Hypersomnie

o Asthénie = fatigue importante Chez SD, c’est une asthénie matinale Perte de l’élan vital o Le sentiment de dévalorisation  Perte estime de soi : « je suis nul » o Sentiment de culpabilité o Troubles du sommeil : insomnie ou hypersomnie o Troubles des conduites alimentaires : anorexie ou boulimie o Troubles de la concentration et l’attention o L’existence d’idées suicidaires Pour parler d’un SD, il faut que les signes durent plus de 15 jours. o Les signes

Indépendance : sommeil de 6 à 8 heures par jour chez l’adulte sans interruption, réparateur (se sent reposé, est alerte) période de détente et de repos pendant le jour Dépendance : insomnie, hypersomnie, induction lente, sommeil interrompu, apnée du sommeil, cataplexie, narcolepsie, somnambulisme, bruxisme, cauchemars, rêves incessants, fatigue, apathie, prise de somnifères, manifestation de

du à sa paraplégie, un professionnel de santé doit effectuer une exonération des selles tous les 2 jours. Il fait ses autos sondages seul. se mouvoir et maintenir une bonne posture : se déplace seul en fauteuil roulant dormir et se reposer : hypersomnie, difficulté à l’endormissement s’habiller et se déshabiller : ne peut s’habiller et se déshabiller seul maintenir la température du corps dans les limites normales : température corporelle normale être propre, soigné et protéger ses téguments :

sommeil sont classés selon leur forme, leur durée ou leurs causes. La classification internationale des troubles du sommeil distingue :  les dyssomnies : perturbations de la qualité, de la quantité ou des horaires du sommeil : insomnies,  les hypersomnies : troubles du sommeil résultant en un excès de sommeil : apnée du sommeil, troubles du rythme circadien.  les parasomnies : phénomènes anormaux qui surviennent au cours du sommeil : somnambulisme, cauchemars, terreurs nocturnes…   II. HISTORIQUE

inhibition psychique et motrice 2. Un(e) patient mélancolique (1 point) :A. Est très sensible aux influences du milieu ainsi qu’au réconfort B. Comporte des idées délirantes systématisées très productives C. Présente une aboulie D. Présente une hypersomnie ayant pour fonction de se retirer du monde extérieur.E. Est bradypsychique3. La crise maniaque est caractérisée par (1 point)A. un début systématiquement brutal et sans prodromes B. une hypersyntonie C. Une tachypsychie D. un sentiment d’élation

l’angoisse : oppression, spasmes, céphalées, vertiges, insécurité à la marche, étouffements, tremblements… La fatigue existe dès le matin et n’est pas améliorée par le repos qui peut même l’aggraver. Il a des troubles du sommeil : parfois hypersomnie-refuge, plus souvent sommeil irrégulier, non réparateur, agité de rêves pénibles et de cauchemars. Des troubles de l’appétit (anorexie ou boulimie) et de la sexualité : surtout inhibition. Comme si toutes les fonctions du corps se trouvent

personnel peut se sentir abandonné d’un point de vue institutionnels. La fatigue compassionnelle peut alors se rapprocher du burnout selon sa symptomatologie psycho comportemental (épuisement résistant au repos, troubles du sommeil (insomnie ou hypersomnie), maux de tête et de dos, tensions musculaires, troubles gastro-intestinaux, fuite dans le travail, achats compulsifs, boulimie...), absentéisme, irritabilité, mise à distance (physique et symbolique) des patients, difficultés) Quand c’est

habituellement gratifiantes. -Modification involontaire du poids : prise ou perte de 5 % ou plus du poids habituel en un mois. Éventuellement, modification récente de l'appétit -Troubles du sommeil : diminution (insomnie) ou augmentation (hypersomnie) du temps de sommeil -Troubles de la concentration ou du processus de prise de décision -Troubles du comportement : agitation ou ralentissement (bradypsychie) rapportée par l'entourage. -Asthénie : sensation de fatigue ou de diminution

(on parle d’ivresse du sommeil) et la sensation d’avoir toujours sommeil au cours de la journée. Les siestes, souvent longues, n’apportent pas la sensation d’être restauré, avec parfois même l’impression que plus on dort, plus on a sommeil. Cette hypersomnie est souvent familiale, sans pour autant qu’on ait pu mettre en évidence une transmission génétique. Curieusement, chez ces personnes, alors que le sommeil est vécu comme non récupérateur, le sommeil lent profond est souvent augmenté. Tout comme

sentir déprimé après un évènement grave, tel qu'un deuil. Mais parfois, un véritable mal-être plus durable s'installe. Symptômes : * Trouble du sommeil, se manifestant par une insomnie (difficulté d'endormissement, réveil nocturne) ou une hypersomnie (envie fréquente de dormir, volonté consciente ou inconsciente de trouver refuge dans le sommeil). * Sensation de fatigue, de perte d’énergie. * Indécision face aux choix les plus simples. * Humeur triste et mélancolique, exprimée