Grands Magasins Zola

« POLINKA » p 162-166 I Un récit réalisme cadre spatiotemporel réaliste et précis; « deux heures de l'après-midi » /L1/ a) Une mercerie importante, un grand magasin: Lieux: « St Petersbourg » Russie (para texte), dans un magasin le nom est précisé « Aux Nouveautés de Paris » « La vente bat sont plein » __ Il y a beaucoup de monde dans ce magasin prospère (rentable/ les propriétaires gagnent beaucoup d'argent). Dans un passage On perçoit des bourdonnements monotones des vendeurs, les rires des

Private Equity en 2005, de Un Jour Ailleurs par Atria Capital Partenaires en 2006… Les majors internationaux : Spécialistes du prêt-à-porter avec une stratégie d’internationalisation  Volumes de vente élevés ;  Concept exprimé sous la forme de grandes surfaces de ventes, voire de mégastores ;  Stratégie multiformat. Exemples : H&M, C&A, Benetton… Les développeurs multi-enseignes : Tendance du secteur  Optimisation de toute la chaîne de valeur, et notamment les moyens immobiliers, logistiques

exportations étaient de 2,2 milliards d’euros et les importations étaient de 3,5 milliards d’euros. La consommation des 13 ans et plus atteignait 12,6 milliards d’euros. Les chaines de grande distribution présentent le meilleur bilan fin Mars 2005 : 4,1% par rapport à janvier - février 2004. En seconde place, les grands magasins affichent une croissance de 1,4%. Les résultats des autres circuits sont compris entre +0,2% et +4,3%. De ces graphiques, nous pouvons conclure que la consommation du prêt à

Dr Hauschka a réalisé un chiffre d’affaire des 75 millions d'euros en 2006 avec une croissance à deux chiffres. De nombreuses marques et distributeurs spécialisés apparaissent tandis que la grande distribution et les grands magasins s’y mettent. ➢ Ainsi, au Printemps Haussmann, l'espace du grand magasin qui regroupe toutes les marques de beauté bio est celui qui compte actuellement le plus fort chiffre d’affaires au m2. Bien que les cosmétiques bio ne représentent que 7,5% du secteur, le potentiel

Les produits de beauté et de soin « mass market » de gammes basiques sont les plus touchés. Seuls progressent les produits ciblés à forte valeur ajoutée et déclinés dans des marques de luxe. La production de parfums, notamment celle associée à des grandes marques de luxe, progresse tout au long de l’année 2008. Un site nous dévoile les produits disponibles : -parfums féminins -parfums masculins -lotions corporels -essences Mais existe aussi des parfums sous forme de parfums d'ambiance. Le secteur des

la mort de ses parents, elle arrive à Paris avec ses deux frères. Elle admire les richesses d'un grand magasin, « Au Bonheur des Dames », mais elle se rend chez son oncle Baudu qui tient une petite boutique de tissus qui se trouve sévèrement concurrencé par Octave Mouret, le directeur de l'immense magasin. On découvre progressivement la vie du grand magasin dont le sort repose sur quelques grands produits d'appel comme un tissu de soie, le «Paris-Bonheur», vendu à perte. Beaucoup de vendeurs

fondent une mercerie baptisée ‘’ Aux Galeries Lafayette’’ et crée six ans plus tard la Société Anonyme du même nom. Ils inaugurent en 1912, le premier grand magasin situé au boulevard Hausmann, devenu le siège social. Le groupe Galeries Lafayette réalise un C.A. annuel de 4,958 milliards d’euros en 2007. Il possède 4 divisions : Les grands magasins (Galeries Lafayette – Bhv), les city marchés (Monoprix), le crédit et services financiers (Laser-Cofinoga) et l’horlogerie (Louis Pion-Royal Quartz).

a enfin retrouvé des couleurs. Car Après avoir stagné en 2008 et reculé de 1% en 2009, les ventes ont progressé de 3% en 2010 et atteint 2,84 milliards d'euros .De plus, La beauté est le 4e secteur de l'économie française entres autres grâce à de grandes entreprises comme l’Oréal, avec un chiffre d’affaire de 17,5 milliards d’euros en 2008, qui est de par ce chiffre le premier groupe mondial de cosmétique. Mais aussi de par son solde commercial (balance entre exportations et importations), effectivement

boutiques de passage. Les journaux de l'époque signalent que les " plus hautes sommités " de la noblesse, de la finance, de l'administration se donnaient rendez vous dans les beaux salons de " La ville de Paris", le plus grand des magasins de nouveautés. Quant aux grands magasins proprement dits, ils allaient, dans la seconde moitié du XIX eme siècle œuvrer à l'élargissement des consommations bourgeoises et petites bourgeoises. Ils ne s'ouvriront que lentement et avec réticence aux clientèles populaires

distribution : 1850-1950 : les premiers pas En 1852, Aristide Boucicaut invente le grand magasin : grande surface, assortiment large, prix bas, libre accès des consommateurs aux produits. C’est la première forme réelle de distribution de masse. 1866-1920 : le commerce s’organise : succursalisme, coopérative, groupement de commerçants. La crise de 1929 a un impact direct sur les grands magasins et on voit apparaitre les magasins populaires (Prisunic = Monoprix) ; concept de vente de masse à bas prix adaptés