Henri Sauvage

d' une réflexion personnelle qui touche à tous les domaines. Notre extrait est issu du premier livre des essais parus en 1580 dans lequel l'auteur s'interroge sur le regard que porte l'Europe sur les indigènes du Nouveau Monde qu'elle qualifie de sauvages ou de barbares, puisqu'ils ne partagent pas la même culture que les Européens. Or Montaigne va s'inscrire en faux par rapport à cette opinion . Àfin d'analyser la pensée de Montaigne sur le Nouveau Monde nous étudierons -dans un premier temps

l’inégalité parmi les hommes, J.-J. Rousseau, 1755 Argumentation directe : ce texte est extrait d’un essai à caractère philosophique. Rousseau est un des philosophes des Lumières, comme Voltaire et Diderot. Il développe dans cet essai le mythe du bon sauvage, à savoir qu’au début de l’humanité, l’homme était naturellement, foncièrement bon. Les vices sont apparus avec les premiers éléments de civilisation. Il oppose l’état de nature à l’apparition de la société. I. Le bonheur dans la société primitive

Las Casas devient de plus en plus émotif , il ne se maitrise pas , « colère,contrôle,point serré » Il cherche a restitué au indien toute leurs humanité . Il cherche a idéalisé les indiens en qui il chercherai un bon modèle selon le mythe du bon sauvage . Ce sont des êtres humains pleinement sensible ayant de l'amour et de la crainte ayant un meilleur humanité La thèse de Las Casas devient plus complexe à travers la métaphore , comparaison du miroir . Le débat se poursuit et l'accusé n'est plus

primautés du naturel, et fondamental ainsi dans le domaine de droit. Il existe un droit naturel considéré par bcp supérieur au droit divin, lui-même supérieur au droit positif (c’est le droit qui a été crée par l’être humain). -Le Mythe du Bon Sauvage : selon ce mythe l’Homme naturel est partout heureux ce qui n’est pas le cas pour l’Homme en société (Rousseau). L’Homme de l’état naturel selon bcp de philosophes vit dans un univers édénique il est heureux, il satisfait ses besoins des désirs

peut jouer avec différents rythmes, différentes densités, et diverses directions. Le bambou a la particularité de pouvoir aussi bien servir d’éléments porteurs que d’éléments secondaires. Le bambou, essence végétale rappelle la nature et le monde sauvage contrastant avec le contexte dans lequel le projet le confronte, un monde urbain et minéral. Le projet est parti de l’idée de construire une intériorité, origine de la forme avec une certaine compacité et densité du matériau, qui se disperserait

cause des préjugés ethnocentriques    - l’extrait commence par une assertion, puis énoncé de la thèse (= déf° de l’ethnocentrisme) (l 1) - « je trouve »  M s’implique ; avis personnel ; « nous » = européens / civilisés ; face à « ils » (les « sauvages ») - arg° directe : M expose directement ses idées (ex  ll 2-‘ : dvpt de la thèse), args (ll 4) et exs (not dernier § : ex dvpé). - suit une démarche déductive : commence par sa thèse et des idées d’ordre général (voir partie 2) avant d’en venir

intéressée & superstitieuse. Montaigne ne croit pas Immaculée conception. Pensée mouvante de Montaigne, peut se contredire. Essai non structuré. Grande présence locateur. Texte porte sur découverte des nouveaux mondes ( chapitre 3, 6 ) et des sauvages>> indiens d'Amérique.I) L'émerveillement face au nouveau mondeMontaigne décrit le nouveau monde comme un nourrisson : « mère nourrice » ( allégorie ); « si nouveau et si enfant qu'on lui apprend encore son a,b,c »; « tout nu au giron ». On

pays est à toi! et pourquoi? "Tu es le plus fort! Et qu'est ce que cela fait ?" réponse à la 2ème "Parce que tu y a mis les pieds? ---> mettre en avant l'argument de l'interlocuteur tout en le refusant. (Métonymie : pied ) II. Le mythe du bon sauvage en miroir - tahitiens : libre, innocent, pure, enfant de la nature, pacifiste, heureux ---> image utopique : pas de propriété, pas de hiérarchie, plus grande liberté sexuelle - opposition tu/nous ---> cohésion du groupe - 4 questions oratoires

Le mythe du bon sauvage Les grands voyages et les récits de ces voyages sont à l'origine du mythe du bon sauvage. Dès la fin du quinzième siècle, Christophe Colomb, en 1492, Vasco de Gama en 1497, Magellan, en 1519, Jacques cartier en 1534, avaient respectivement fait route vers l'Amérique, les Indes, le Canada. Leurs carnets de voyage nous révèlent l'existence d'autres peuples, d'autres coutumes, d'autres cultures, d'autres religions. L'Europe prend conscience qu'elle n'est plus seule au monde

l’état naturel, selon Rousseau, l’absence d’une conscience raisonnable chez l’homme apparaît justement comme le facteur de son innocente primitivité. En effet, l’homme sauvage de Rousseau n’a pas la possibilité d’abuser de ses facultés[5], n’en connaissant même pas l’intérêt, car il ne donne pas de valeur éthique à ses actes. Les Sauvages ne sont pas méchans précisément, parce qu’ils ne savent pas ce que c’est d’être bons[6]. Jamais l’homme ne sera plus apte à la paix qu’en l’état de nature. A ce propos