Grégoire

renouveau de son règne. 80 ans après le baptême, l'évêque fait part d'une version idéalisé du baptême mettant en // le baptême de Clovis et celui de l'Empereur Constantin. Grégoire de Tours aurait repris un récit de St-Sylvestre au Ve siècle. Il était écrit que Sylvestre aurait dit à Constantin de déposer son diadème d'Empereur. Ici, Grégoire de Tours fait dire à l'évêque Rémi qu Clovis doit déposer ses colliers de Roi avant d'être baptisé. 2- L'association des Clers au gouvernement du roi ( Clovis et

abusé de la République (l.1-l.4 – l.9-l.15) Tout d'abord une critique de l'homme et de sa prise de pouvoir. En effet Napoléon apparaît dans le texte de l’abbé Grégoire comme un usurpateur. Il est dit qu’il se fait passer pour un héros national grâce à ses victoires lors de guerres. or il se trouve que Napoléon, selon l'abbé Grégoire, « s'est approprié les victoires de ses compagnons d'armes » en effet il ne s'est remarqué, en temps que soldat que durant les campagnes d’Italie (1796-1797). D’ailleurs

COMMENTAIRE DU TEXTE DE GREGOIRE DE TOURS, extrait d' HISTOIRE DE CLOVIS, in HISTOIRE DES FRANCS, II, CHAPITRE XL Grégoire de Tours (538-594), fin lettré et habile politique, est nommé évêque de Tours en 573. Fortement préoccupé de la propagation de la foi chrétienne, il est aussi le premier historien des rois de la dynastie des Mérovingiens. Témoin des faits de son temps, il est un chroniqueur très partial, manquant parfois singulièrement de sens critique. Malgré ses inexactitudes et ses partis

met fin à son exil en France, à cette « captivité de Babylone » et retrouve le siège romain avec le pontificat de Grégoire XI, nommé à Avignon en 1376 et entrant dans Rome en 1377. Le refus des avignonais de céder face à Rome sera la cause du Grand Schisme qui divisera la Papauté durant quelques quarante années.  L'origine du Grand Schisme se situe en 1378, après la mort de Grégoire XI, année funeste pour l’Eglise qui est confrontée à l'élection quasi-simultanée de deux Papes, qui reflète, outre

(séculier et régulier) assurent le salut de la société. En contrepartie, les laïques leur doivent protection et subsistance ; impôts instauré -> dîme (qui représente 1/10ème des récoltes) L’Eglise est dirigée par le pape depuis Rome ; XIIème siècle, Grégoire VII qui lance la réforme grégorienne pour corriger les abus de l’Eglise ( le nicolaïsme, fait de ne pas respecter le célibat ; lutter contre le concubinage ou le mariage des prêtres ; et la simonie, fait de vendre des sacrements, d’acheter sa change

et bien un coup de force qui est effectué. Son successeur, Nicolas II, fera droit en énonçant juridiquement l’élection du pape par les cardinaux et il s’attaque alors à l’investiture laïque. Ce césaropapisme se heurtera alors au papocésarisme de Grégoire VII. B)La crise des Investitures ou le « discordat » (Clémenceau) entre les pouvoirs : J. Picq est passé rapidement sur la querelle des investitures qui nécessiterait pourtant une approche un peu plus approfondie et nuancée ; querelle entre la

siècle, l’Europe perd son unité politique à la suite du démembrement de l’empire de Charlemagne. Néanmoins elle trouve une unité religieuse, la plupart des peuples se convertissant à l’Evangile. Fort de cet engouement, le pape Urbain II (successeur de Grégoire VII, il est sacré le 12 mars 1088 et meurt en 1099) décide de réunir un concile à Clermont en 1095. Un concile est une assemblée d’évêque généralement constituée pour statuer sur des questions de foi ou de discipline. Notre document, texte tiré et

poursuit sous celui de Grégoire VII. Grégoire VII, pape entre 1073-1085, est l’un des souverains pontifes les plus importants de l’histoire. Il succède à Alexandre II en 1073. Il entame dès lors une réforme essentielle nommée réforme grégorienne. La priorité est donnée au rétablissement d’une vie digne dans le Clergé. Il prend ainsi des mesures contre le nicolaïsme et la simonie. Les oppositions à l’institution, les croyances jugées hérétiques, sont réprimées. Grégoire VII interdit également

essentiellement representeé par le chant grégorien que l’on pouvait entendre dans les eglise ou les monastere. Le chant gregorien est un chant religieux dont les origines remontent à l’epoque du chritianisme. Il fut imposé à toute la chrétienté par le pape Gregoire le grand d’où son nom ! Il est à l’origine de toute la musique occidentale. La musique profane : La musique profane est destinée aux seigneur,peuplé, et interpretée dans les château et village à l’occasion des fète et divertissement (chansons

construite au-dessus (Colle del Paradiso) entre 1230 et 1253, dans le style gothique. Le campanile est de style roman. Les deux églises réunies sous le même nom de basilique sont inscrites depuis 2000 au Patrimoine mondial de l'UNESCO. En 1228, Grégoire IX est à Assise et procède à la canonisation de saint François en l'église Saint-Georges, où repose son corps. À la demande du pape, le frère Élie de Cortone, ministre général de l'Ordre franciscain de 1232 à 1239, entreprend bientôt la construction