Harki

FLN refuse et l’OAS (organisation de l’armée secrète) mouvement clandestin et terroriste français refuse aussi 19 mars 1962 : accords Evian et la France reconnaît l’indépendance Algérie le 03 Juillet 1962 Conséquence Exode des pieds noirs Les Harkis victimes de représailles se réfugient en France Chap4 : Le monde depuis le tournant des années 1990 A.1989 : la fin du monde bipolaire Depuis 1946 le monde est bipolaire 2 blocs s’opposent dans la guerre froide : bloc Est communiste autour de

masculine. Elle a été complétée par une immigration féminine liée aux lois existantes sur le regroupement familial. À cette immigration économique s'ajoutent en 1961-1962, 91 000 musulmans pro-français réfugiés d'Algérie. Il s'agit principalement de harkis, mais aussi d'autres musulmans d'Algérie qui ont choisi de rester français, notamment de militaires de carrière (l'ancien secrétaire d'État Hamlaoui Mékachéra et l'ancien maire-adjoint de Strasbourg Aziz Meliani par exemple) ou de fonctionnaires,

de nombreux attentats en Algérie mais aussi en métropole. Le conflit algérien se déplace alors en France. L'opinion s'inquiète et réclame une solution rapide. Le 3 juillet 1963, l'Algérie obtient son indépendance. La douleur cependant continue. Les harkis (algériens qui ont aidés les français) sont massacrés. Les rapatriés (pieds-noirs) sont marqués et ont beaucoup de difficultés à s'intégrer en France. La guerre d'Algérie est encore tabou en France. Les rapports entre les deux pays sont toujours

avec Stora quand il dit que « ce n’est pas possible d’écrire une histoire objective car qu’il y a seulement beaucoup de histoires individuelles ». Le FLN raconte un histoire diffèrent au la gouvernement francais, qui raconte un histoire different aux harkis, qui raconte un histoire different aux civils etc… et de tous les individus au sein de ces groupes auront également différentes histoires. Une raison pour cela c'est la honte. la honte est la raison pour laquelle l'histoire française officielle de

l’indépendance devient inéluctable, de Gaulle, qui a changé d’avis, oriente peu à peu la politique française en ce sens, ce qui soulève l’incompréhension et la surprise des Français d’Algérie. L’armée française apparaît partiellement divisée. Le sort des harkis s’annonce inquiétant, car le FLN ne présente pas de véritables garanties, et les négociations avec ce parti sont complexes et tendues. La crise débouche sur le « Putsch » des généraux en 1961. De Gaulle rétablit l’ordre mais une partie de la contestation

pouvoir traiter les problèmes en donnant à chacun la même chose. Mais comme l’a souligné Nicolas Sarkozy, le modèle républicain n’interdit pas « de faire plus pour ceux qui partent de plus loin ». Il existe déjà des programmes d’action positive (harkis, femmes, handicapés, ZEP, ZUP, RMI …).Ils sont plus ou moins pertinents, hétérogènes, peu ou pas ou mal appliqués. Dans le cas des discriminations, le débat ne se situe pas entre immobilistes et volontaristes, mais entre volontaristes universalistes

commandos de troupes d'élite (parachutistes, légionnaires), goums marocains (jusqu'à leur dissolution en avril 1956), forces de maintien de l'ordre (gardes mobiles, Compagnie républicaine de sécurité (CRS)), appelés du contingent et supplétifs indigènes (harkis, moghaznis) aux groupes armés indépendantistes de l'Armée de libération nationale (ALN), branche armée du Front de libération nationale (FLN) d'encadrement politico-administratif (Conseil national de la révolution). Le conflit se double d'une guerre

du village – investissent la pharmacie, obligeant Younes et Germaine à soigner un blessé, à les héberger, à leur fournir des médicaments. Younes-Jonas s’exécute mais ne prend pas parti ni pour les fellaghas, ni contre eux. Arrêté ensuite par les harkis, il est emprisonné et torturé, mais n’avoue rien de ce qu’on attend de lui. Il est libéré par Pépé Rucillio, le père d’Isabelle, la haute autorité du village, qui veut le reconnaître comme Jonas et non comme Younes. La guerre, sous ses formes les

bien de s’inspirer s’agissant des relations franco-algériennes. Le rapport des sociétés à leur passé 15 15 © rue des écoles & Le Monde, 2014. Reproduction, diffusion et communication strictement interdites. LES ARTICLES DU L’ESSENTIEL DU COURS HARKIS Algériens servant comme auxiliaire dans l’armée française pendant la guerre d’Algérie. Victimes de représailles après l’indépendance, certains d’entre eux gagnent la France, où ils vivent dans des conditions très difficiles et demandent la reconnaissance

Montée du Four. Assistante Sociale - le 2ème et 4ème mardi du mois. de14 h à 17 h00 - Local Montée du Four. Association Solidarité Travailleurs Immigrés - le 1er jeudi du mois de 14 h 00 à 16 h - Local Montée du Four. Association Var Insertion Harkis (AVIH) - le 1er mercredi du mois Local Montée du Four.     Les Numéros Utiles Masseur - Kinésithérapeute : Monsieur VAILLEAU Alain : 04.94.40.60.37 Médecin : Docteur SAUTRON : 04.94.40.60.21 - médecin de Garde : numéro unique : 04.94.47.62