Harki

(colonisés/colonisateurs ; résistants/collaborateurs ; algériens/français). On peut même aller jusqu’à une logique victimaire : les Juifs s’identifient par rapport au génocide qu’ils ont subi lors de la seconde guerre mondiale, mais les Tziganes ou les harkis se sentent lésés par le manque de reconnaissance officielle. La mémoire nourrit donc le travail de l’historien, notamment dans le cas où des témoins vivent encore (sources orales). Il s’intéresse surtout aux mémoires collectives dont ils écrivent

Processus d’accession à l’indépendance des territoires colonisés. Pieds-noirs: Français qui vivent en Algérie ( domine l’Algérie et Algériens peu alphabétisés) Harkis: algériens qui se combattent au côté des Français INDÉPENDANCE DE L’ALGÉRIE: QUI S’OPPOSENT: Les Algériens, dont les nationalistes du FLN (Front Libération Nationale) et les harkis pro-français, au Français, dont les pieds-noirs et l’OAS (Organisation Armée Secrète) et général de Gaulle. DÉROULEMENT: 1954: la guerre commence en Algérie

se prononcer pour/contre maintien Algérie en France (ce n’est pas encore l’indépendance) De Gaulle n’aura pas d’autre choix que d’accorder indépendance (Accords Evian) Pieds Noirs chassés de l’Algérie et mal vus en métropole = « Arabes » Départ Harkis : soldats algériens ayant participé à l’armée Française Charles de Gaulle promet départ vers Marseille mais bloqués sur les quais mais une grande partie massacrée par Fellagha car « traîtres ». Ceux en France n’ont pas les mêmes indemnités que soldats

et retarde le démarrage de la croissance des 30 glorieuses. On compte alors 30 000 victimes françaises et 400 000 victimes algériennes ; 1 million pieds-noirs quittent l'Algérie pour la France où leur installation y est difficile, 10 000 à 150 000 harkis français musulmans ou algériens tués pendant la guerre ou après l'indépendance. La guerre d'Algérie est l'un des faits marquants de la décolonisation des colonies françaises d'Afrique. Le souvenir de la guerre se prolonge dans les mémoires conflictuelles

d’Algerie l’apres 1962 A- Un dénouement douloureux, le bilan humain 30 000 soldats pr la France et environ 300 000 civils + soldats cote algérien départ force des pieds noirs : massacre d’Oran et « valise ou cercueil » Sort indigne fait aux harkis 43 000 échappent et 50 a 100 000 morts, pour venir vivre ds les camps. B- Des effets politiques sur les deux bords de la méditerranée En France  c de gaulle qui en a tirer parti = arrive au pouvoir grâce a la crise algérienne = grande popularité

sont rejeter). B- Comment la guerre s’enlise-t-elle ? Engrenage de la violence/ 1955 : émeutes de Constantine(1300 morts) organisé par le FLN. La France réagit en envoyant des militaires, ( 7800 morts). FNL se lancer dans la chasse au traitre (Harkis, pieds noir, musulmans neutre)/ terreur, torture, interrogatoire et délation. La France va aller à la chasse au terroristes / même technique sanglante . La France arrête Ben Bella le 22 octobre 1956 . Les français trouvent que l’armée prend trop

quel qu’il soit aux règles civiles à la pers. qui souffrira, par ce manquement, d’un préjudice). Loi de janvier 2001 : Porte reconnaissance du génocide arménien (assortie d’aucune sanction). Loi de fév. 2005 : Prohibition des injures envers les Harkis (aucune sanction prévue par cette loi). Interrogation sur l’effectivité de ces règles car toute pers. qui contreviendrait à l’une de ces 2 lois serait producteur d’un manquement à un règlement mais n’encourrerait pour autant pas de sanction. En

300 000 à 500 000 personnes et le déplacement de 10 à 15 millions d'individus. C'est le résultat du retrait précipité de l'autorité britannique. De 1954 à 1962, la guerre d'Algérie a provoqué la mort de 200 000 à 400 000 personnes (soldats français, harkis, combattants du FLN, civils). Un million de rapatriés quittent définitivement l'Algérie pour la 879. Des nations traumatisées La décolonisation a durablement marqué les esprits. La guerre civile qui a accompagné la partition des Indes dégrade durablement

masculine. Elle a été complétée par une immigration féminine liée aux lois existantes sur le regroupement familial. À cette immigration économique s'ajoutent en 1961-1962, 91 000 musulmans pro-français réfugiés d'Algérie. Il s'agit principalement de harkis, mais aussi d'autres musulmans d'Algérie qui ont choisi de rester français, notamment de militaires de carrière (l'ancien secrétaire d'État Hamlaoui Mékachéra et l'ancien maire-adjoint de Strasbourg Aziz Meliani par exemple) ou de fonctionnaires,

=> refus mesures donc manif 17 oct 61 => 200 morts ACCORDS D’EVIAN (18 MARS 1962) -Fr d’Alg même statut que tout le monde mais pb sur retours massifs Fr - table rase du passé : ne tient pas compte engagements pol avant signature accords => harkis (considérés comme traitres donc tués malgré accords) Rapatriés d’Alg sont appelés Pieds-Noires. => bonne intégration car Fr en période croissance => construction quartiers qui leurs sont destinés PB MÉMOIRE MORTS ALGERIE + DATE COMMEMORATION