Gosplan

| | | |* Le Plan est un texte, établi par le Gosplan (ministère du Plan) pour 5 ans, qui fixe les objectifs de production que chaque entreprise nationalisée | |(propriété de l ’État) doit obligatoirement atteindre.

) En 1936, durant le premier trimestre, la production n’a été que de 49,8% du chiffre prévu par le plan; durant le deuxième trimestre, de 32,8% et seulement de 26% pour le troisième. » Qu’est-ce que le Plan ? Le Plan est un texte, établi par le Gosplan (ministère du Plan) pour 5 ans, qui fixe les objectifs de production que chaque entreprise nationalisée (propriété de l ’État) doit obligatoirement atteindre. Mais les chiffres sont trop difficiles à atteindre. Donc il y a des sanctions pour les ouvriers

une main d’œuvre gratuite pour les grands chantiers staliniens (les canaux). Dès 1932, le passeport intérieur permet de contrôler les déplacements. 2. Industrialisation accélérée En 1929, Staline décide de l’étatisation complète de l’économie. Le gosplan, ministère de la planification, fixe des objectifs impératifs qui sont continuellement révisés à la hausse. Chaque usine doit relever des défis en utilisant l’émulation socialiste, aussi appelée le stakhanovisme. Les komsomols sont l'organisation

Mais les paysans fuient en masse vers les villes, où ils deviennent une main d’œuvre bon marché pour l’industrie. Cette même industrie va devenir l’un des principaux objectifs de Staline. A travers l’organisme chargé de la planification quinquennal (gosplan), il fixe les objectifs à atteindre : l’essor de l’industrie lourde, et des infrastructures. Il crée également de gigantesques combinats, qui gèrent les gisements de fer de l’Oural et des gisements de houille. Dans ces conditions et avec cette priorité

(coopérative → la terre appartient à la communauté du village) ← L'Etat dirige l'économie : Le plan quinquennal définit les grds objectifs (production, prix, salaire..). La direction du Parti décide du plan, du budget, de la politique étrangère.. Le Gosplan (Comité d’État au Plan) informe les autorités locales, les ent... des objectifs quantitatifs à atteindre. En l'absence de marché, les prix sont tjr fixés de manière administrative et ne reflète pas les coûts de production. ← Obj de puissance :

provient du marché et aussi en fonction de l’intérêt personnel. L’économie de marché s’oppose au modèle des économistes socialistes dans le modèle soviétique, la production et sa répartition était décidé par un organisme centralisé, le Gosplan et mis en œuvre par la planification. Le marché avait une place très réduite. Aujourd’hui le modèle économique de marché s’impose à presque tout les pays du monde, l’économie y est relativement libre, les producteurs peuvent produire et vendre

organisation. L’idéologie marxiste-léniniste du régime est héritée de la révolution bolchévique de 1917: une société communiste (sans classe) où le rôle central revient au Parti Communiste de l’Union Soviétique (PCUS). L’économie est planifiée par le Gosplan, un organisme qui détermine les priorités et la direction générale de la production économique. Les moyens de production sont massivement collectivisés (on a supprimé la propriété privée, ils appartiennent à la communauté). Des kolkhozes (exploitations

résolument axé sur la préparation d’une guerre. Chaque régime contrôle donc l’économie, mais à des degrés variés. L’URSS collectivise et nationalise : l’élaboration et le suivi des plans quinquennaux est assurée par un organisme d’État, le Gosplan. Allemagne et Italie établissent plutôt des accords avec les industriels. Le secteur privé subsiste ainsi aux côtés d’entreprises publiques comme Volkswagen : financée par l’État, elle doit fournir à chaque foyer allemand une voiture bon marché

libéraux, donc partisans du laisser-faire et du non interventionnisme étatique, sont contre la réglementation des marchés financiers, car pour eux, elle serait néfaste à la croissance, créerait un aléa moral, aurait un coût excessif, serait synonyme de Gosplan, et l’autorégulation lui serait supérieure. Cependant, et puisque nous venons de démontrer les failles du système libéral, nous pouvons citer quelques arguments qui vont à l’encontre de ces pensées. En effet, si l’encadrement de la finance peut limiter

purges du Parti ne constituent qu’une très faible part de la répression : selon les calculs de Nicolas Werth, celle-ci toucherait à 94 % des non-communistes. La Terreur n’épargne en effet aucun organisme : des coupes claires frappent ministères, Gosplan, Komintern, Armée rouge et même les gardes et les chefs du Goulag[14], ainsi que les policiers du NKVD. Les purgés sont remplacés par une nouvelle génération de cadres qui voue à Staline un culte sans réserves : les jeunes promus de la « génération