Glaive Epee

Raymond, M 2ème rencontre : rien ne se passe (seulement Raymond et Meursault) P61-62 : lutte contre la chaleur : ← tête retentissante de soleil ← pluie aveuglante ← éclatement rouge ← front gonflé ← chaleur s’opposait à mon avance ← chaque épée de lumière DEUXIEME PARTIE CHAPITRE 1 Pas avocat -> parce qu’il a avoué avoir tué, qu’il ne se considère pas comme un criminel. Il y a une satire de la justice au long de tout le texte. « Le lendemain » p98 : il passe du parti discours

place des tribunaux d'exception où la mort et le sang sont « justement » versés. L'Eglise encourage les chrétiens a verser le sang des infidèles (maures ou juifs) ou d'autres chrétiens, sur l'ordre des détenteurs du pouvoir temporel, du pouvoir du glaive des rois et des principautés très chrétiennes. Et ce jusqu'à nos jours quand il s'agissait de bénir les chars franquistes ou d'organiser la fuite des criminels de guerre nazis. Ainsi donc il ne faut pas se satisfaire de cette traduction pieuse et

Ulysse demande « vais-je, au long de ma cuisse, tirer mon glaive à pointe, et, lui courant dessus, le lui planter au ventre, juste au point où le foie prend sous le diaphragme ? ». Ce qui l’en dissuade n’est pas l’impossibilité de l’acte mais la crainte qu’ils ne restent prisonniers de la grotte. Or quand il s’agit de s’attaquer à un œil dont la texture est beaucoup moins résistante que la peau du ventre, Ulysse ne songe même pas à son épée. Il y a là une étrange absurdité que le caractère spectaculaire

sur les paupières et les a recouvertes d'un voile tiède et épais. Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel. Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C'est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m'a semblé que le ciel s'ouvrait de toute son étendue pour laisser pleuvoir

mère ; c’était votre plus cher vœu ; votre noble époux, le comte Lodbrog, a promis un autel d’argent massif, un ciboire d’or fin à l’église de Saint-Euthbert si vous lui donniez un fils. Hélas ! hélas ! la pauvre Edwige a le cœur percé des sept glaives de la douleur ; un terrible secret pèse sur son âme. Il y a quelque mois, un étranger est venu au château ; il faisait un terrible temps cette nuit-là : les tours tremblaient dans leur charpente, les girouettes piaulaient, le feu rampait dans la cheminée

donc le sommet de la douleur maternelle et sa dénonce l horreur du massacre on a tué un bébé innocent Le soldat mort On voit un soldat mort démembré, dans le bas du tableau, sa tête et un bras sont coupés. Sa main est encore refermée sur une épée brisée c est une figure d un combattant La femme dans les flammes La femmes a les bras levés au ciel, Picasso fait sans doute une référence au tableau Tres de Mayo de Goya qui montre aussi un massacre celui de l armeé francaise sur le peuple

bandelettes autour des jambes et des pieds; un gilet en peau de loutre ou de rat lui protégeait en hiver les épaules et la poitrine; il s'enveloppait d'une saie (1) bleue et avait toujours suspendu au côté un glaive dont la poignée et le baudrier (2) étaient d'or ou d'argent. Parfois il ceignait une épée ornée de pierreries, mais seulement les jours de grandes fêtes ou quand il avait à recevoir des ambassadeurs étrangers. Les jours de fête, il portait un vêtement tissé d'or, des chaussures décorées de pierreries

mètre, ou la pique (hasta) ainsi qu'une épée longue, empruntée aux espagnols, qui devient courte (gladius) à partir du IIe siècle av. J-C. Leurs armes pour la défense était des casques en bronze ou en cuir, la cuirasse appelé aussi le péctoral, le bouclier long (scutum) ou rond pour les vélites et les cavaliers. Tout les soldats se déplaçait avec 30 ou 35 kg de bagages. 1. Armure pour les épaules 2. Cape 3. Plastron ou cuirasse 4. Glaive 5. Jambière de métal 6. Sandales

sur les paupières et les a recouvertes d'un voile tiède et épais. Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel. Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C'est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m'a semblé que le ciel s'ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir

spectateur entend les cris des enfants qui révèlent leur tentative de « fuir les mains [leur] mère » et le chœur est chargé d´augmenter la tension par l´impuissance et l´indécision qu´il éprouve ; « doi[t]-[il] entrer à la maison ? Il faut arracher au glaive, [il le] croi[t], les pauvres enfants ». La situation est d´autant plus angoissante que le spectateur ne voit pas la scène du crime mais l´imagine grâce aux craintes du chœur puis à leur confirmation par le rapport que font les enfants ; ils « [vont