Grandeur Déchue

plaire à la cour Nicolas Faret (1630). XVIIe siècle : dvpmt de la vie mondaine. Plaire : objets de ttes les actions de l’honnête homme. Valeurs morales pour valeur sociale. A l’h idéal correspond une société idéale. => s’inscrit dans l’équilibre. Grandeur de l’âme humaine consiste à savoir s’y tenir et non à chercher l’exceptionnel. => être honnête homme : s’en tenir à l’humanité. Eviter de se signaler en faisant trop paraître différences individuelles qui tiennent à la culture, compétence, métier

Lexique de la lumière et du rayonnement = immense et puissant comme si au-dessus de tout "éblouissant, soleil". Emploi du passé simple et de l'imparfait pour montrer l'appartenance au passé. B) Pour jeter l'opprobre sur la noblesse • Les nobles sont déchus. Ils sont nommés par "vous", sont qualifiés de "nains difformes" qui montrent la dégénérescence, la petitesse de la noblesse. L'utilisation des superlatifs "les bons font place aux mauvais" montrent qu'ils sont indignes de leur ancien empereur (toute

physiologique et, plus précisément, qu'il venait de la bile noire sécrétée par la rate. Le mot Spleen traduit donc chez Baudelaire l'ennui et le dégoût généralisé de la vie. Le mal fait référence à quatre types de mal :     - mal social (être déchu)     - mal moral (goût pour le crime et le sadisme)     - mal physique     - mal métaphysique (âme angoissé car il ne croit pas en Dieu) Oxymore : Fleurs/mal Structure : Les Fleurs du mal est composée de six sections et d'un poème préliminaire

force. Même si des hommes avaient connaissance de la vraie justice, ils ne pourraient pas la faire respecter car « la justice sans force est contredite, parce qu’il y a toujours des méchants ». VI. Grandeur (fr. 96-109) La conscience que l’homme a de sa condition* misérable est une preuve de sa grandeur, qui est tout entière dans sa pensée. Nous ne pouvons pas tout connaître par la raison mais le coeur nous révèle les premiers principes* grâce auxquels nous pouvons raisonner : espace, temps, mouvement

espagnols introduisaient l'esclavage dans l'Amérique centrale, ils n'accomplissaient pas leur devoir d'hommes de race supérieure. (Très bien ! très bien !) Mais, de nos jours, je soutiens que les nations européennes s'acquit­tent avec largeur, avec grandeur et honnêteté, de ce devoir supérieur de civilisation. M. Paul Bert. La France l'a toujours fait ! M. Jules Ferry. Est-ce que vous pouvez nier, est-ce que quelqu'un peut nier qu'il y a plus de justice, plus d'ordre matériel et moral, plus d'équité

Faute) dans lequel l'homme est innocent, heureux et jouit pleinement de son libre-arbitre ; l'état post-lapsaire (d'après la Faute) dans lequel la volonté humaine est impuissante (vouloir et ne pas pouvoir) et sous l'emprise des passions. L'homme déchu est dominé par la sensualité, la curiosité et l'orgueil (fr. 67, 72) et berné par ces « puissances trompeuses », que sont l'imagination, la coutume et l'amour-propre (fr. 23, 41). Depuis la Chute, le cœur humain est donc gravement perverti : Dieu avait

de la césure v6 v9 v10 L'oiseau au sol a déchu : il n'est plus dans son élément aérien « azur » il est ramené à la matérialité terrestre « planches » v5 il est prisonnier d'un espace fermé qui le nie, le pont, désigné par « planches » (matière) il est empêtré et disgracieux : comparaison « ailes » à « avirons » = mouvement entravé, équilibre précaire v8 il est rendu impuissant par ce qui faisait sa force, humilié par ce qui assurait sa grandeur v7 « ils laissent traîner » = découragement

pris dans un piège infernal : torture physique et morale : bec « brûlé » ; mimé = moquerie de son infirmité (exclamations) Action cruelle : stérile et gratuite ; oiseau persécuté devenu monstre. La déchéance de l’image de l’oiseau Image de l’ange déchu : devient victime ; adjectifs péjoratifs = « gauche », « maladroit », « veule » : opposition entre immensité et déchéance Roi de l’azur devient oiseau honteux : jeu d’opposition traduisant l’inadaptation presque tragique de l’oiseau, démuni, dépouillé

de l’Albatros. Annonce des mouvements du texte : Nous pouvons dégager 2 mouvements dans ce texte :les 3 premières strophes du poème comparent l’Albatros à un roi déchu et décrivent sa chute. Puis, la dernière strophe, à travers la figure de l’Albatros, montre la survie du poète dans la société. Mouvement n°1 : Chute du roi déchu Champ lexical du monde marin : hommes d’équipage (V1), albatros (V2), oiseaux des mers (V2), le navire ( V4),…… + rimes en mers ( V2 et 4) : mers/ amers : le poème

(invocation à Paris, capitale du mal) « Tu m’as donné ta boue et j’en ai fait de l’or » Commentons la valeur généralisante du singulier défini le : le mal qui embrasse ici toutes les formes de souffrance et de misère. Le mal social : les êtres déchus peuplent l’univers de Baudelaire Le mal moral : sadisme et goût du crime hantent les âmes Le mal physique : souffrance du corps et des nerfs du poète Le mal métaphysique : celui d’une âme angoissée par l’absence de Dieu, assaillie par le