Hyperpuissance

leur territoire. Prestation de serment de Barack Obama, le 20 janvier 2009, qui devient le 44e président des États-Unis. Depuis la fin de la Guerre froide et le démantèlement de l'Union soviétique en 1989-1991, les États-Unis sont la seule hyperpuissance dans le monde. Le pays s'engage dans les relations diplomatiques au Proche-Orient, et participe à la Guerre du Golfe (1990-1991). La présidence de Bill Clinton (1993-2001) sera marquée par les guerres de Yougoslavie, par l'affaire Monica Lewinsky

l’Administration Bush n’a fait qu’accentuer cette volonté, de la part de l’auteur, d’encourager le « Taming of American Power », c'est-à-dire l’apprivoisement progressif de la superpuissance américaine par les acteurs internationaux. En effet, cette hyperpuissance se vérifie par un nombre important d’exemples comme le non respect des traités internationaux de la part des Etats Unis, la guerre en Irak, le développement de cette doctrine de « preemption » (en français « anticipation ») qui traduit ce qui

Russie - Eu : (1947 - 1989) début guerre froide. Relation difficile, le monde est caractérisé par cette opposition. 89-91, l’Amérique gagne et cela oblige la Russie à avoir de bonnes relations avec les Etats Unis. Désormais il n’y a plus qu’une hyperpuissance américaine jusqu’au 11 septembre 2001 => 1er évènement qui remet en cause la superpuissance. Boris Eltsine assure la transition entre le communisme et le capitalisme de la Russie. Il se rend compte de l’obligation d’accepter cette domination

ailleurs entre les deux blocs opposés dans l’opposition à la France, au Royaume-Uni et à Israël dans la Crise de Suez. Cette courte entente marquera d’une part la fin de l’époque coloniale, et d’autre part l’avènement des Etats-Unis comme seule hyperpuissance du bloc Ouest. Cependant, après ces quelques embellies, le Moyen-Orient redevient le terrain glissant qu’il avait longtemps été pour les deux Supergrands. Bien qu’Israël soit toujours un allié solide des Etats-Unis, des tensions se créent dans

l’équilibre entre les deux blocs. Dotés de la puissance militaire, de la puissance économique, de la capacité à produire et à diffuser de l’information en direction de l’opinion mondiale, les Etats-Unis font effectivement figure d’hyperpuissance. A. Hyperpuissance américaine et projet d’une pax americana : La conjoncture internationale nouvelle conjuguée à cette position hégémonique est l’occasion pour l’Amérique d’imposer au monde un projet d’ordre international fondé sur les valeurs essentielles et

s’expliquer par cet ensemble massif que constituent les Etats-Unis, comme le souligne Bruce CUMINGS de l’Univ. Of Chicago in“the American ascendancy: imposing a New World order”, The Nation, New York, 8 mai 2000 repris et traduit dans Les Etats-Unis hyperpuissance, Dir. O.Frayssé, (Problèmes politiques et sociaux- Dossiers d’actualité mondiale), N° 846, , La Documentation Française, 20 octobre 2000 Paris (p.12) . 20 19 L’américanisation de Pierre Bourdieu, sociologue de l’éducation et le sens éthique

acte juridique prend une dimension diplomatiquement polémique car par son caractère extraterritorial, il est vu comme une ingérence juridique menaçant la souveraineté des autres états[51]. La France n’apprécie guère ce débordement moral de l’« hyperpuissance »[52] américaine. Mais la réaction française[53] se révèle parfois contradictoire car, par exemple, ses grandes entreprises occupent des places très privilégiées dans certains pays confrontés aux embargos unilatéraux américains tels que Cuba[54]

saoudite et les pétromonarchies, Israël, la Turquie, la Jordanie, l’Égypte. Des pays occidentaux, africains et asiatiques complètent cette coalition de 27 États. L’image de Georges Bush, relayée par les médias, contribue à donner l’image d’une hyperpuissance américaine. c. Quelle est la position du père de Riad Sattouf face à l’action des États-Unis et quelle conséquence a-t-elle ? Le père de Riad Sattouf prend parti pour Saddam Hussein, au nom du nationalisme arabe et de la défense du monde

aux mêmes «clubs». Aujourd’hui, même si certains de ces clubs existent toujours formellement, les bénéfices attachés au statut de membre de ceux-ci ont été considérablement réduits. Les Français sont au demeurant bien placés pour savoir que l’«hyperpuissance» américaine forme un club à elle toute seule – n’est-ce pas l’un d’entre eux, Hubert Védrine, qui a inventé l’expression? – un fait destiné à transformer profondément la relation avec ses partenaires par rapport à ce qu’elle était dans les dernières

lesquelles il n'y avait rien. L'Amérique est au contraire une puissance globale, multidimensionnelle, ce qui fera dire à Hubert Védrine (ministre français des affaires étrangères de 1997 à 2002), après la fin de la guerre froide qu'elle est une hyperpuissance. ,. A) Les facteurs de la puissance La puissance globale, caractéristique d'une superpuissance, repose sur l'alliance de la puissance économique (les bases de la puissance : sans richesses la force militaire ne peut être maintenue)