Ici Même

Mélenchon /Le Pen : même combat ? Depuis le dé?but de la campagne, les noms d’oiseaux ne manquent pas entre Marine Le Pen et Jean-Luc Mé?lenchon. Mais leur affrontement s’est encore durci ces derniers jours. Car dé?sormais, la candidate du Front national et celui du Front de gauche se disputent le titre de "troisiè?me homme (ou femme)" dans les sondages. Tout deux partagent une certaine hostilité? envers les mé?dias,mais elle est incomparable à? la violence dont ils font preuve l'un envers l'autre

CORRIGÉ DU DEVOIR DE RÉVISION AVANT BREVET BLANC Au cross du collège, les garçons et les filles courent en même temps sur le même parcours. Les garçons doivent parcourir 2 km. Les filles partent à 300 m du point de départ des garçons, comme l’indique le schéma ci-contre. Partie A Marc effectue le parcours des garçons à la vitesse constante de 15 km.h -1 . Cécile effectue le parcours des filles à la vitesse constante de 12 km.h -1 . 1. a. Montrons que Marc effectue 250 mètres

: Faut-il aimer pour être soi-même? L'expression "être soi-même" apparaît en général comme liée à la recherche d'une identité personnelle. Aimer, qui semble être le plus souvent associé à un oubli de soi, et "être soi-même" apparaissent donc comme deux termes en contradiction, ou n'ayant pas de rapports directs, évidents. Dans la formulation de la question, "faut il aimer pour être soi-même?", aimer s'impose comme une condition nécessaire pour se révéler à soi-même. En effet, si l'amour peut apparaître

Peut-on se mentir à soi-même ? « Se mentir à soi-même », « se voiler la face » sont des expressions qui consistent à dire qu’il ne faut pas se cacher la vérité à soi-même. On a tendance à les employées parfois, mais pense-t-on réellement que cela est possible ? Puis-je m’illusionner ? Peut-on se mentir à soi-même ? Spontanément, on répondra non. En effet, on pense impossible le fait de pouvoir se tromper soi-même. Mais alors, que pourrait légitimer l’emploi de cette expression ? De plus, pourquoi

mentir à soi-même, on entend le fait que l'Homme trompe sa propre personne, se détourne d'une vérité dont il a conscience et qu'il ne semble pas pouvoir ou vouloir accepter. Se mentir à soi-même, c'est donc se protéger d'une réalité qui nous semble impossible ou encore se bercer d'illusions. De fait, peut-on se mentir à soi-même ? En raisonnant par contraposée, on peut se également se demander simplement si il est aisé de se dire la vérité. De plus, si je peux me mentir à moi-même, c'est sans doute

Peut-on ne pas être sois-même ? ___________________________________________________________________________ ___________________________________________________________________________ Le questionnement apporté par «Peut-on» suggère la possibilité au sens de capacité. Ainsi, la problématique est principalement basée sur la possibilité d’être sois-même. Mais qu’est-ce qu’être sois-même ? Il s’agit d’abord d’un renvoie à

Philosophie Peut-on être soi-même sans se connaitre ? Beaucoup de philosophes se sont penchés sur la question d’un certain « soi-même », ils interrogent la connaissance de soi, l’un sans l’autre fonctionnent-ils ? Autrement dit peut-on être soi même, même si l’on ne se connaît pas ? L’idée de soi-même explique le fait qu’une action, qu’un jugement soit fait de son propre chef et sans demander l’avis de quelqu’un d’autre, sans avoir besoin d’autrui. Se connaitre, c’est à la fois être en mesure

1 | Peut-on se mentir à soi-même ? |2 | | On dit souvent qu’une personne ment comme elle respire : l’homme utilise le mensonge, le pouvoir de la parole sur ses congénères. Scapin par exemple, menteur célèbre de la pièce de Molière, se servait du mensonge pour utiliser les autres à ses propres fins. Mais s’il est aisé de tromper autrui, est-il possible de se mentir à soi-même ? Peut-on user des mêmes stratagèmes trompeurs vis-à-vis de soi que vis-à-vis des autres ? Est-on dupe de son

Peut-on ne pas être soi-même ? Analyse du sujet :  « Peut-on » : exprime ici la possibilité et non le droit, la légitimité.  « ne pas être soi-même » : → a priori, c'est une proposition absurde : « Je suis moi », qu'est-ce ou qui est-ce que je pourrais être d'autre ? Ä renvoie à une évidence : moi = moi Ä notion d'identité : ● Je me pense comme étant un (UNITE, simplicité) ● comme unique (UNICITE) ● comme étant le même à travers le temps (IPSEiTE) -> C'est cette évidence de l'identité

de nos valeurs morales, nous permet de nous sentir exister, d'être présent à nous même. Ainsi, on a l'idée sur nous même d'une identité qui nous est propre à chacun. Cependant, la conscience étant la seule constitutive de notre identité, sommes nous réellement objectifs sur nous même? Faut-il se méfier de sa conscience? Sommes nous réellement ce que nous avons conscience d'être? Pouvons nous voir clair en nous même? Ainsi, on peut tout d'abord dire que d'une part la conscience ne peut pas nous tromper