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l'égide de la Banque des règlements internationaux et ont abouti à la publication de la Directive CRD. Les normes de Bâle II devraient remplacer les normes mises en place par Bâle I en 1988 et visent notamment à la mise en place du ratio McDonough destiné à remplacer le ratio Cooke. En 2010, le minimum de fonds propres Tiers-I requis par les accords de Bâle est de 4 % mais les investisseurs exigent plutôt des banques un ratio supérieur à 10 %[1]. Face aux 500 milliards d'euros de produits dérivés[2]

QUESTIONS ORAL (PROBABLE) - PIB : Instrument de richesse d’un pays, valeur totale de production interne de Biens et Services d’un Pays - Produit Net Bancaire : Différence entre Produits et Charges d’exploitation bancaire. Mesure de la contribution spécifique des banques à l’augmentation de la richesse nationale et peut donc être rapproché a la valeur ajoutée des entreprise non financières. - Crise des subprimes : La crise financière de 2008, suite aux subprime, qui

évolutions réglementaires Impacts de la réforme pour les établissements bancaires Limites de la réglementation 3 Un processus réglementaire accéléré depuis la crise financière, avec la publication de nombreux textes 1975 Bâle I & II Accords de Bâle I Création du Comité de Bâle Convergence internationale de la mesure et des normes de fonds propres Principaux textes publiés* : Septembre 2008 Juillet 2009 Juillet 2009: Publication des deux documents de Bâle III Bâle

1.2. Pourquoi règlementer les banques 8 1.2.1. Aléa de moralité 8 1.2.2. Anti-sélection 9 1.2.3. L'harmonisation internationale des conditions de la concurrence 9 Section 2: 12 2. la réglementation prudentielle internationale : bale I & bale II 12 2.1. Les normes prudentielles – Le Comité de Bâle 1 : de 1974 à 1998 Les premiers aboutissements: Le Ratio de Cooke 12 2.1.1. Le contexte de la création du Comité de Bâle en 1974 12 2.1.2. Les objectifs dédiés du Comité de Bâle

Les Types de Robots : Un Automate : C'est un robot qui travaille tout le temps à la même place. Il fait des choses répétitives que les gens n'aiment pas faire. Il n'est jamais fatigué. Un Humanoïde : C'est un robot qui ressemble à une personne. Il a des jambes, des bras, une tête et un corps. Il est programmé pour faire des choses intellgentes comme jouer aux cartes, aux échecs, au soccer et bien d'autres choses. Un Animat : C'est un robot fabriqué comme un vrai animal. Il peut être programmé

Facteurs de risque de taux et de liquidité Section 2 : Les indicateurs de gestion Section 3 : Théorie des impasses Section 4 : Taux de cession interne Chapitre 3 : Les Accords de Bâle Section 1 : Présentation de la comité de Bâle Section 2 :Bâle I Section 3 :Bâle II Section 4 : Bâle III Conclusion 1 La Gestion Actif- Passif : ALM ISCAE 2011-2012 Introduction La gestion actif - passif ou ALM (Assets and Liabilitiers Management) ou la gestion des risques se développe aujourd hui

Sujet n°12 : Expliquez pourquoi le plan de continuité d’activité constitue un élément essentiel de la gestion des risques Intro : Le Plan de Continuité des Activités est né en 2004 et a pour objectif de compléter le règlement 97-02. 1) Définition Définition Générale : Ensemble de mesures visant à assurer, selon divers scénarios de crises, y compris face à des chocs extrêmes, le maintien, le cas échéant de façon temporaire selon un mode dégradé, des prestations de services essentielles de l’entreprise

FONCTIONNEMENT DE L'OBJET TECHNIQUE Comment fonctionne un robot ? Les différentes parties d'un robot : Un robot est composé de 2 parties : • la partie commande • la partie opérative La partie commande est le "cerveau" de la machine. Elle analyse les informations et envoie les ordres. La partie opérative est chargée d'exécuter les ordres et de capter les informations. Les composants d'un robot appartiennent à 2 familles : • Capteurs • Actionneurs Le capteur récupère les informations

montrera que la gestion des risques dans les banques a fortement évolué au cours des dernières années, elle couvre tous les points susceptibles de poser problèmes. Le premier chapitre traitera l’évolution de la gestion des risques bancaires de Bâle I à Bâle II. Le second chapitre mettra l’accent sur l’apport de Bâle II pour le financement des PME. Enfin le troisième chapitre analysera l’adoption de Bâle II en Tunisie. 2- Partie empirique : Dans cette partie, on va évaluer le risque de crédit d’un

ville de Suisse, sous l'égide de la « banque centrale des banques centrales » : la Banque des Règlements Internationaux et ont abouti à la publication de la Directive CRD. Les normes de Bâle II devraient remplacer les normes mises en place par Bâle I et visent notamment à la mise en place du ratio McDonough destiné à remplacer le ratio Cooke qui date de 1988. Suivant le même canevas, de nouvelles normes Solvabilité II sont en cours de discussion pour les sociétés d'assurances et de réassurance.