Gorge profonde

placide et triomphant Tu passes ton chemin, majestueuse enfant. Je veux te raconter, ô molle enchanteresse ! Les diverses beautés qui parent ta jeunesse ; Je veux te peindre ta beauté, Où l'enfance s'allie à la maturité. Ta gorge qui s'avance et qui pousse la moire, Ta gorge triomphante est une belle armoire Dont les panneaux bombés et clairs Comme les boucliers accrochent des éclairs,  Boucliers provocants, armés de pointes roses ! Armoire à doux secrets, pleine de bonnes choses, De vins, de parfums

 FICHE 6 Lis puis réponds aux questions. Le rouge-gorge Le rouge-gorge appartient à la famille des passereaux. Il a la taille de 15 cm et un poids de 16 grammes. Il peut vivre 3 ans et on le trouve en Europe, en Sibérie et en Afrique du Nord. Le mâle rouge-gorge a la gorge rouge. La femelle a la gorge jaunâtre. Mais ils chantent tous les deux aussi bien. Il est impossible de les confondre. Le rouge-gorge mange son poids de nourriture par jour : des insectes, des araignées

ASSORTIMENT | L'assortiment est restreint, (lingerie de jour, lingerie de nuit), étroit car le nombre de familles dans chaque groupe de produits est réduit et profond car le nombre de références est important. | L'assortiment est restreint, (lingerie de jour et de nuit), étroit car le nombre de familles dans chaque groupe est réduit et profond car le nombre de références est important. | PRIX | ▪ Les prix sont compris entre 4 et 60 euros. Les accessoires ont les prix les plus bas (chaussons, chaussettes

photo est l’une des plus célèbres photos de guerre et elle représente encore pour les USA un symbole de gloire et de puissance. Ici je ne vois pas l’implication de l’artiste. Veut-il simplement montrer la gloire américain ou y-a-t-il un sens plus profond ? Est-ce une photo réaliste ou une photo de propagande visant à augmenter le nombre de volontaires ou à rassurer les familles des soldats? Je pense personnellement que c’est une photo de propagande. Seconde Guerre mondiale, bataille de Saipan Island

me sens tomber, dans un gouffre immense, sur les parois défilent des choses, beaucoup de choses, des images sans importance mais qui me font comme une sensation étrange. Je ferme les yeux, les images sont toujours là, les larmes remontent dans ma gorge une nouvelle fois. Ces accords s’entendent de plus en plus, partant d’un murmure, devenant assourdissants, je n’entends plus que ca, je coupe le son. Un bourdonnement dans mes oreilles, une voix fredonne cette mélodie dans ma tête.   Mais est ce que

étais beau, ma destinée m'entraînait, tes yeux avaient attiré mes regards… Sans toi, mes nuits semblent être amères et sombres. A chaque fois que mes yeux se ferment, je repense à tous les moments passés ensemble, chacun d’eux étant gravés au plus profond de moi-même. -J’ai vécu tellement de choses merveilleuses avec toi que je ne pourrais les oublier. J’aimerais tellement que tu reviennes, je t’en prie ! Hélas ! Pourquoi ai-je-été, plus que je ne devais l’être, charmée par ta beauté et tes douces

becs de gaz, pendus au vitrage sur lequel ils jettent des taches de clarté fauve, laissent tomber. autour d'eux des ronds d'une lueur pâle qui vacillent et semblent disparaître par instants. Le passage prend l'aspect sinistre d'un véritable coupe-gorge ; de grandes ombres s'allongent sur les dalles, des souffles humides viennent de la rue ; on dirait une galerie souterraine vaguement éclairée par trois lampes funéraires. Les marchands se contentent, pour tout éclairage, des maigres rayons que les

une « mer odorante et vagabonde.. ». Dans le poème le Léthé, la femme est attirante et elle fait oublier les malheurs, elle console. Le vocabulaire méloratif est toujours présent : « tigre adoré », « ton beau corps », « aux bouts charmants de cette gorge... ». Comme dans le Léthé, la femme dans Tout entière console l'homme. Mais Tout entière présente notamment une femme qui est un mélange d'opposés, comme inaccessible, ce qui la rend d'autant plus attirante, comme le confirme le vocabulaire de la

questions tourbillonnaient sans relâche dans ma cervelle. Pourquoi suis-je encore là, pourquoi ce noir tout d'un coup ? Le poids de ces questions me lacérait le cœur. La faim commençait à s'approcher doucement de mon estomac, ainsi que la soif de ma gorge, je me sentais compressée, comme si les murs allaient se refermer sur moi. Une porte était non loin de moi, mais fébrile comme je l'étais, je ne pourrais y parvenir sans avoir repris des forces, puis je n'étais pas sûre qu'elle soit ouverte. Il fallait

m'avait paru gigantesque, tout à coup, le voir si petit et si fragile. Mon impuissance, face à tant de détresse, me renvoyait l'image de ma propre fragilité, et la douleur qui m'était offerte imposait mon respect. Ma gorge s'était resserrée, ma respiration devenait plus difficile et plus profonde. J'éprouvais un sentiment délicat et violent, qui, jusque-là, m'était inconnu, envers un homme. Que pouvais-je faire pour lui ? Qu'attendait-il de moi ? Je m'agenouillais maladroitement devant lui, pour lui parler