Gorge profonde

travaillent, et que ses conséquences sont moins onéreuses qu’un blindage, il peut être légitime d’en prendre le risque. Tel est le cas de fouilles ne dépassant pas 1,30 m de profondeur dans lesquelles doit descendre un ouvrier, ou de fouilles plus profondes travaillées mécaniquement. Toutefois une absence de blindage doit être considérée comme malfaçon si elle entraîne des risques certains d’éboulement, dommageables pour l’ouvrage à construire. Exemple 4 : dans un immeuble en béton armé récemment

particulièrement Hong Kong, Taiwan, Vietnam, Cambodge, Singapour, Malaisie, Corée du Sud. Pour les soutiens-gorge, les tailles sont généralement plus petites qu’en Europe, les gouts sont différents également pour plusieurs raisons notamment la mode et la culture. Elles aiment les couleurs pastel. La bretelle des soutiens gorge doit être transparente et on en doit pas voir le soutien gorge. Notre produit doit être différent, plaire à la cible en vue, c'est-à-dire la classe moyenne qui représente généralement

Il y’a des soirs, comme celui ou tard la nuit, j’ai la gorge nouée… Les larmes me remontent aux yeux…Elles me brulent les yeux… Elles me resserrent encore plus la gorge… Elles compriment ma poitrine… Elles compriment mon cœur… Elles donnent à ma bouche un goût amer… Elles assèchent ma bouche… Ma langue colle à mon palais… Ces nuits là, les souvenirs refoulent mes derniers remparts… Ils lézardent ma carapace… je prends ma cigarette… je soupire… j’échange un regard désormais familier… et je l’allume

A la pâle clarté des lampes languissantes, Sur de profonds coussins tout imprégnés d'odeur Hippolyte rêvait aux caresses puissantes Qui levaient le rideau de sa jeune candeur. Elle cherchait, d'un oeil troublé par la tempête, De sa naïveté le ciel déjà lointain, Ainsi qu'un voyageur qui retourne la tête Vers les horizons bleus dépassés le matin. De ses yeux amortis les paresseuses larmes, L'air brisé, la stupeur, la morne volupté, Ses bras vaincus, jetés comme de vaines armes, Tout servait

7° Du Bellay : L’olive «  Déjà la nuit en son parc » 1550 Déjà la nuit en son parc amassait Un grand troupeau d'étoiles vagabondes, Et pour entrer aux cavernes profondes, Fuyant le jour, ses noirs chevaux chassait ; Déjà le ciel aux Indes rougissait, Et l'aube encor de ses tresses tant blondes Faisant grêler mille perlettes rondes, De ses trésors les prés enrichissait : Quand d'occident, comme une étoile vive, Je vis sortir dessus ta verte rive, O fleuve mien ! une Nymphe en riant

Du cristal lumineux, ta gorge souveraine ;Cette gorge et ce front, ces cheveux, cette lèvre Cueille-les dès avant que ce qui fut hier

j’ai conduit très longtemps, faisant des kilomètres sur cette terre inhabitée, dépeuplée, désolée sans jamais trouver un signe de vie. Au bout de plusieurs heures de marche au milieu de cet immense désert, je commençais à me déshydrater. J'avais la gorge terriblement sèche, je mourais de soif. Je grattais le sol desséché et aride en espérant trouver une source d'eau. Je me suis assis sur le sable brûlant, mon visage suait à grosses gouttes à cause de la chaleur insoutenable qu'il y avait. Je regardais

différentes figures de style. Par ses métaphores : comme « ces réliques sacrées » (l14) Par ses comparaisons : à la ligne 23 « comme un plongeur dans une mer profonde » ou encore « je songeais comme la femme oublie » à la ligne 7. Il y a aussi l'anaphore à la ligne 34-35 « pourquoi, grand Dieu ! Mentir à sa pensée ? Pourquoi ces pleurs, cette gorge oppressée, » et la répétition à la ligne 42 « Partez, partez, et dans ce cœur de glace » et à la ligne 46 « partez, partez !La nature immortelle » Il y

place de l’autre sans renier ses racines. Quittant la neutralité suisse où elle s’était momentanément abritée, elle devient membre de la Résistance française pendant la guerre : Clara est une femme qui s’engage. courage et élégance morale. Sa profonde humanité repose sur une grande capacité à l’empathie, qui lui permet de Le père d’Ossyane Fier de ses origines aristocratiques (« prince, petit-fils de souverain, descendant des grands conquérants », p. 56), c’est « un esprit rebelle […] profondément

boit jamais plus d’un verre pendant les repas. Audrey l’avait suivie et lorsque la 3ème bouteille de vin fut vidée, elle réclama un digestif. Les 45° de la liqueur de framboise ne semblaient pas l’effrayer. Comme Juliette hésitait, Audrey but une gorgée, avança ses lèvres vers elle et déposa le liquide alcoolisé dans la bouche de ma compagne. Elle recommença l’opération plusieurs fois, accompagnant la transmission du liquide par sa langue qui venait envahir la bouche de Juliette. J’engloutissais