Harki

l’Algérie ?................................... Lexique EMC/Histoire : Qu’est-ce qu’un referendum ? ………………………………………………………………………………………. ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….. Q19_(vocabulaire p 119) Qu’est-ce qu’un harki ?.......................................................................…………………………… ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… Q20_(vocabulaire p 119)

généraux Accords d'Evian 16 mars 1962 et début de migrations des rapatriés et harkis. La décolonisation longtemps rejetée par la France va être douloureuse et se terminer par un réel échec avec la fin de la guerre d'Algérie. L'indépendance de l'Algérie a laissé des séquelles tant dans cette ancienne colonie qu'en France. Elle a été suivie de violence, de déplacements humains des pieds noirs, des Harkis. Mais la France avait elle une autre solution ? Quand aux autres colonies, la France

dramatiques et rendent illusoire toute cohabitation entre la communauté européenne et musulmane. D’où une fuite en masse des Européens vers la métropole. 700 000 Européens et Harkis (musulmans intégrés dans l’armée française) doivent alors quitter le pays pour la métropole. Le gouvernement français n’a pas voulu que les Harkis rejoignent la France. S’ils ont pu rejoindre la France, c’est le plus souvent de façon clandestine et ont été parqués pendant des années dans des camps. Beaucoup de ceux qui

l'immigration de travail en immigration de peuplement que la religion musulmane va devenir plus visible et les lieux de culte se multiplier. 4 millions de personnes de confession musulmane : étrangers ou Français (majoritaires) : harkis ou descendants de harkis, naturalisés ou nés français, auxquels s'ajoutent des convertis. Les sunnites en constituent l'écrasante majorité (95 %), mais au cours des dernières années, aux flux migratoires des anciennes colonies du continent africain se sont ajoutés

façon dure et homogène, autour de l’État, de l'armée et de la hiérarchie militaire ». D'après lui, ce rejet est du à la forte populations concerné par l'Algérie aujourd'hui en France. Selon ses calculs, entre les pieds noir, les anciens soldats, les harkis, les « porteurs de valises », les immigrés algériens et tout leur descendant il serait environ 6 à7 million en France, soit 10% de la population française. On peut ajouter à cette raison le fait que les autorités française ont acceptés voir même

civile aussi , beaucoup d'algérien se sont fait tuer , persécutés par les français. C'est aussi une guerre d'attentats (FLN et OAS). Le bilan est catastrophique : 400000 a 1 millions de mort d'Algérien musulman , 4000 mort et disparu européen et 150000 harkis tués. Q9:Quel sont les différentes forme de violence dont la guerre d’Algérie a été le théâtre Il y a eu plusieurs type de violence : -Exécution -Assassinat -Attentat -des persécutions multiples et varié Q10:Se sont elles déroulées seulement

commandos de troupes d'élite (parachutistes, légionnaires), goums marocains (jusqu'à leur dissolution en avril 1956), forces de maintien de l'ordre (gardes mobiles, Compagnie républicaine de sécurité (CRS)), appelés du contingent et supplétifs indigènes (harkis, moghaznis), aux groupes armés indépendantistes de l'Armée de libération nationale (ALN), branche armée du Front de libération nationale (FLN) d'encadrement politico-administratif (Conseil national de la révolution). Le conflit se double d'une

débouche, après les accords d'Évian du 18 mars 1962, sur l'indépendance de l'Algérie le 5 juillet suivant, et précipite l'exode des habitants d'origine européenne, dits Pieds-Noirs et des juifs, ainsi que le massacrede plusieurs dizaines de milliers de harkis.

reconnaître le bien-fondé de la douleur des survivants ou des descendants des victimes face à la négation ou, inversement, à l’apologie de ces faits. Sont concernés les Arméniens, les habitants de l’outre-mer, les anciens colonisés, les rapatriés et les harkis. Une application au pied de la lettre, de la loi du 23 février 2005, met d’ailleurs en concurrence, en tant que victimes, les anciens colons rapatriés et les anciens colonisés et leurs descendants. Et suscite ainsi sans le vouloir une guerre des mémoires

français et son ministre de l’intérieur, François Mitterrand, décident de réagir à la guerre par la guerre. Plusieurs unités seront alors mêlées au conflit qui l’oppose au FLN et à l’ALN : groupements parachutistes du général Massu, soldats français, harkis (contingents supplétifs algériens), CRS (Compagnies Républicaines de Sécurité), DST (Direction des Services Territoriaux)… On parle alors d’engrenage de la violence car les deux forces en présence répondent chacune à la violence de l’autre. A l’intérieur