Glaive Epee

remise d’objet qui symbolisait la fonction du roi, puis à un doigt du roi était passé un anneau. C’était le symbole de l’union mystique que le roi avait contractée avec son Eglise et son peuple. A la ceinture du roi était attachée une épée qui symbolisait l’idéologie du glaive. Des pouvoirs thaumaturgiques étaient de plus reconnus au roi. Le sacre confère au roi un pouvoir d’un troisième type.  «  En ce jour de mon ordination » : acte par lequel l’évêque administre le sacrement de l’ordre à un laïc

proche du Pharaon. Beaucoup de fresques décrivent deux Egyptiens conduisant un char comme ci-dessous : Plus tard, les soldats de Pharaon adoptent bon nombre d’armes et d’équipements : casque, cotte de maille et glaive recourbé. La broigne se compose d’une veste en cuir à manches courtes garnies de plaques de métal. Les armes de bronze sont améliorées en qualité, le mélange étain-cuivre étant mieux proportionné. Les armes en fer bien qu’existantes n’ont pas été

initiales cKS signifient « chevalier Kadosh », soit le trentième degré du Rite écossais ancien et accepté de la franc-maçonnerie, qui en compte 33. ce degré est identifié par l’aigle bicéphale, symbole du pouvoir à l’est et à l’ouest, qui tient une épée dans ses serres et dont les deux têtes sont surmontées d’une couronne dorée. le crâne symbolise la mort du profane et ce cordon en soie moirée noire de tenue funèbre représente la dernière étape de sa « renaissance » à la vraie vie. À l’origine au

| | | | | |"...il poussa son épée à poignée" -------------> "l'épée tiédit de | |-une progression dans l’espace : le lieu où l’obus a éclaté, puis « j’ai|sang" | |quitté les lieux », puis les champs de Flandres

Barbares, et la reconnaissance que ce prince leur en témoigna, en leur donnant un vaisseau phénicien pour retourner dans leur pays. […] Mentor montre dans ses yeux une audace qui étonne les plus fiers combattants. Il prend un bouclier, un casque, une épée, une lance; il range les soldats d'Aceste; il marche à leur tête et s'avance en bon ordre vers les ennemis. Aceste, quoique plein de courage, ne peut, dans sa vieillesse, le suivre que de loin. Je le suis de plus près; mais je ne puis égaler sa valeur

..........................................................................................7 II LA SORTIE DE L'OMBRE ..............................................................................................................11 LIVRE PREMIER. LE GLAIVE ..........................................................................................................14 STROPHE PREMIERE. NEMROD .....................................................................................................14 STROPHE DEUXIEME

vite ; mais il n'avait pas d'armes, il était nu ; enfin, levant à deux bras la table surchargée, il la jeta contre Narr'Havas tout au milieu de la foule qui se précipitait entre eux. Les soldats et les Numides se serraient à ne pouvoir tirer leurs glaives. Mâtho avançait en donnant de grands coups avec sa tête. Quand il la releva, Narr'Havas avait disparu. Il le chercha des yeux. Salammbô aussi était partie. Alors sa vue se tournant sur le palais, il aperçut tout en haut la porte rouge à croix noire

; mais il n'avait pas d'armes, il était nu ; enfin, levant à deux bras la table surchargée, il la jeta contre Narr'Havas tout au milieu de la foule qui se précipitait entre eux. Les soldats et les Numides se serraient à ne pouvoir tirer leurs glaives. Mâtho avançait en donnant de grands coups avec sa tête. Quand il la releva, Narr'Havas avait disparu. Il le chercha des yeux. Salammbô aussi était partie. Alors sa vue se tournant sur le palais, il aperçut tout en haut la porte rouge à croix

vague, elle montra un chevalier qui se dressait à la proue ; chacun de ses poings tendait une épée brandie : c’était Tristan. Aussitôt vingt barques volèrent à sa rencontre et les jeunes hommes se jetaient à la nage. Le preux s’élança sur la grève et, tandis que les mères à genoux baisaient ses chausses de fer, il cria aux compagnons du Morholt : « Seigneurs d’Irlande, le Morholt a bien combattu. Voyez : mon épée est ébréchée, un fragment de la lame est resté enfoncé dans son crâne. Emportez ce morceau

l'armoire. __ Si vous dites un mot, duègne, vous êtes morte. DOÑA JOSEFA, seule. __ Qu'est cet homme? Jésus mon dieu! Si j'appelais?... Qui? Hors madame et moi, tout dort dans le palais. Bah! L'autre va venir. La chose le regarde. Il a sa bonne épée, et que le ciel nous garde de l'enfer! Pesant la bourse. Après tout, ce n'est pas un voleur. Entre doña Sol, en blanc. Doña Josefa cache la Bourse. SCÈNE II Les mêmes. Doña Sol, puis Hernani DOÑA SOL __ Josefa! DOÑA JOSEFA __ Madame! DOÑA SOL __