.SMITH). Analyse macroéconomique en terme de classe sociale :

organisation? II.1. La notion « d’action organisée » L’action organisée est définit par des sociologues qui s’intéressent à l’action de groupes sociaux en interaction. Le point de départ c’est que plusieurs individus essayent de réaliser un projet en commun. Exemple : faire de l’escalade. 1 : préparation 2 : répartition des rôles => mise en place d’action organisée (= coopération entre plusieurs individus pour plusieurs actions). C’est la répartition des tâches : (division du travail), répartition

suivie ensuite par la consommation intérieure et les exportations à hauteur de 17%, dont l’importance est de plus en plus prononcée. Au début des années 1990, la Chine a été vue par les pays occidentaux comme une source de croissance avec un marché de plus d’un milliard d’habitants. Désormais, ces espérances se sont dispersées et l’espoir a laissé place à l’inquiétude. A en croire nos dirigeants politiques, la Chine serait le principal responsable des maux des sociétés occidentales.

et la hiérarchie). Dans les petites entreprise, la structure est plus petite, plus de proximité du patron vis-à-vis de ses employés, information qui circule plus vite, plus de communication entre les personnes des différents services, plus de flexibilité. Inconvénients : souvent patrons qui ne savent pas déléguer, entreprise spécialisée, pas de diversification (=> risques) b. la structure juridique SA : capital plus important => pas contrainte au niveau financier. Mais obligation

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 II 7.4 7.5 7.6 Analyse économique de l’emploi et du chômage Définition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Historique : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

loin à l’élaboration de ce travail. De prime abord, Madame le professeur XXXI, qui nous a dirigé et, pour l’aide et le temps précieux qu’elle a bien voulu nous consacrer et sans qui, ce mémoire n’aurait jamais vu le jour. Nos vifs remerciements s’adressent au Centre Régional d’Investissement de Fès (CRI), en particulier Monsieur XXX, pour toutes les informations qu’il nous a transmises et pour tous les précieux conseils qu’il nous a fournis pour l’élaboration de ce travail. Nous remercions également