Horace Walpole

prisonnier Washington au Fort Necessity, mais le libéra après avoir obtenu des aveux qu’il récusa ensuite, prétextant avoir signé un papier en français, qu'il n’avait pas compris. La mort de Joseph de Jumonville fit scandale en France et l'Anglais Horace Walpole évoqua même « cette décharge tirée par un jeune Virginien dans les sous-bois américains [qui] mit le Monde en feu ». Établi en terrain inondable et trop faiblement défendu, Fort Necessity se révéla inutile : le 3 juillet, Washington dut se rendre

l'échange intellectuel, la requête ou le simple badinage. Œuvres caractéristiques : Correspondance (Mme de Sévigné, Voltaire, Flaubert, Van Gogh : Lettres à Théo). Épître : Lettre en vers portant à l'origine sur un sujet moral ou philosophique (Horace : Épître aux Pisons, Boileau) puis sur des sujets variés (Marot,Voltaire). Roman épistolaire : Il peut être constitué des lettres d'un seul personnage (Guilleragues : Lettres de la Religieuse portugaise), mais prend tout son sens lorsqu'il repose

mort en 1733. Les plus célèbres sont celui de madame de Tencin (Montesquieu, abbé de Saint-Pierre, Marivaux, Fontenelle, Marmontel), de madame du Deffand (Fontenelle, Montesquieu, Voltaire, d'Alembert), madame Geoffrin (Boucher, Vernet, Greuze, Horace Walpole, prince Stanislas Poniatowski), mademoiselle Julie de Lespinasse, madame Helvétius, du baron d'Holbach, de la duchesse de La Rochefoucauld apparaît comme le salon physiocratique (Quesnay, Mirabeau, Dupont de Neumours....etc), et dans les années

en Bourgogne et morte le 23 août 1780 à Paris, est une épistolière et salonnière française. Son oeuvre la plus connue : Correspondance complète de la Marquise Du Deffand avec ses amis le président Hénault, Montesquieu, d'Alembert, Voltaire, Horace Walpole Pierre Choderlos de Laclos Pierre Ambroise Choderlos de Laclos (Amiens, 18 octobre 1741 - Tarente, Italie, 5 septembre 1803) est un écrivain et officier militaire français. Son oeuvre la plus connue : Les Liaisons dangereuses (1782)

l'Angleterre le 4 janvier 1766. Thérèse le rejoindra plus tard. C'est à cette époque que circule dans les salons parisiens une fausse lettre du roi de Prusse adressée à Rousseau. Elle est bien tournée mais peu charitable à son égard. L'auteur est Horace Walpole, mais Rousseau l'attribue dans un premier temps à D'Alembert, puis soupçonne Hume de tremper dans le complot27. Hume a fréquenté à Paris les Encyclopédistes qui ont pu le mettre en garde contre Rousseau. Ce dernier, hypersensible et soupçonneux

août 1780 à Paris. C’était une épistolière et salonnière française. Son œuvre la plus connue : « Ses Correspondances » ou « Correspondance complète de la Marquise Du Deffand avec ses amis le président Hénault, Montesquieu, d'Alembert, Voltaire, Horace Walpole ». • Sir John Fielding John Fielding est né en 1721 et mort le 4 septembre 1780. C’était un célèbre romancier, dramaturge et poète britannique puis journaliste. Son œuvre la plus connue : « Aventures de Joseph Andrews » publiée

protégé par un oncle au service du roi, bénéficie du système académique, échoue quand il présente ses premières œuvres. Retour = produit pour les rois et les grands. Portraits : celui de Lavoisier (avec sa femme), gamme de couleur épurée. Serment des Horaces, 1784. Veut représenter le dévouement civique pour la patrie. Commande voulue par le pouvoir royal. Développement du théâtre. Art d’Etat, de propagande, qui a son ambiguïté. L’ETAT DES LUMIERES Lumières = projet réformateur de la société, qui doit

délibéré, sensible en Angleterre dès la seconde moitié du XVIIIe siècle, aussi bien dans les romans « noirs » anglais (de Horace Walpole, par exemple) que dans les architectures privées, est lié au culte anglais de l’irrégularité « pittoresque » (perceptible dans le jardin à l’anglaise) et à l’idée du « delight » (ce « sentiment de tranquillité ombragé d’horreur ». Cf. Horace Walpole (1717-1797), Strawberry Hill. Le grand romancier (auteur de romans noirs « gothiques ») avait fait aménager sa propriété

en soi un objet esthétique, il lui faut une légitimation extrinsèque pour le devenir.[…] Il ne s’agit donc plus de mobiliser une mémoire textuelle, mais encore de donner l’illusion d’un monde où la littérature devienne réalité. Ainsi, lorsque Horace Walpole cherche des modèles au jardin paysager, il propose le verger d’Alkinoos dans l’Odyssée, et le jardin d’Eden tel que MILTON le décrit dans Le paradis perdu. De façon significative, l’histoire même du jardin anglais s’inscrit en prenant des textes

1916 Ainsi se développe une architecture fantaisiste, plus souvent peinte que réalisée (excepté certains exemples célèbres tels que le château du Neuschwanstein de Louis II de Bavière, ou bien la Strawberry Hill House construite à Londres par Horace Walpole) ; on remarque un goût plus poussé pour le Moyen Âge tardif puisque le gothique n’apparaît qu’au xiie siècle : s’agissant de constructions plus impressionnantes que ce qui avait été créé auparavant, on devine un fantasme de gigantisme, de grandiose