Humanité

l’activité intellectuelle (il est réservé aux esclaves), il correspond donc, au sein de la civilisation judéo-chrétienne, à une malédiction divine. b. Le travail comme marque de l'humanité N'est-ce pas par l'effort même que l'homme peut construire son humanité ? Par le travail, nous nous confrontons à la nécessité du réel et nous construisons une activité intelligente pour dominer en partie la nature (dont nous faisons partie) et la spiritualiser. Kant, dans les Propos de pédagogie (ou Réflexions sur

dans la mesure où ces actes sont présents à la conscience, où ils sont éclairés par cette "chose" Le sentiment de soi n'est pas la conscience de soi. Je vis, et cette conscience d'être vivant est le premier savoir irréfutable qui caractérise mon humanité et me rend présent à moi-même et au monde. La conscience me distingue de l'animal qui peut posséder un certain sentiment de soi, de son environnement , mais n'a conscience ni de son passé ni de son avenir. La conscience est la source de toute interrogation

un être qui vit dans une société politiquement organisée. Et si le bonheur consiste justement pour l’être humain dans la pleine réalisation de son humanité, l’Etat est bien ce grâce à quoi l’homme peut trouver le bonheur. Le bonheur est alors l’affaire de l’Etat : il assure que chacun, en participant à la vie de la cité, réalise en même temps son humanité et accède au bonheur. C. La soumission avantageuse L’Etat est l’autorité politique souveraine qui s’exerce sur une population et un

thèse : Le théâtre offre une image fidèle de la vie de tous les jours. Formulation de la problématique : Dans quelle mesure cet art de la représentation peut-il tout à la fois offrir une image fidèle de la vie et un tableau vraisemblable de notre humanité ? Plan retenu : j’ai délibérément choisi un plan dialectique, à votre niveau, c’est à mon sens plus simple que le plan critique PROPOSITION DE DISSERTATION Dans sa Poétique, Aristote définit le théâtre comme « mimesis », c'est-à-dire représentation

délibération, de la discussion en démocratie par exemple. L'idée est donc que le langage dépasse des préoccupations intéressées et utilitaires pour nous permettre de réaliser des fonctions essentielles à notre humanité.   Conclusion: Le langage n'est pas qu'un outil car c'est une fin en soi où notre humanité se réalise. 

de son environnement, aura finalement abouti à la bombe nucléaire, dans le droit fil des camps de la mort nazis. C’est l’ultime échelon de ce que l’homme peut faire de mal pour l’homme. Quand l’homme utilise ce pouvoir de destruction, il perd son humanité au sens strict du terme. L’homme se sent encore plus responsable de son environnement depuis cette catastrophe, et d’autres qui ont suivi comme Tchernobyl ou Fukushima. Il a pris la mesure de l’impact sur la nature, la santé de son prochain, la protection

du serpent -L'humilité du lion -L'animalerie du lion. Thème : loyauté,amitié Axe/hypothèse de lecture : Le lion, partagé entre animalité et loyauté--> humanité, souligne le retour d'Yvain dans le monde chevaleresque qu'il avait quitté suite à la liaison de Laudine. Plan : 1. symbolique du lion, du serpent et donc du choix d'Yvain. 2. humanité du lion, son aspect chevaleresque, la vassalité. 3. animalerie du lion, son aspect sauvage et non civilisé. 4. lien de l'animal et la situation d'Yvain 5

« il s’y retirait comme une marmotte » l.12, puis on dit qu’il reste dans son trou : « restait des journées sans bouger » l.13, « la faim ne le faisait même plus sortir » l.14, pour signifier qu’il hiberne pour oublier sa faim et qu’il abandonne son humanité. Il est un homme solitaire : « personne ne l’avait invité en ville » l.15. Enfin, on a de lui une description physique péjorative : « taille d’un enfant » l.26, « ratatiné » l.26, « desséché à la manière des oranges » l.26, qui est une métaphore

indigne de lui, elle finit par insinuer le doute sur sa véritable nature, Et si l'homme contenait en lui la possibilité de l'inhumain ? Faut-il comprendre par là que l'homme a de la bête en lui ? Peut-on penser ce monstre logique d'une inhumaine humanité ? Trop occupée à faire le compte des différences qui nous distinguent de l'animalité, la réflexion n'a-t-elle pas pris l'image idéalisée de l'homme pour l'homme réel ? [Partie I. L'inhumain et le crime contre l'humanité.] Alain Finkielkraut,

lieux de l’action nous plonge directement dans la pauvreté. Les personnages permettent à l’auteure de montrer les états d’esprit des gens du « quart monde » comme cette famille. La mère tient un discours très négatif. Elle ne croit plus en leur humanité, et dit par exemple « maintenant on est plus des gens »  (l.7) sans avoir de regrets. En effet, elle semble désarmée face à leur situation. La mère se comporte comme si elle n’était réellement plus une femme normale, on a l’impression qu’elle n’a