Hypocrisie Bourgeoise

Argumentation + XVIIIème siècle Biographie de Voltaire : 1694-1778. François-Marie Arouet est un essayiste, dramaturge, poètes, il écrit des contes philosophique tels que Micromégas, L’ingénu, Candide ou l’optimisme. Il est issu d’une famille bourgeoise aisée ayant achetée une charge. Il fait se études chez les Jésuites (=admirateur des auteurs du XVIIème) et dans le droit. Il aime les salons mondains, il croit en l’homme, en la société et en le progrès. Ses écrits lui valent de nombreux problèmes

évolution : - la peur initiale, dictée par un instinct de survie personnelle : « beaucoup de bourgeois bedonnants émasculés par le commerce » ont peur de perdre leur argent. - la reprise progressive d’une vie normale, au nom d’une certaine humanité ; hypocrisie d’un comportement dicté uniquement par le souci de faire à nouveau des affaires. - les vestiges d’une révolte première, mais de manière anonyme (les cadavres retirés de l’eau, en dehors de la ville) : lâcheté de ces actes. - l’intérêt pour le

le Misanthrope (1666) font partie de ce qu’on pourrait appeler la trilogie de l’imposture et de l’hypocrisie. Molière contourne l’interdiction portant sur Tartuffe en traitant le même thème de diverses manières : Tartuffe : hypocrisie des faux dévots ; Don Juan : hypocrisie et cynisme ; Le Misanthrope : authenticité en butte à l’hypocrisie du monde. On peut se demander comment il va réussir à concilier la nécessité de faire une comédie capable d’attirer les spectateurs avec cette critique de

concrétisation du passage où elle parlait à Laurent dans le roman on lui disant : «  tu ne saurais croire, reprenant – elle, combien ils m’ont rendue mauvaise. Ils ont fait de moi une hypocrite et un menteuse … ils m’ont étouffé dans leur douceur bourgeoise et je ne m’explique pas comment il y a encore du sang dans mes veines, […] j’ai eu comme eux un visage morne et imbécile, j’ai mené leur vie morte » b. Madame Raquin Mme Raquin est une femme austère et possessive, c’est

il écrit de nombreux romans, contes, nouvelles, chroniques. En 1891, une maladie grave et des angoisses le conduisent à la folie et à la mort en 1893. (1) {draw:frame} Stendhal né le 23 janvier 1783 à Grenoble. Il naît dans une famille bourgeoise. A l'âge de 17 ans, il s'engage dans l'armée, cette carrière lui fait découvrir l'Italie, pays qu'il aime beaucoup. En 1806, il devient auditeur au Conseil d'État. De 1805 à 1814, il partage sa vie entre des missions à l'étranger sur les pas de

innovations et à l’évolution des moeurs. L’ascension de la bourgeoisie va s’épanouir sous les règnes de Louis XV et Louis XVI et ne fera qu’accentuer l’ébranlement des anciennes structures sociales. Les nobles se sentent menacés par cette riche classe bourgeoise qui critique leur oisiveté et passivité, et qui pourtant cherche à pénétrer leurs rangs en se faisant anoblir par le roi ou en mariant leurs filles à des gentilshommes. La société, jusque-là divisée en trois ordres, à savoir la noblesse, le clergé

évolution : - la peur initiale, dictée par un instinct de survie personnelle : « beaucoup de bourgeois bedonnants émasculés par le commerce » ont peur de perdre leur argent. - la reprise progressive d’une vie normale, au nom d’une certaine humanité ; hypocrisie d’un comportement dicté uniquement par le souci de faire à nouveau des affaires. - les vestiges d’une révolte première, mais de manière anonyme (les cadavres retirés de l’eau, en dehors de la ville) : lâcheté de ces actes. - l’intérêt pour le

Bel-Ami ! " ». Bel-Ami, le séducteur intelligent, trouve en Laurine un moyen facile pour plaire à sa mère qu’il vise comme victime convoitée et aussi un moyen de cacher sa timidité et son embarras au sein d’un milieu entouré de femmes riches et bourgeoises dont la séduction reste encore difficile. Cette relation entre le héros et la petite fille peut être schématisée ainsi : Amour + amitié Laurine

et les fripons (l.2287) . Ils s’opposent aux victimes (l.2254) et aux dupes (l. 2287) qui se laissent utiliser et crever « comme des chevaux de poste » (l.2249). Ceci reflète aussi le clivage qui existe entre les classes sociales : les « pauvres bourgeoises » (l.2282), et les riches parvenues venues de la « rue Saint-Lazare » qui aspirent à entrer dans les « salons » de la vieille aristocratie qui habite « rue de Grenelle » (l.2267) ; et au sens plus large le clivage entre les deux sexes : les femmes

et la Russie est à l’avant-garde du mouvement révolutionnaire de l’Europe. Le Manifeste communiste avait pour tâche de proclamer la disparition inévitable et prochaine de la propriété bourgeoise. Mais en Russie, à côté de la spéculation capitaliste qui se développe fiévreusement et de la propriété foncière bourgeoise en voie de formation, plus de la moitié du sol est la propriété commune des paysans. Il s’agit, dès lors, de savoir si la communauté paysanne russe, cette forme déjà décomposée de l’antique