Horace Walpole

antistrophes et épodes. On a la reprise d'une structure argumentative. CONCLUSION : Élégance et bonne facture du poème Reverdi d'une métaphore usée Reprise d'une structure argumentative avec une visée galante R. reprend le thème du Carpe Diem venu de Horace et allant tout à fait au goût antiquisant de la Pléiade

personnages qui ne sont pas conscients de soi-même, car ils sont sous effet de médicaments ce qui provoque ce discours incohérant - comique de situation sert également a la comédie comme divertissement. ex. Molière dans son oeuvre L école des femmes où Horace se confie Arnolphe en ne sachant pas qu il s adresse à son opposant dans la scène 4 de l acte 3 B) La comédie d intrigue - utilisation de procédés comiques comme par exemple le quiproquo ( un malentendu ) ex. L avare de Moliere dans la scène 5

personnages qui ne sont pas conscients de soi-même, car ils sont sous effet de médicaments ce qui provoque ce discours incohérent - comique de situation sert également a la comédie comme divertissement. ex. Molière dans son œuvre L école des femmes où Horace se confie Arnolphe en ne sachant pas qu il s adresse à son opposant dans la scène 4 de l acte 3 B) La comédie d intrigue - utilisation de procédés comiques comme par exemple le quiproquo ( un malentendu ) ex. L avare de Molière dans la scène 5

lire2. À l'inverse d'un traité en prose, qui réclamerait une rigueur sévère dans la construction, L'Art Poétique a les apparences d'un poème didactique mais n'a pas pour but d'enseigner à bien écrire3. Cette poétique, inspirée dans sa méthode par Horace et dans ses théories par Aristote, est surtout un poème satirique qui donne à son auteur l'espace nécessaire pour exposer ce qu'il juge bon ou mauvais2. Pour Boileau, le beau est une conséquence du vrai. Et c'est ce vrai fondamental que tout bon

bois ; il voulut même l'imiter, mais son bon goût l'arrêta : Il pensa me gâter, dit-il. Jean de la Fontaine A cette lecture il joignit celle de Rabelais et de Marot ; puis un de ses parents lui fit connaître quelques auteurs anciens, Térence, Horace, Quintilien, Plutarque et Platon ; ces deux derniers surtout étaient ses auteurs favoris. La littérature italienne était fort en vogue du temps de La Fontaine, il en prit aussi le goût : Elle le divertissait beaucoup, disait-il ; il avait une prédilection

mais aussi à la beauté de la femme. « ce matin » désigne le commencement du jour ou de la vie, parallèlement le soir est lié à la fin de journée mais aussi fin de la vie. b)Une leçon de vie: le carpe diem → Ronsard reprend l'idée du poète latin Horace, il propose une conception de la vie placée sous le signe de l'épicurisme ce qui veut dire profiter de la vie. Profiter de l'instant présent. Écho du carpe diem dans « cueillez, cueillez votre jeunesse » v16. → « Tandis que votre âge fleuronne »V14

vers 17 et 18 CONCLUSION : On a ici deux thèmes lyriques essentiels, l’amour mais aussi la tristesse du temps qui s’enfuit. Et Ronsard, l’humaniste, propose comme remède contre le temps, de profiter de chaque instant de la vie comme le faisais Horace.

livres, qui obtient immédiatement un succès considérable. Ce recueil s'inspire du genre antique de l'apologue, qui vise à instruire le public en le distrayant. La fable intitulée Le Savetier et le Financier (inspirée notamment du poète latin Horace) • appartient au deuxième recueil (qui comprend les livres VII à XI), édité en 1678-1679. Ce deuxième recueil se caractérise par une plus grande diversité dans l'inspiration, un travail plus complexe de la forme, une place plus grande accordée à la

Les odes  1. Les modèles d'Horace a) Horace est devenu poète lyrique par volonté plutôt que par vocation. Il lui fallait par conséquent des modèles. Or, il n'en pouvait trouver chez les Romains, dont le tempérament positif était peu fait pour ce genre de poésie. Horace s'adressa donc aux maîtres du lyrisme grec. b) Il n'osa pas rivaliser avec PINDARE : il laissa de côté le mètre du poète dorien et n'essaya pas de compositions aussi vastes que les "odes triomphales". Il se contenta de prendre parfois

sa chambre. Malgré les conseils de sagesse prodigués par Chrysalde, Arnolphe, plus que jamais déterminé dans ses projets, donne des instructions drastiques à ses serviteurs qui doivent refouler le jeune prétendant à coups de bâton. * Acte V - Horace rencontre à nouveau Arnolphe et lui explique qu'il est tombé dans le guet-apens tendu par les serviteurs d'Arnolphe, et qu'il n’a eu d’autre choix que de faire le mort pour éviter d'être roué de coups. Mais Agnès, qui l'a rejoint, s’est enfuie avec